3/ LE PRINCIPE D*APPRENTISSAGE PAR L*EXPÉRIENCE
DIRECTE. 8
4/ LE PRINCIPE D*APPRENTISSAGE PAR LA LOI
DU KARMA. 8
5/ ? LA SOUFFRANCE FAIT-ELLE ÉVOLUER
? 8
6/ ? EST-IL NÉCESSAIRE DE SOUFFRIR
POUR ÉVOLUER ? 8
7/ MODÈLE ÉNERGÉTIQUE
(ASPECT ÉNERGIE). 8
8/ COMMENT TRANSFORMER LA QUALITÉ
ÉNERGÉTIQUE DE NOS ?TS CORPS ? 9
9/ COMMENT SE CRÉENT LES CONDITIONS
DE RETOUR SELON LE MODÈLE ÉNERGÉTIQUE ? 9
CH IX CLARIFICATION DE CERTAINS ASPECTS DU
PARADIGME. 9
1/ LA BLÂME FACE À SOI-MÊME.
10
2/ L*INDIFFÉRENCE. 10
3/ L*INACTION 10
CH X CONSÉQUENCES DU PARADIGME 10
1/ LA LIBÉRATION DE LA NÉGATIVITÉ.
10
2/ LIBÉRATION DE LA PEUR, DE L*ANXIÉTÉ,
DE L*ANGOISSE ET DU STRESS. 10
3/ LIBÉRATION DU RESSENTIMENT ET DE
L*AGRESSIVITÉ 11
4/ LIBÉRATION DE LA CULPABILITÉ.
11
5/ TRAVAIL DE LIBÉRATION DES ANCIENNES
CULPABILITÉS. 12
6/ LIBÉRATION DE LA JALOUSIE, DU SENTIMENT
D*INJUSTICE ET DU REGRET. 12
7/ LIBÉRATION DU JUGEMENT FACE À
SOI-MÊME ET DU MANQUE D*ESTIME DE SOI. 12
8/ LIBÉRATION DU SENTIMENT D*IMPUISSANCE.
12
9/ LIBÉRATION DES ÉMOTIONS
NÉGATIVES PAR OUVERTURE À L*ÉNERGIE DU SOI. 13
CH XI CONSÉQUENCES DU PARADIGME (2)
L’ÉPANOUISSEMENT DE L*ÊTRE. 13
1/ PAIX, SÉRÉNITÉ, CONFIANCE,
JOIE DE VIVRE. 13
2/ SAGESSE, INTUITION, CRÉATIVITÉ
; 13
3/ RELATIONS SAINES, HARMONIEUSES ET ÉPANOUISSANTES.
13
4/ RESPECT DU PROCESSUS ÉVOLUTIF DE
CHACUN. 13
5/ CAPACITÉ DE SE LAISSER PORTER PAR
LE FLOT DE LA VIE. 14
6/ DÉDRAMATISATION, JOUISSANCE DU
MOMENT PRÉSENT, HUMOUR 14
7/ GRATITUDE. 14
8/ FRATERNITÉ, COMPRÉHENSION,
COMPASSION, SENS D*UNITÉ. 14
9/ CONTRIBUTION ET SERVICE DANS LA JOIE ET
LE DÉTACHEMENT. 14
10/ ATTITUDE CONSTRUCTIVE FACE À L*ÉCHEC
15
11/ AUTONOMIE. 15
12/ HUMILITÉ, CAPACITÉ ACCRUE
D*APPRENDRE. 15
13/ POUVOIR DE MANIFESTATION SAIN ET HARMONIEUX.
15
14/ POUVOIR CONSCIENT DE CRÉATION
15
15/ ACCÉLÉRATION DU PROCESSUS
D*ÉVOLUTION 15
16/ VITALITÉ, ÉNERGIE ET SANTÉ
16
17/ LE POUVOIR DE CHOISIR. 16
18/ CONCLUSION. ET POURQUOI PAS LA PAIX SUR
TERRE. 16
CH XII. QUESTIONS ET RÉPONSES. 16
Annexes
AVANTAGES ET COUTS
DE LA POSITION DE VICTIME.
Le pouvoir de choisir
Comme expression de notre propre liberté.
Augmente la responsabilité
Réveil d’une pleine conscience
Un travail, avec de la bonne volonté
Déconditionnement / Transformation
des énergies négatives / Changer d’état d’esprit
Choisir les pensées qui nous amènent
à sentir et à agir.
Etre créateur et non plus victime.
Donner à chacun les outils de conscience
pour retrouver son propre pouvoir et sa liberté.
Retrouver le contact avec sa source.
Nous sommes totalement créateurs de
notre vie, et nous devons en retrouver les règles du jeu, pour mieux
les comprendre et les maîtriser.
Ne plus être victime mais s’appartenir,
ce jeu nous appartient.
De l’oubli à la redécouverte.
Le processus créateur est très
complexe mais le principe lui-même est très simple. ? compréhension
et acceptation au niveau mental (donner une carte à son cocher)
1/ La réalité des mondes invisibles
2/ L’immense puissance de la pensée.
3/ La nécessité de connaissance
scientifique de ces deux questions.
La présentation de principes de fonctionnement
mental : différence directe et concrète au quotidien.
Le concept de responsabilité - attraction
- création.
Comprendre la vie avec la tête, avec
le coeur, avec tout son être, pour pouvoir la savourer.
La partie compréhension mentale -
scientifique.
Redevenir ce que l’on est.
PARADIGME
Cadre de pensées, structure intellectuelle
permettant la compréhension et l’explication de certains aspects
de la réalité.
Temps d’évolution et d’intégration
par la conscience.
Nouveau paradigme de responsabilité
- attraction - création.
? Responsabilité : forte connotation
- A redéfinir.
Avant intégration : réflexion,
observation et expérience.
Ne pas croire mais construire un système
concret et cohérent.
I . Un modèle
de structure de l’être humain
Revoir la structure de l’être humain
- base. P7. Revisiter certains fonctionnements de nos systèmes mentaux.
? Modèle de l’être humain = représentation = description
de la réalité ? réalité.
Il existe des modèles comme cas particuliers
de modèles plus larges. Le modèle utile a un moment donné
pour y voir certains aspects puis élargir le modèle.
« On ne passe jamais de l’erreur à
la vérité mais toujours d’une vérité plus petite
à une vérité plus grande ».
L’être humain est constitué
d’un être intérieur (âme, centre, source...) et il possède
un véhicule de manifestation (personnalité, ego...).
Le véhicule de manifestation = corps
mental + corps émotionnel + corps physique.
Etre intérieur = Soi = conscience
Il exprime sa volonté dans le monde physique à travers le
véhicule de manifestation. Ce Soi est parfait en soi, de «
nature divine » = notre essence.
? Essence : parfait, mais le véhicule
de manifestation n’est pas au point. ? on ne manifeste pas beaucoup de
perfection tous les jours.? Reste à travailler sur notre personnalité,
la construire, la raccorder, la déprogrammer, l’harmoniser pour
la Transparence. Et donc passer outre les barrières.
Nous ne sommes ni notre corps, ni nos émotions,
ni nos pensées, nous devons juste en acquérir la maîtrise
car nous sommes une conscience qui possède tout cela.
? Ne pas s’identifier au corps, ni aux émotions,
ni aux pensées. Se retrouver SOI
La maîtrise vient lorsqu’il y a déplacement
de la conscience et que nous commençons à nous désidentifier
du véhicule de manifestation pour nous identifier à l’essence
que nous sommes, au Soi.
Dès lors l’énergie est disponible
pour notre Soi et non plus utilisée par le véhicule. Le Soi
utilise alors le véhicule pour manifester ses qualités.
Image de la charrette, du cochet, du cheval
et du maître sur un chemin. ? d’où la nécessité
d’avoir une carte (modèle).
Le mental doit savoir utiliser les énergies
des émotions avec sagesse, et ce, en écoutant le maître
et en s’y soumettant, il doit faire cela et pas autre chose.
?Intuition = relation mental supérieur
/ Soi (relation consciente).
?Développer ses connaissances de la
nature émotionnelle
?Avec Le Soi comme seule source réelle
de connaissance
?Affiner la structure du mental.
? mental supérieur et mental inférieur
:
Le mental inférieur automatique se
fie aux expériences du passé et non à la volonté
du Soi car seul le mental supérieur est en contact avec le Soi.
? D’où prendre sa vie en main.
Mental inférieur ? survie.
Soi ? connaît le chemin de la paix
et de la liberté.
Le mental inférieur ne sais pas gérer
les émotions.
? Retrouver un corps émotionnel puissant
(cheval) ? énergie.
? Bien gérer cette énergie
par le mental supérieur.
? Reprogrammer le mental inférieur.
? Entraîner le cocher ? Penser plus
large et contact avec le Soi
? Soi ? modèle = personnalité,
mais en fait à un certain stade, ? juste l’expérience directe.
? Augmenter le contrôle de l’âme
sur le véhicule.
? Personnalité = ? aspects inférieurs
développés et coordonnés. (développés
successivement et progressivement, puis unis)
? La tête et le coeur s’unissent dans
l’entreprise.
? L’intellect (= La raison) et Amour et Dévotion.
? on devient un habitant du monde spirituel.
« Il ne se considère plus comme
un homme contrôlé par ses émotions, poussé par
l’énergie, et dirigé par son intellect, mais il se connaît
comme étant le Soi, pensant par l’intellect, sentant par les émotions
et agissant consciemment : l’Union entre le Soi et le Véhicule est
établie. »
Elargissement du contexte.
CH II. LES SYSTEMES DE PENSEES
P.17. ? la réalité et notre
perception de la réalité.
? importance des contextes de pensée
et leur impact.
1/ le filtre mental et les contextes de
pensées.
Instrument de connaissance du monde = système
mental supérieur et inférieur.
? d’où la limitation et les déformations.
? Réalité ?(Filtre mental)?
Perception de la réalité.
? d’où la reprogrammation nécessaire
du mental inférieur automatique déjà programmé
par les expériences du passé (enfance, vie intra-utérine,
vies antérieures...) = degré d’évolution.
Pour une remise en cause : accès à
la conscience ordinaire.
Cette ancienne programmation dirige notre
vie ? comme système de croyances (ICS) + structures issues du conditionnement
familial et culturel.
? L’ensemble = système de pensées
ou paradigmes à l’origine des points de vue, état d’esprit,
façon de voir la vie, philosophie personnelle...
ex. : une même réalité,
deux perceptions, deux opinions divergentes ? le filtre ! Ne pas laisser
la conscience s’identifier à la perception. Eviter de bâtir
un système de croyances ferme là dessus.
Rester ouvert.
Notre perception est toujours limitée,
par nos sens et notre conditionnement ? (filtre).
Conscience ? structure mentale (non identification).
S’ouvrir à une réalité différente.
Tenir à son point de vue et vouloir
avoir raison sont des mécanismes du mental inférieur qui
bloquent l’évolution de la conscience.
Nous avons construit notre filtre mental
avec le tout venant, nos expériences passées, les projections
de nos peurs et nos traumatises émotionnels.
? Se désidentifier du filtre mental.
? sans ça, pas de perception claire, objective et libre de la réalité.
Ce que l’on perçoit nous renseigne
sur notre filtre.
Nous voyons les choses comme nous sommes.
S’ouvrir à l’information plus large
pour modifier notre filtre. Plus nous expérimentons la vie en maintenant
permanent la croyance en notre système, plus nous renforçons
celui-ci, puisque le fait de croire à notre système nous
fait percevoir le monde comme notre système le définit.
On voit la vie comme on décide de
la voir ? Pouvoir remettre le contenu du filtre en question.
Nos réactions (émotionnelles,
? et mentales) sont fonction de ce filtre et de cette perception.
Changer le contenu du filtre mental = changer
le contexte de pensées.
1/ reconnaître nos programmations,
croyances, contextes de pensées et paradigmes inconscients ET les
observer comme témoin.
Etre témoin et désidentifier
de notre conscience d’une structure mentale programmée en fonction
du passé.
2/ Changer consciemment (choisir) nos systèmes
mentaux. ? choisir le système qui permet de réagir sereinement
et efficacement. = choisir de générer l’expérience
de la vie que nous désirons avoir.
« Ne cherchez pas la vérité,
cessez seulement de chérir des opinions. »
Rq. Ce que l’on pense consciemment n’est
pas toujours ce que l’on croit au niveau inconscient.
? Ce n’est qu’en situation d’expérience
directe que les programmations réelles inconscients émergent
clairement.
2/ ouverture de l*esprit et qualité
de l*experience de vie.
Percevoir la vie plus clairement à
un impact sur la qualité de vie ? largeur de notre perception.
Plus notre perception est large, plus nous
avons de maîtrise, ? d’où : notre vie est satisfaisante.
Plus un contexte de pensées apporte
la paix, bonheur, harmonie et bien-être, plus il offre un modèle
proche de la réalité.
Faire le lien entre notre façon de
percevoir les choses et notre qualité de vie.
Lorsque nous confondons notre perception
et la réalité, nous ne sommes pas satisfaits, d’où
? nous cherchons à changer les choses autour de nous et non pas
notre filtre.
Pour changer de vie, se changer soi-même.
? se débarrasser du voile de l’illusion.
? Contact direct avec la réalité
ultime de l’Univers (non descriptible sous forme de concepts).
? Ne plus changer l’extérieur mais
s’adapter intelligemment au moment présent (remise en question du
filtre) avec créativité et intuition.
Ex : Je me promène avec ou sans lunettes
noires et un torticolis. Que se passe-t-il ?
Plus le filtre est large, plus il me donne
une perception large et approchante de la réalité, d’où
: paix, joie, pouvoir d’action, bien-être et liberté.
Plus le filtre est large, plus il y a pouvoir
et maîtrise sur l’univers. Ex. : L’éléphant = concept
positif + ami = maîtrise. Idem. Elargissement de contexte / mort
/ corps - prison.
? Non plus peur, désespoir et souffrance
MAIS compréhension ? actions libres. La souffrance vient de l’ignorance.
Compréhension ? Joie et puissance et liberté car connaissance.
3/ Le Choix D*un Contexte Et L*evolution
De La Conscience.
Valeur ou Intérêt du contexte
de pensées par rapport à ce qu’il produit comme satisfaction
et bien-être personnel et collectif ? Qualité de l’expérience
vécue. Les contextes de pensées que nous choisissons
sont fonction de notre état d’évolution.
Pendant un temps, l’Homme a fonctionné
avec un contexte de pensées et un système de croyances en
identifiant la conscience à ses pensées ? ceci est la construction
du mental inférieur (principe séparateur d’où conflit)
? Désidentification de certains processus mentaux ? relativiser
- transformer ? Pouvoir de choisir ses contextes et systèmes de
pensées ? donc son expérience de la Vie.
? Prendre conscience des systèmes
de pensées actuels.
? Possibilité de faire des choix de
plus en plus consciemment par l’observation intelligente de soi et du monde
? Base du processus d’évolution.
L’évolution de la conscience : d’un
contexte plus étroit à un contexte plus large et moins
inclusif.
? D’où la relativité de toute
perception.
Ouverture de l’esprit en permanence à
une infinité de possibilité.
Se dégager des contraintes et des
limitations.
? Perception du monde comme parfait.
? Etat d’extase en étant connecté
à la réalité.
Mais nous expérimentons le monde comme
limité : d’où douleur et imperfection.
? Elargir le contexte ? compréhension
plus large, perception plus subtile et profonde (au delà du mental
linéaire rationnel)
? Beauté et perfection de l’Univers.
Un contexte plus large inclut un plus étroit
et montre sa limitation.
? Passer de l’un à l’autre sans avoir
à se battre (gymnastique du mental inférieur automatique)
? ils sont valables chacun à leur
niveau.
4/ Les Points De Vue Et Leur Nécessite
c’est-à-dire : là où
on se place. Le point de vue excellent et indispensable à notre
système mental.
? à ne pas se faire avoir - rester
libre - ne pas être enfermé. ? Sélectionner ses points
de vue et en changer. c-a-d- lâcher son point de vue pour un autre
plus intéressant. Voir ceux des autres mais surtout les nôtres.
« La chose à laquelle on croit le plus est notre ultime illusion
actuelle.. »
Image de l’échelle : lâcher
le barreau inférieur pour atteindre le barreau supérieur.
? attention à l’habitude (automatique) ? impression de sécurité
du barreau où l’on est.
Tous ces barreaux sont utiles et nécessaires,
de même, il faut lâcher les points de vue en temps opportun
? donc ne pas refuser les points de vue mais y être constamment attentif,
de même qu’au fonctionnement de notre mental et conserver un espace
de liberté. C-a-d reconnaître ce qui est valable pour nous.
? Passer ses contextes de pensées
au crible avec l’esprit éveillé ? progrès et maîtrise
du fonctionnement mental.
5/ La Difficulte Du Changement De Contexte
? changer de contexte de pensée =
gymnastique peu courante permettant de choisir car Inconsciente, habitude,
renforcement, non remise en question.
2 difficultés : 1/ le point de vue
nous donne raison. C-a-d- notre conscience s’est identifiée à
la structure mentale. ? chercher des preuves invalidant ce système.
2/ le mental automatique tient à ses
systèmes de pensées et croyances car ils permettent la survie
à défaut du bonheur. (survie par duplication du passé
par le mental inférieur).
Mental inférieur = mourir plutôt
que lâcher son point de vue.
« Un point de vue est aussi une façon
de ne pas voir ».
Les vrais découvertes sont rarement
acceptées d’emblée.
? Dès que l’on passe d’un point
de vue à un autre, ne pas prendre le niveau pour vérité
absolue. Il est plus important de pouvoir changer de point de vue avec
liberté que le point de vue en lui-même.
« L’esprit est comme un parachute,
il ne sert lorsqu’il est ouvert ».
? rester maître de son système
mental (et pas l’inverse).
« Soyez transformés par le renouvellement
de votre esprit ».
? travail = travail en conscience avec ouverture
et assouplissement de l’intellect, et l’assouplissement du mental inférieur
donne accès à l’utilisation du mental supérieur.
? les plus belles découvertes viennent
du mental supérieur en connexion avec le Soi, avec les niveaux supérieurs
de l’être.
? Harmoniser la totalité de l’être.
Pouvoir de la pensée / pouvoir des
contextes générateurs de pensées.
L’amour comme grand unificateur, le mental
comme principal facteur créateur, le mental coordonne et est très
puissant. (tendance intelligence > désir).
L’amour ? émotion, l’amour = expression
directe de l’énergie du Soi = état de conscience. ? réalisé
s’il n’existe plus de blocages au niveau mental.
Le concept de R.A.C. ouvre l’esprit et
le coeur.
Au quotidien, évaluation des contextes
et intégration après réelle compréhension.
Contexte = outil d’expérience et de
découverte (? réalité finale).
CH III. L’ETAT D’ESPRIT
DE VICTIME
p43. Définition et conditions
de départ.
Le Soi voyage avec un véhicule fait
de la matière des 3 mondes (physique, émotionnel et mental)
et véhicule pas au point. La qualité du voyage dépend
de l’état du véhicule. Observer les avaries du véhicule.
Opérer des changements en accord et
en le voulant clairement, travail indispensable pour mieux continuer le
voyage dans la paix, la joie et l’épanouissement.
Compassion et désir de liberté,
but de prise de conscience et de libération. Nous ? véhicule.
Etat d’esprit de victime = mécanique
mentale émotionnelle. ? entraîne certaines conséquences.
? ne pas coller d’étiquettes à
soi, ni aux autres.
L’état d’esprit de victime, sa structure,
s’appuie sur un système de croyances (intégré dans
la conscience collective) mais qui est ? de la réalité et
? coloration du filtre mental. ? Désidentification nécessaire.
Système de croyance influe sur la
qualité d’expérience de la vie.
1/ définition du paradigme de la victimite.
? avec des lunettes bleues, on voit tout
bleu.
Or parfois on oublie que l’on porte des lunettes
bleues et on croit qu’il s’agit de la réalité.
? penser à voir d’une autre couleur.
La victimite comme maladie mentale, très
répandue, dont on ne se rend même plus compte, elle est due
à une rigidification de certains systèmes mentaux, comme
maladie contagieuse et demandant des soins.
La guérison se fait par la personne
elle-même, de l’intérieur, après prise de conscience
de son état et du coût ? décision de guérir.
? des conditions ?cho qui favorisent cette
maladie.
Connaître et reconnaître les
symptômes.
2/ les conditions de développement
de la victimite.
? 2 structures mentales - émotionnelles
(ICS) en sont à la base et reposent sur le sentiment de manque et
le sentiment d’impuissance.
Evolution et choix intérieur /// circonstances.
1er type de conditions : expérience
de la naissance et 1ères années de la vie : ?ts manques (amour,
soutien..) sont là et une idées que la vie = souffrance et
insatisfaction.
? relégué dans l’inconscient
? influence / réaction émotionnelle ? revoir ses programmations
Avec ce système de perception u niveau
inconscient (manque, frustration, insatisfaction), rage, colère,
agressivité s’accumulent au niveau émotionnel ? dont l’expression
n’est pas possible ? d’où charge d’émotions négatives
refoulées au plus profond de l’inconscient ? sentiment d’impuissance.
2ème type de conditions (à
la source du sentiment d’impuissance)
Quand l’enfant tente de construire
quelque chose par lui-même ? montagne d’interdictions ? l’enfant
ne reçoit ni soutien ni respect ni liberté d’expression,
ni reconnaissance de son propre pouvoir.
? Au contraire : si non soumission, perte
de l’amour. ? menace terrible + sentiment d’ignorance et d’incapacité.
? toute structure s’élabore à ce moment-là.
Réaction : soumission / rébellion + sentiment d’impuissance.
+ charge d’émotions négatives d’où peur, désespoir,
colère face à la non possibilité de vivre heureux.
(voir ces appels désespérés de l’enfance).
Face à la résistance et l’écrasement
du monde extérieur ? Construction de bagages inconscients de programmations
mentales émotionnelles négatives ? tempérament agressif
ouvert et légèrement refoulé.
Adulte : l’agressivité refoulée
devient méfiance, soupçon, peur de se faire avoir ou manipuler,
résistance à toute autorité ; et L’esprit et le coeur
se rigidifient et se ferment.
Ou enfant : perte de confiance en soi, désespoir,
désespoir /// vie. Adulte : grand tristesse intérieure et
dépression. Renoncement au pouvoir intérieur + négation
de soi-même.
? la personne a perdu le sens de son propre
pouvoir.
Par ce cadre de référence,
on regarde sa vie et adulte, on fait ses choix. ? ces programmations, refoulées
dans l’ICS dirigeront sa vie d’adulte sans qu’il s’en rende compte. Note
: ces expériences ne s’arrêtent pas à la petite enfance.
? accumulation et renforcement tout au long de la vie de ce filtre mental.
Ce sont des expériences imprimées fortement dans l’inconscient
car chargées émotionnellement. La personne est persuadée
de ne plus avoir le contrôle de sa vie et donc peur, d’où
nécessité de pouvoir sur l’extérieur et les gens pour
obtenir ce qu’elle veut (les détraqués). ? Persuasion que
la vie est l’effet d’un hasard malheureux et injuste ? vie = vivre d’espoir
ou sombrer dans la tristesse et la dépression + agressivité
/// la vie et les gens. = BASE de cet ETAT D’ESPRIT
3ème types de conditions (renforce
les 2 structures) = environnement familial où l’enfant recopie les
« modèles » de victime de ses parents en plus des expériences
quotidiennes (niveau mental et émotionnel) comme quoi la vie serait
« se raidir et se battre » ou « s’écraser et se
fermer et s’insensibiliser » ou « vivre dans la peur et la
souffrance.
Au quotidien, personne ne montre rien, tout
va bien.
Toutes ces émotions négatives
refoulées sont cachées par « la bonne image »
de soi.
Mais la charge émotionnelle apparaît
dans les relations interpersonnelles, à des degrés plus ou
moins violents, et dans le corps physique sous forme de maladies. Nous
sommes tous + ou - atteints (attitude collective). Mais cette illusion
(collective) est ? de la réalité. ? systèmes utilisés
pour dominer et manipuler les masses
? Nous tenons à ces vieilles structures
mentales car elles nous ont protégé pendant notre petite
enfance.
Ex. Soumission + agressivité refoulée
= ne pas être détruit par le pouvoir des parents = entrave
au développement intérieur de l’adulte, à la joie
de vivre et à notre épanouissement total en tant qu’être
humain.
? ces trois types de conditions font que
la paradigme de la victime est fortement ancré dans la conscience
collective ? système de croyances ( + renforcement). Il n’existe
pas de preuves de cela pour en sortir puisque les preuves dépendent
de notre filtre mental. Voir les conséquences au niveau mental et
émotionnel de cet état d’esprit + efficacité / inefficacité
en terme d’épanouissement et de bonheur.
CH IV. Les Symptomes De
La Victimite.
P.57. Ils ont une conséquence directe
sur notre perception du monde ? assouplir et élargir notre structure
mentale pour changer et nous dégager émotionnellement pour
que se résorbent les symptômes.
Vivre en état de victime = laisser
le mental contrôler notre vie, lui qui ne contrôle pas grand
chose.
Tout cela résulte d’une recherche
malhabile et désespérée de compensation aux manques
et frustrations du passé.
Désidentification permet humour car
la connaissance du soi ?t du véhicule (3 corps)
Convalescence et guérison.
? des catégories ?tes ex. Victime
dépressive passive et / ou agressive active et leurs différentes
manifestations (l’une se détruit d’elle-même, l’autre les
autres). Etat de victime = souffrance ? compassion envers elle.
Voir toute l’humanité d’une personne,
de toutes, pour ne pas juger mais comprendre et aimer.
Voir ces structures ? avec « compassion
et compréhension » = aide la plus précieuse pour les
assouplir ? c’est-à-dire l’amour inconditionnel
? « Je suis stressé, anxieux,
insécure, j’ai peur » (car impuissance / univers hostile)
? stress général intense.
? « Je ne suis pas très en forme
» ? blocage de l’énergie physique suite à répression
de la colère, de frustrations + émotions négatives
? impression d’être fatigué ? il reste peu d’énergie
disponible car utilisée par frustration. Quand agressivité
moins refoulée ? tension nerveuse + activité constante ?
maladie grave.
? « Grr ... encore un verre à
moitié vide... » ? frustration | impression de manque
| insatisfaction profonde, focalisation sur aspects négatifs, on
ne reconnaît plus les points + de la vie, il faut qu’il en soit ainsi
la vie est insatisfaisante ? protestations : ? ronchon, grognon, râleur,
rouspéteur ? il y a toujours quelque chose qui ne va pas. (prendre
la responsabilité plutôt qu’attendre)
? « Pauvre de moi » : face à
l’insatisfaction : pauvre de moi = plaintes et dépression ou rage
et colère et agressivité
Des catégories actives / passives
? « c’est la faute des autres »
: insatisfaction ? agressivité ? les autres = coupables ? plaintes
+ blâmer les autres. ? création de scénario intérieur
pour justifier la frustration.
? « C’est encore la faute des autres
» : ? jugement et blâme ? blâmer les autres pour ses
propres réactions émotionnelles (on les en croit la cause)
? prendre la responsabilité de notre état et de nos émotions
et ne pas donner à d’autres de pouvoir sur ce que nous vivons (être
à la merci) ? ceci fait partie de notre éducation et de notre
culture ? apprendre à maîtriser nos émotions et ne
plus dépendre pour émotions - ou + ? d’où évolution
consciente du contrôle sur les émotions et sur l’ensemble
de notre personnalité (3 corps)
? « attention, ils sont là pour
m’avoir » : monde = malveillant ? méfiance + séparation
? blocage de la capacité d’aimer et de recevoir de l’amour librement
? solitude ? soupçons (/// aux gens heureux et qui réussissent)
? peur de se faire avoir = impuissance + la faute des autres ? dans cet
état, on se fait avoir par soi-même, du fait les programmations
non maîtrisées ? on vit coupé de notre sagesse intérieure,
non centré ? pour ne plus être manipulable ? ne pas demander
aux autres d’arrêter mais construire / bâtir une force
intérieure pour développer sagesse, discernement et conscience
? possibilité de faire face en étant centré, équilibré
et de façon appropriée.
? « J’ai raison, les autres ont tort
» : La victime se trouve parfaitement correcte, j’ai raison, les
autres ne sont pas corrects ? les autres = cause de malheur (justification)
? critiques incessantes.
? « la réalité, je l’invente
» : ? état dangereux car sans contrôle ? incapable de
sagesse, de discernement, d’objectivité, d’intégrité
? le monde doit être conforme à ses programmations ? d’où
déformation, mensonge, interprétation pour que la réalité
colle à son image de la réalité. ? victimite = sans
discernement, sans bon sens, sans respect des autres et d’elle-même.
? « les gens sont méchants »
: ? complexe de persécution ? violence + justification par une bonne
cause des sentiments négatifs.
? « Si tu m’aimes, tu devrais . »
: Au début : idéalisme + exigences inconscientes. Puis :
déception conformément au système de base ? de plus
en plus d’attentes, la victime donne mais tient ses comptes (en sourdine)
? calcul de ce qu’on lui doit. ? impression de donner trop et de recevoir
trop peu ? répétition de dynamiques installées pendant
l’enfance avec les parents.
La victime cherche toujours à prendre
(pour compenser le vide intérieur) mais elle est incapable de recevoir
et d’apprécier ce qu’elle reçoit (car le reçu perçu
comme non satisfaisant par le filtre mental) il n’existe pas de gratitude.
Le vrai don de soi et le vrai service provenant
du soi apporte énergie et satisfaction ? on ne cherche plus dehors
- le désir de servir est un désir naturel émergeant
de l’intention, du Soi qui trouve sa récompense en lui-même.
? « Pourquoi moi ? » : ? sentiment
d’injustice (? partage des sentiments négatifs avec d’autres victimes)
? sentiment de jalousie + sentiment d’être toujours perdant au jeu
de la vie ? tente de faire perdre l’autre (heureux). ? des façons
subtiles de dénigrer sous couverts de compétences ou de connaissances
qui sont très bien acceptées et même encouragées.
? « Pauvre petit moi » : ? impuissance
+ faible et vulnérable ? aucun sens du libre choix. Victime comme
petit être sincère, naïf, sans défenses et abusé.
Une victime n’est ni naïve ni sincère mais elle veut le faire
croire à elle-même et aux autres ? elle est plutôt inconsciente
d’elle-même et de son jeu ? ? toujours en dessous une violente exigence
par rapport aux autres et aux frustrations passées.
? « Au secours » : ? quand la
victime se croit faible, elle cherche un sauveur (c’est-à-dire l’autre
qui nous rend heureux) et par là une compensation /// frustration
et manques issus du passés mais toujours espoirs puis déception.
Prendre ses responsabilités = clefs
de la libération | reprendre son pouvoir = guérir par soi-même
? prendre la responsabilité de l’état
que l’on veut guérir.
? « Vengeance ! » : suite à
plaintes et blâme sur personnes autres (coupables) ? désir
de vengeance ? la victime juge puis condamne et exécute la sentence
au maximum de ses moyens car elle pense qu’elle a raison. Ex. : réactions
: suis fatiguée, de mauvaise humeur : non communication, grève
du sexe et sabotages de toutes sortes - non pardon.
? « Je ne dirais rien » : la
victime évite de communiquer ses sentiments réels dont elle
est rarement consciente ? cette victime n’exprimera pas clairement ses
besoins (et en ne demandant rien, elle est sûre de ne rien obtenir)
? sentiment de frustration car ne reçoit pas ce qu’elle a oublié
de demander clairement (pour la victime passive \ la victime agressive
- active mettra l’autre en tort violemment et bloquera la communication
? pas d’intérêt pour une vraie communication ? état
d’isolement et de non communication ? seuls moments avec impression d’être
en relation = lors de rencontres avec d’autres victimes ? plaintes en choeur
? échanges illusoires + renforcement de l’étroitesse du filtre
? isolement dans son scénario.
? « J’arrive » : rôle des
défenseurs des sans défenses : le sauveur ? expression détournée
de haine et d’agressivité ? sentiment superficiel de pouvoir pour
compenser le sentiment d’impuissance ? beaucoup d’agitation, peu d’efficacité
en matière de résultats.
? « A bas le pouvoir » : ? impuissance
+ arrogance et orgueil comme compensation au manque d’estime de soi et
aux peurs sous-jacentes ? haine du pouvoir sous toutes ses formes, réelles
ou imaginées ? résistance /// « menaces » ? incapable
de coopérer ? car pouvoir vu comme situation parentale ? pas de
vrai relation.
? « Ne riez pas, la vie n’est pas drôle
» : ? la victime se prend au sérieux? drame ? donne trop d’importance
? mal gérée ? emphase sur sa souffrance ? justifie tout ses
comportements ? incapable de prendre plaisir au jeu de la vie + méfiance
et jalousie.
? « Réussir n’est pas vraiment
facile » ? comme on est impuissant ? on est incapable d’action efficace
? bloque tout processus créatif ? la victime s’arrange pour échouer
dans toute entreprise ? la vie doit être difficile pour que l’on
ait raison ? insatisfaction + colère (de l’enfance)
? « Est-ce que je souffre assez ? »
: ? manque d’estime de soi ? incapacité, impuissance, culpabilité,
incorrection ? la non acceptation, le manque d’estime réel de soi
et culpabilité mènent la victime de l’intérieur.
? « Quelques bourreaux supplémentaires
pour être certain que ma souffrance est réelle » : ?
culpabilité + incertitude par rapport à elle-même ?
les bourreaux supplémentaires pour justifier les blâmes et
les émotions négatives.
1/ Le Cycle Classique De La Victime
1/ la victime se trouve des bourreaux (projection
de la réalité intérieure sur l’extérieur)
2/ insatisfaction, frustration, contrariété
3/ plaintes passives ou agressives
4/ blâmes les autres ou les circonstances
5/ jugement et condamnation (des bourreaux
incorrects)
6/ vengeance
7/culpabilité
8/justification et consolidation des scénarios
avec quelques bourreaux supplémentaires
9/ retour au 1/
et pour finir, toutes les variantes possibles,
allant de la simple mauvaise humeur passagère à la folie
furieuse.
Victimite comme maladie ? inharmonie dans
le système, mal être ?.
Le virus est souvent camouflé.
Victime a) passive b) agressive 1=) agressive
refoulée 2) passive exprimée ? 1) :peur,2) :dans la colère.
? des tendances par pays, par culture
2/ Avantages Et Cout De La Position De Victime
La victimite coupe une personne de son être
réel, de son centre, source d’équilibre, de sagesse et d’amour.[annexes]
CH V. LA MAITRISE DES EMOTIONS
PAR L’ASSOUPLISSEMENT DU MENTAL
P.97. ? choisir ses pensées plutôt
que penser mécaniquement, pour travail de dégagement émotionnel.
1/ le dégagement des émotions
négatives est durable si ? décharge émotionnelle et
changement de conscience, sinon : incomplet et momentané. L’état
de conscience permet la clarté émotionnelle après
le dégagement. - centrage de la conscience et dégagement
énergétique.
2/ le travail en conscience ex. : sur les
contextes de pensées. ? ne pas bâtir de nouvelles théories
sur des blocages du passé. Le dégagement émotionnel
réel se mesure au quotidien (c’est-à-dire au degré
de maîtrise et de liberté) car avec travail sur la conscience
et racines solides dans l’inconscient, le dégagement émotionnel
par l’approche énergétique diminue les risques d’excès
d’usage du mental. L’approche en conscience diminue les risques d’envahissement
émotionnel ? la conscience reste centrée et claire pendant
le travail sur les émotions.
Le déblocage énergétique
? changement de conscience / la prise de conscience ? déblocage
énergétique ? ce sont 2 aspects de la réalité.
? les 2 ensembles sont plus efficaces.
* en quoi le travail en conscience facilite
le dégagement émotionnel : le travail en conscience, l’utilisation
de l’énergie mentale ? le système émotionnel = énergie
brute orientée par le mental ? changer d’état d’esprit facilite
la transformation de nos réactions émotionnelles car ? toujours
une pensée derrière chaque émotion réactivée.
? /// l’utilisation du mental inférieur qui nie et refoule les émotions.
Faire la ?ce entre maîtriser et réprimer les émotions
: réprimer = bloquer et malaise, maîtriser = connaître
et faire sien. ? d’où utilisation du mental supérieur.
Processus de conscience qui infuse l’intuition
et la connaissance directe du Soi dans notre expérience de la vie.
? Mental inférieur = système
de pensées étroit issu de la séparation et de la peur
? émotions négatives.
? Mental supérieur = processus d’évolution
de la conscience ? émotions plus saines et harmonieuses.
? Connaissance et compréhension amènent
maîtrise et pensées positives (et non pas pensées positives
seules sur fond étroit)
? Fonctionner avec le mental supérieur
et le Soi = rester centré.
? Vivre nos émotions = faire face
et ?t de confusion.
3/ la maîtrise des émotions.
? 3 comportements face aux émotions
: 1/ ignorer, nier, réprimer ? tranquillité apparente et
lente mort intérieure 2/ s’identifier à l’émotion
= agir dans le sens où elle nous pousse ? drame et actions en fonction
des émotions ? renforcement du système de pensées
et de croyances conscient et inconscient à la base de cette émotion.
? = dégagement d’énergie et renforcement du système
mental destructeur : ça empire. 3/ Connaître cette émotion,
la vivre totalement, se permettre de la ressentir, et choisir consciemment
son action ? d’où la nécessité de rester centré
et prise de conscience des systèmes de pensées (être
témoin).
Mettre en action les meilleurs contextes
de pensées disponibles ? rediriger l’énergie disponible et
voir dans quel sens on le fait (bénéfique) ? changer consciemment
et volontairement (début de la maîtrise) avec amour inconditionnel
et acceptation de nos propres limites du moment.
Changer de contexte de pensées = transformer
l’émotion ? elle a moins de pouvoir sur nous. ? soit changement
immédiat, soit observation et donc désidentification ? ?
de la charge émotionnelle ? maîtrise.
Face à problème : 1/ on nie
l’évidence pour sauver les apparences ? refoulement
2/ on reconnaît les problème,
mais on est impuissant à le résoudre ? idées reçues
et discussions oiseuses
3/ on reconnaît le problème
et on cherche une solution, puis on résout le problème -
soit seul, soit aidé - ? déblocage énergétique
+ changement de contexte de pensées.
Lâcher le contrôle pour acquérir
la maîtrise = travail de conscience ? libération intérieure
- la prise de conscience peut-être instantanée.
DEUXIEME PARTIE : LE PARADIGME
R.A.C.
CH VI. Définition
du paradigme
P115. Pas de présentation linéaire
logique et rationnelle ? faire appel à l’intelligence et l’intuition
+ rigueur mentale.
Présentation progressive en 3 étapes
: élargissement.
Responsabilité : « capacité
de prendre une décision sans en référé préalablement
à une autorité supérieure » - « capacité
de choisir librement notre réponse ».
1/ Le pouvoir de choisir notre action [état
d*esprit]
Ce n’est pas ce qui arrive qui détermine
notre vie mais plutôt ce que l’on choisit de faire avec ce qui arrive.
? quand ? une situation défavorable
: ne pas être victime mais choisir de regarder les choses en face
et agir pour changer les choses ? ?t de résistance à ce qui
est là, plutôt satisfaction par rapport à nos besoins
? wu wei.
2/ le pouvoir de choisir notre réponse.
Ce n’est pas ce qui arrive qui détermine
notre vie mais la façon dont on choisit de réagir intérieurement
à ce qui nous arrive. ? choisir d’être totalement responsable
de ce qui se passe dans notre corps émotionnel ? être souple
mais ferme.
Ne plus se voir comme faible, vulnérable,
à la merci des émotions. (ce ne sont pas les autres qui nous
mettent en colère mais nous avec ce qu’ils ont dit ou fait).? cesser
de blâmer les autres et être responsable de notre état
intérieur. ? développer la conscience de notre réalité
intérieure et modification de nos systèmes de pensées
? faire face en étant en paix, ouvert et serein.? ouverture libre
et consciente à soi et aux autres donc état intérieur
et choix d’action ? transformation intérieure.
Place et base de la confiance absolue en
soi et nos propres actes.
3/ le principe de responsabilité -
attraction - création.
Harmoniser notre vie au maximum ? conséquences
positives sur notre expérimentation de la vie.
+ une contexte de paix, pouvoir, harmonie,
bien-être, + il est proche de la réalité ? vision du
monde + complète et + réelle.? faire face aux situations
réellement difficiles de façon sereine et saine.
La confiance en la vie.
Nous sommes à la source de tout ce
qui nous arrive, de tout ce qui se présente dans notre vie. Il n’y
a pas de hasard, c’est nous qui attirons ce qui se présente dans
notre univers (personnes, événements, circonstances...).
Rien ne peut se présenter sans que nous n’ayons donné une
permission. Nous avons « tout » attiré dans notre
vie.
Il y a en chaque être humain
une connaissance innée (et ICS) des mécanismes de la vie.
La part de la compréhension rigoureuse et intuitive. La pensées
créatrice / sagesse / intuition.
2 approches du paradigme, cette manière
de percevoir la réalité : l’intuition directe et la compréhension
mentale.
Les vérités intuitives (? qualité
supérieure d’intelligence) ? doivent être comprises
par le mental rationnel. S’élever et pas croyances.
? 2 façons d’évaluer un contexte
de pensées :
1/ observer ce qu’il génère
dans notre vie.
2/ rendre le contexte acceptable par notre
mental par une réflexion sur certains principes de la sagesse
universelle.
Pourquoi serait-ce nous qui attirons tout
ce qui se présente dans notre vie . Quel serait le but de cette
loi d’attraction - création ?
Comment de fait ce processus d’attraction
- création ? Selon quels principes ? Selon quelles lois ?
CH VII. LA DYNAMIQUE D’EVOLUTION
DE L’ETRE HUMAIN
ou pourquoi serait - ce nous qui générons
le contenu de notre vie ? Mais que fait-on sur cette planète ?
1/ Le processus d*involution et d*évolution
de l*humanité.
P129. La conscience divine qui s’est faite
« matière », entame maintenant un processus d’ascension,
de retour vers la conscience de sa divinité, avec personnalité
structurée et volonté.
Choisir librement d’élever à
nouveau notre conscience, avec cette expérience de la matière
et l’auto-conscience par l’individualisation.
Travail sur la personnalité pour la
rendre plus réceptive au Soi / Conscience supérieure. Véhicule
comme instrument de manifestation (3 corps) et d’harmoniser ce véhicule
avec volonté de Soi.
L’identification au véhicule a permis
sa construction.
La désidentification pour amener la
conscience de notre personnalité au niveau de celle du Soi.
Désidentification comme travail d’adaptation
du véhicule à la conscience supérieure pour expression
concrète et libre au quotidien (sans barrières intérieures).
? manifester ses qualités divines dans tout ce que l’on fait. ?
réalisation au niveau vibratoire de l’essence divine et non plus
au niveau de la personnalité. ? d’où plusieurs vies.
La danseuse de ballet - le scaphandre - la
combinaison - sous l’eau, acquérir la maîtrise.
Exploration du monde - Apprentissage - Evolution.
Hasard et plan d’évolution général
de l’humanité.
Pour faire l’apprentissage désiré
? principe de R.A.C.
2/ Le principe de R.A.C., agent de réalisation
du Plan d*Evolution.
Tout ce que nous attirons étant les
conditions appropriées pour évoluer.
? intégrer l’énergie du Soi
dans les 3 mondes inférieurs et expérimenter l’essence de
notre vraie nature.
Le pouvoir de choisir notre personnalité
(par rapport à l’apprentissage) : Personnalité ? Choix ?
circonstances ? circonstances...
D’apprentissage en apprentissage, de vie
en vie...? en fonction de nos possibilités ? parfaire le véhicule
de manifestations. ? on attire les gens, circonstances et événements
pour cet apprentissage.
Le Soi laisse la personnalité s’exprimer
pour expérimenter ses limites. Attraction : 1/ volonté consciente
2/ volonté de notre Soi
Choix de la vitesse d’évolution.
La leçon apprise ne se présente
plus.
La leçon se présente lorsque
l’on est prêt à apprendre.
? dans le but de grandir en conscience, en
sagesse, en amour, apprendre à connaître les grandes lois
de l’Univers ? créer monde de joie, de paix et d’amour.
? Comprendre le type d’apprentissage et conscientiser
les raisons des événements de notre vie. Et le pourquoi de
l’apprentissage n’est pas toujours accessible à notre conscience
ordinaire.
Apprentissage global pour la totalité
de l’être (pas juste le mental). ? de façon synthétique
(> connaissance ou mécanique rationnelle et intellectuelle). ? c’est
une intégration de plus en plus profonde, à tous les niveaux
de l’être, de la réalité de notre propre divinité
(logique divine > logique rationnelle et limitée) ? soit notre sens
inné soit expérience intérieure de la complexité
lumineusement simple de la réalité du Soi.
Intégration globale et pas à
pas mais pas linéaire ? qualités innées ?tes entre
frères et soeurs ? acquis passés. Le travail à faire
ici et maintenant, exactement là où nous sommes, exactement
dans les conditions où nous sommes. (« Chaque chose en son
temps, les unes après les autres, et chacune à son tour.
»).
? suivre le programme proposé et se
rendre compte qu’un travail d’apprentissage doit se faire, de bon gré
ou « malgré nous » ? mauvaise influence de l’ego et
du véhicule qui buttent, rechignent.
? la volonté du Soi et celle
de l’ego ? apparente dualité ? on expérimente la vie en fonction
du niveau où l’on se place. ? on peut s’identifier à la conscience
de la personnalité (ego et mental inférieur), ou à
la conscience du Soi ? volonté du Soi exprimée. Note : ?
des niveaux > à celui du Soi : non exposés ici. ? notre conscience
peut jouer sur toute une gamme d’états vibratoires. ? en ce sens,
la volonté éphémère de notre personnalité
? contradiction apparente seulement.
Par rapport au niveau d’identification
de la conscience ? expérimentation limitée et pénible
ou libre et harmonieuse - (travail de changement de contexte = voyage de
la conscience).
Par rapport aux situations choisies par notre
conscience supérieure : 1/ on est responsable et conscient ou 2/
identification au mental inférieur ? victimite et lutte / refus.
Le Soi propose des leçons, la conscience
prise dans la personnalité expérimente elle-même et
détermine la vitesse d’apprentissage en fois ou plusieurs fois.
La conscience existe dans un espace multidimensionnel
cad ?t d’ incarnation et espace-temps. Le temps comme limite choisie pour
notre champ d’expérience ? règle du jeu.
En tant qu’être humain ? pouvoir de
choisir nos conditions d’évolution (conscience du Soi) et notre
réponse (conscience de la personnalité).
CH VIII. LE PROCESSUS D’ATTRACTION
DES EVENEMENTS
1/ Capacité de création du
mental.
Les règles du processus de création
ne sont pas accessibles qu’à partir d’un certain degré d’évolution
? afin d’éviter les catastrophes.
Capacité d’attraction ou de création
du mental ? ex. Technique de pensée créatrice, de visualisation
? ? un résultat probant.
« PNL » ou processus ésotérique
? pas si complexes que ça. Même si pas défini clairement,
en détail, on peut s’en servir. ? une connaissance globale de processus
suffit pour utilisation ? résultats concrets ? expérimentation
/// FX - les reconnaître.? la structure mentale crée et attire
les conditions d’apprentissage.
? comment pouvons-nous tout attirer, de façon
consciente ou non, désirée ou non. Quelle est la source de
cette attraction, par quoi est activée cette substance mentale consciente
et subconsciente ? (subconscient = inconscient + supraconscient).
Partie ICS = mental inférieur préprogrammé.
Partie supraconsciente = mental supérieur
en contact avec le Soi. ? ? processus de création constants à
tous les niveaux conscients et inconscients.
Le Soi se sert du système mental pour
attirer les circonstances et situations qu’il juge appropriées pour
notre évolution.
Le Soi utilise le mental de deux façons
:
1/ Directement, en infusant des structures
mentales alignées avec sa propre volonté (enregistrement
dans le mental supérieur)) ? pas toujours conscientes dans le mental
supérieur ? une partie de ce que nous créons et attirons
provient de ces structures ? la vie que l’on a choisit + les acquis antérieurs
? développement propre (développement et harmonisation de
la personnalité) + contribution au monde.
2/ Par le biais du mental inférieur
et donc du filtre mental. ? réceptacle des systèmes de pensées
? siège de la volonté de la personnalité ? qui
s’expérimente elle-même pour s’aligner avec la volonté
du Soi. Observez ce que vous attirer dans votre vie, vous apprendrez à
vous connaître vous-même. Observez ce que vous attirez dans
votre vie, vous apprendrez à connaître ce à quoi votre
conscience est identifiée. (? aux conclusions hâtives et aux
observations superficielles.) ? d’où création consciente
= 2%; création supraconsciente = 98 %.
On perçoit la réalité
ainsi attirée avec le même instrument (=mental) ? on crée
la réalité que l’on perçoit et notre perception. ?
d’où expérience de la réalité ? et travail
de perception donc de conscience.
Attraction = Hasard = force du processus
d’évolution servie par la volonté du Soi.
? les structures mentales, conscientes ou
subconscientes sont déterminées par le degré d’évolution
et par le travail à faire sur soi. ? plus on évolue, plus
les structures sont conscientes et sont l’expression directe de la volonté
du Soi
Création de la réalité,
perception de la réalité et expérience de la réalité
sont intimement reliées et fonction du niveau de conscience déjà
atteint.
Le point de vue permet de voir les possibilités
d’apprendre à créer consciemment.
1/ être conscient des structures mentales
? créer.
2/ s’ouvrir à la volonté du
Soi ? créer en harmonie.
? un structure dans notre personnalité
pour créer et attirer sous la supervision du Soi les conditions
d’apprentissage.
? 2 modèles : 1/ ésotérique
?chologique (avec la conscience humaine) 2/ l’énergétique
(énergie de l’être humain).
Plus le modèle est large, plus ? bien-être,
compréhension, pouvoir et liberté.
avec 1/ la conscience en évolution
vers l’expression plus large et plus directe 2/ attraction des conditions
d’apprentissage nécessaires.
Le temps comme dimension à expérimenter
à fond pour la transcender et ? voir comme règle du jeu +
dans quelle mesure il s’applique à ce jeu / où il n’a plus
effet.
? un processus global de choix majeurs pour
l’incarnation par rapport à bilan des acquis, des choses accomplies
et des possibilités d’expérimentation et d’acquisition de
la vie future.
? 2 tâches à accomplir : 1/
tâche personnelle ? travail sur la personnalité pour l’harmoniser
avec le Soi 2/ tâche de contribution ? le positif à apporter
au monde.? travail réalisé avec notre Soi et ses guides.
Note : Plus une personne est évoluée,
plus elle fait des choix personnels pour développer sa propre individualité.
Sinon, ? le choix de ses guides si incapacité de choisir.
Choix des conditions de départ = principe
avec 2 aspects :
1/ aspect apprentissage par l’expérience
directe.
2/ aspect apprentissage par la loi du Karma.
? Rien n’est totalement écrit car
? le choix de la réponse en fonction des circonstances ? le choix
est restreint par les limitations de sa propre conscience.
3/ Le principe d*apprentissage par l*expérience
directe.
? au niveau énergétique et
conscience et pas au niveau mental. ? il y a ce qu’il reste à apprendre
et à maîtriser ? la vitesse d’évolution dépend
donc du choix. L’incarnation comme condition choisies pour favoriser
au maximum l’apprentissage à faire pendant cette vie. ? conditions
de départ, puis fonction des réponses ? l’attraction est
?te (et aussi selon les programmations du mental & principe de pensées
créatrices). Il n’existe pas de hasard ni dans incarnation ni dans
programmation du mental supervisée par le Soi. Idem pour conditions
traumatiques etc... comme étapes à passer, comme matériel
de travail nécessaire à l’évolution
? les conditions d’incarnation non pas à
blâmer mais à regarder comme travail à accomplir
? utilisation de l’énergie + observation avec + de sérénité
? d’où libération + rapide. Le principe d’apprentissage est
aussi valable pour le karma.
4/ Le principe d*apprentissage par la loi
du Karma.
(ou loi du retour) - ? aux déformations
et aux modèles simplistes. Sens réel : ? car plus large que
: on récolte ce que l’on a semé
Les vies passées comme support pour
créer état de conscience plus avancé.
But fondamental : attirer circonstances favorables
en fonction du potentiel de l’être humain dans son processus d’évolution.
? maîtrise du véhicule et expression plus complète
du Soi.
? But éducatif et évolutif
issu de la grande loi d’amour et d’harmonie de l’Univers.
? Détermination des conditions d’incarnation
et attraction énergétique.
Choix fonction d’un mouvement énergétique
dirigé par l’intérieur de base qui est l’intention d’évolution.
? loi du karma ? punition / récompense.
? mauvaise action comme action posée
par personnalité et contraire à la volonté du Soi
(car manque de contact).
But de l’évolution ? découvrir,
conscientiser des lois naturelles de l’Univers, l’essence de notre être,
et maîtriser totalement l’Univers physique et subtil dans le quel
nous vivons. On connaît quelques lois : OK
Qu’en est-il de la volonté du Soi
? Cette connaissance de certaines lois ? par le biais de nos consciences
actuelles limitées + ex. d’approximation ? ? beaucoup de tentatives
comme la morale religieuse ? malhabile.
Loi du karma = loi d’amour ? évolution
et épanouissement. Mauvaise action découle d’absence de contact
avec le Soi ? ignorance d’une certaine loi et oubli de nous-mêmes.
? la loi du karma permet de comprendre la volonté du Soi et de la
suivre. S’il a existé une mauvaise action ? il y aura conditions
pour comprendre et dépasser la situation | le concept ? bases du
bonheur et des progrès futurs découlant d’une attitude juste
- Notion de se changer soi.
Selon karma : A toute action, il correspond
une réponse instantanée parfaite.
De l’ignorance à la connaissance,
de la séparation à l’Unité (? concept à dépasser
car appartenant à la dualité). La souffrance n’est utile
que si elle nous pousse à faire une prise de conscience que nous
n’aurions peut-être pas faite sans cela. ? si ? souffrance, alors
souffrance ? punition ? ne pas endurer souffrance sans rien faire comme
pour payer une dette ? profiter de l’occasion pour apprendre.
5/ ? La souffrance fait-elle évoluer
?
? aux ½ vérités qui
égarent le monde avec toute la force contenue dans leur part de
vérité.
? cela dépend. Oui si à l’origine
d’une remise en question et de transformation de notre conscience
alors souffrance = déclic positif ; prétexte car ? ce qui
nous fait grandir = volonté et choix de remise en question ? perception
de l’Univers.
Tout dépend donc de ce que l’on choisit
de faire avec la souffrance. - ? victimite = cas typique d’une personne
qui ne veut rien savoir, ni rien apprendre ? aucun déclic pour son
évolution.
6/ ? Est-il nécessaire de souffrir
pour évoluer ?
Idem. Oui si souffrance = moyen de réveil,
sinon, non ? Si on avance de « bon gré » ? ce sont alors
les choix conscients et libres qui nous font évoluer.
Toute circonstance est bonne pour grandir
en conscience, il n’est pas nécessaire d’attendre les circonstances
difficiles pour commencer à bouger ? il n’est même plus nécessaire
de souffrir pour apprendre les leçons karmiques difficiles ? par
le travail intérieur et le choix de vivre au plus profond de Soi.
?on intègre les lois jadis transgressées et la loi du karma
relative à ce sujet devient caduque instantanément c-à-d
inutile du fait de la transformation intérieure.
? ce travail intérieur procure joie
et béatitude, le processus d’évolution devient un processus
joyeux dès lors que l’on cesse de lui résister.
Le monde autour de nous comme reflet | image
exacte de notre conscience, au niveau personnel comme collectif.
? Ne pas résister mais surfer la vague.
7/ Modèle énergétique
(aspect énergie).
Le monde comme énergie, matière
= énergie et énergies de types ?ts.
Dans processus involutif-évolutif,
l’homme a du descendre dans la matière et donc dans les mondes subtils
sont moins évidents ou perceptibles.
P165 ? on a perdu ces capacités de
perception pour une meilleure perception du monde ?siq ? ces capacités
sont maintenant à retrouver.? les capacités extrasensorielles
? percevoir les autres vibrations.
? le monde de la matière puis le monde
éthérique, puis l’astral (émotions), puis l’univers
mental (d’où viennent les pensées), l’univers causal (domaine
du Soi) ? ces univers sont régis par les lois ?chologiq ou spirituelles.
? le champ d’Energie Universel et l’aura.
? tous ces corps supérieurs ayant toujours le potentiel de maîtriser
l’inférieur. ? la lecture de l’aura et son apprentissage .
Chaque être humain constitue une unité énergétique
spécifique baignant dans le C.E.U. ? ce qui explique le processus
d’attraction.
Les corps ?siq, éthérique,
astral et mental comme véhicules énergétiques de la
personnalité à ?ts niveaux ? le travail consiste à
arriver à construire nos ?ts corps inférieurs (véhicules)
avec une matière (énergie) qui soit totalement réceptive
à l’énergie du Soi. ? Or tout changement de conscience amène
un changement du taux vibratoire de nos ?ts corps ? purifier, harmoniser,
débloquer, élever, ouvrir notre conscience ? grandir en conscience,
évoluer et apprendre.
Etat de conscience et état énergétique
sont reliées et interdépendants, et toutes nos expériences
passées sont inscrites énergétiquement dans nos ?ts
corps - Toute harmonie ou dysharmonie, réalisation ou limitation
en conscience ? à un taux vibratoire d’un certain type. Notre état
énergétique spécifique attire vibratoirement, en fonction
du « Plan d’Evolution » les personnes et situations pour travailler.
? Il agit comme un aimant dans le C.E.U. par lequel nous sommes toujours
reliés. ? cet aimant est orienté par la force de la
loi d’évolution constamment en action ? expérience d’évolution
pour l’ensemble (c-à-d nous + personnes impliquées) ? le
C.E.U qui nous relie tous permet la transmission de l’information instantanée
et le phénomène d’attraction. L’univers comme système
énergétique constamment en action pour organiser et
diriger ces mouvements d’énergie en fonction du Plan d’évolution.
8/ Comment transformer la qualité
énergétique de nos ?ts corps ?
? avec sécurité = évoluer
en conscience + travail de dégagement énergétique
émotionnel car on assume les changements + les results au quotidien.
Evolution en conscience ? transfert, transformation
et transmutation, obtenus soit par les vies répétées
soit par la prise en main et développement spirituel volontaire
par soi-même.
Le phénomène d’attraction au
niveau énergétique est plus actif juste avant l’incarnation.
9/ Comment se créent les conditions
de retour selon le modèle énergétique ?
p175. Entre deux incarnations : on meurt
au monde ?siq puis astral puis mental mais pas causal, après les
avoir expérimentés muni de notre pleine conscience. C’est
dans le corps causal qu’est enregistré l’essence de l’expérience
de chaque corps, dans les atomes permanents ? l’information sur la totalité
de l’expérience de la personnalité pour l’évaluation.
Alors il y a évaluation, le niveau d’harmonie et de puissance énergétique
acquis et ce qui reste à apprendre ? bilan au niveau d’une certaine
qualité énergétique.
Les caractéristiques énergétiques
et la qualité d’énergie donnent l’information instantanément
sur le niveau de conscience atteint (et ce qui reste à faire).
Le bilan fait, nouvelle incarnation avec
attraction de tout ce qui nous servira et facilitera notre expérience
aux ?ts niveaux ?ants aux 3 corps.
A chaque moment, notre état énergétique
? notre état de conscience, en fonction de notre niveau d’évolution
(et état énergétique attire tout ce qu’il faut pour
faire travailler cette énergie, toujours en fonction du Plan d’Evolution).
La transformation ? passage de notre conscience
identifiée à la personnalité à l’identification
au Soi pour nous rapprocher de notre nature divine.
CH IX Clarification de certains
aspects du paradigme.
? Eviter les explications rationnelles limitées,
la culpabilité, l’indifférence et l’inaction.
Les explications rationnelles limitées
? il n’est pas nécessaire de tout comprendre pour intégrer
l’apprentissage. ? ? une part pour le mental et une part pour le subconscient
(ICS et supraconscient).
Tout ne peut pas et ne doit pas passer par
la compréhension mentale ordinaire (partie rationnelle automatique
et compréhension linéaire) ? élargir le point de vue
? s’assouplir (? rigidité) ? compréhension et perception
+ large, + subtile et + directe.? c-à-d connaissance issue du Soi
= Intuition comme capacité de compréhension supérieure
non linéaire qui inclut la compréhension strictement rationnelle
et la dépasse ? au niveau intuitif, la compréhension est
plus claire, + rigoureuse, + précise / le génie). Le travail
d’apprentissage ne devient conscient que lorsque l’individu s’est engagé
volontairement dans ce travail, les prises de conscience deviennent alors
plus significatives. ? la dynamique intérieure des choses se manifeste
alors plus clairement à la conscience pour donner à l’être
humain la possibilité de choisir consciemment au niveau de sa personnalité
? les processus se manifestent dans un espace multidimensionnel alors que
la conscience ordinaire dans un espace temps à 4 dimensions.
L’ouverture d’esprit que donne le contexte
de responsabilité nous permet de rester ouvert à l’apprentissage
et de cesser de résister à tout ce qui est là, même
si nous n’expliquons | recadrons pas tout. ? Au fur et à mesure
que notre conscience s’élargit, tout devient plus clair et plus
cohérent, mais nous ne pouvons faire qu’un pas après l’autre.
? même si l’apprentissage a pu se faire, il peut se passer du temps
avant que nous le réalisions.
Plus l’être humain est avancé
en conscience, + il est capable de saisir la signification profonde
des choses et d’utiliser les circonstances au maximum pour sa propre
croissance. ? cette dynamique s’accélère avec le temps dans
le sens de + de connaissance et de maîtrise. P182
L’apprentissage et la croissance au niveau
global sont toujours facilités dans la mesure où nous en
prenons la responsabilité - Utiliser au mieux nos ressources.
Moins nous résistons, + nous
évoluons, + nous sommes proches du bonheur et de la liberté.
? c-à-d aussi sans processus intellectuel c-à-d disséquer
& analyser, qui peut très bien venir plus tard. ?l’expérience
et l’apprentissage sont là, on fait, plus tard on comprend, au moins
en partie (un des aspects). Mais au départ, l’impulsion est là.
? attraction au niveau quotidien dans cas plus simples. Ex. : quand nous
sommes dirigés par notre mental émotionnel préprogrammé
? le hasard fait que ... et parfois d’anciennes programmations de «
protection », de défense, resurgissent, car on ne s’en est
pas dégagé. ? pas toujours approprié. ? ce n’est pas
la mécanique du Soi qui entre en action mais celle du mental inférieur,
avec derrière celle du Soi. ? occasion d’expérience et d’apprentissage
et de croissance. ? victimite - Ne pas se faire souffrir soi-même.
Etre constructif. Repérer la programmation ICS, en prendre conscience
et travail personnel de dégagement. P185.
Pour événements + fondamentaux,
impact mêlé du mental inférieur et de la volonté
du Soi. ? ? explication ? + ou - inappropriée | simpliste ? voir
le sens , le but de l’événement. ? éviter les pièges
des explications ? simplistes. ? Ne pas interpréter les problèmes
des autres (avec ? rationnelle) ? la réponse vient d’elle-même.
Tout au plus quelques suggestions | aides. Mais ? à l’erreur ? manque
de connaissances.? pour les événements qui nous concernent
: qu’y a-t-il là pour moi ?, méditer, poser la question à
son Soi, à son intuition. ? soit réponse soit ne pas résister
et laisser aller, accueillir la situation pour grandir et aller chercher
le meilleur de nos ressources. ? +, en prenant conscience que nous sommes
à la source de cette situation + poser la question ? la réponse
vient en temps voulu, si elle est nécessaire, en fonction de notre
intention de départ. - L’important est d’accueillir les événements
comme appropriés pour nous et ne pas résister. L’intégration
de l’apprentissage se fait naturellement pas la non-résistance.
? ? ne pas rester passif. ? non-résistance
= + d’énergie pour faire face aux événements de façon
efficace, créatrice et dynamique .De +, ON A LE TEMPS. ? notre Soi
est inflexible mais très patient dans le travail de construction
de son outils de manifestation, la personnalité. ? les expériences
se représenteront jusqu’à intégration complète.
Se connaître comme à la source
de tout, c’est tout, sans jugement sur nous-mêmes, avec confiance
en notre Soi qui nous guide, notre intelligence et notre coeur. ? cette
acceptation et cette non-résistance suffisent pour créer
une dynamique accélérée d’évolution.
1/ La blâme face à soi-même.
Ne pas utiliser le concept de responsabilité
pour se blâmer soi-même. Rendre les choses plus claires et
plus satisfaisantes pour l’esprit, pour nous libérer du jugement
et du blâme. ? d’où action meilleure pour l’entraide. ? Si
nous attirons des situations difficiles, ? : ?t de mauvais karma, plutôt
« appropriées pour apprentissage » ? donc situation
« parfaite » car mettant en présence tout ce qui nous
permet d’apprendre.
p188. ? difficulté à accepter
cette « perfection de l’Univers » ? car situation pas toujours
agréables pour notre conscience ordinaire. ? but : construire e
véhicule de manifestation pour retrouver tout notre pouvoir divin,
notre liberté et notre bonheur absolu. ? notre personnalité,
par ses limitations et son ignorance, vise le plaisir immédiat et
le plus facile ? d’où résistances ? d’où prendre conscience
de ces difficultés pour avancer dans l’apprentissage et grandir
de façon saine et constructive. ? les situations et personnes difficiles
| dures, nous inspirent compassion envers nous-mêmes et les
autres plutôt que jugement, attribuer au contraire grande force et
courage pour passer de telles épreuves. « Aux grandes âmes,
grands challenges ».
Si vie difficile ? signe du choix d’avancer
vite. ? le principe de responsabilité nous redonne confiance en
ce que nous sommes vraiment et le courage nécessaire pour faire
face aux épreuves. ? apprendre à jouer avec la vie telle
qu’elle se présente, à reconnaître nos remarquables
créations dans le but d’évoluer, à jouer aux retrouvailles
avec notre être + le dégagement de toute culpabilité
par la responsabilité.
2/ L*indifférence.
Le principe de responsabilité permet
de mettre en pratique notre compassion, notre amour, notre respect
de autres, ainsi que notre capacité d’aider et de soutenir les autres
au cours de notre vie (lois naturelles d’entraide et de fraternité).
? donc ? du « chacun pour soi » égoïste , bien
que chacun attire ses situations, ses bonheurs et malheurs. ? on attire
aussi des gens qui nous demandent de l’aide. La volonté de mon Soi
est de manifester la grande loi d’amour inconditionnel et de fraternité,
appliquer pour être en accord avec soi-même, en harmonie.
L’intention de notre Soi est d’aimer et de
servir ? c’est le grand apprentissage à faire ? donc ?t d’indifférence
et d’égoïsme mais facilite au contraire l’émergence
naturelle du sentiment de générosité, de fraternité
et de réelle compassion, pour alléger les souffrances d’autrui.
Car nous sommes tous dans la même recherche - de paix, de bonheur
et de liberté ? d’où expérience de notre propre humanité
et celle de ceux qui nous entourent. ? d’où + de compassion, de
compréhension et moins de jugements, blâmes, destructions.
? Attitude ?te de celle du « sauveur » victime qui vit dans
un contexte d’irresponsabilité, d’impuissance, de haine et d’agressivité.
La ?ce entre aider et soutenir. Soutenir
comme supporter c-à-d donner un support avec point de vue
sur personne ?t = pas quelqu’un de faible mais quelqu’un avec un potentiel.
Aide = momentanément ex. : donner un poisson. Soutenir = apprendre
à pêcher c-à-d demander un peu plus pour compréhension
en limitant l’aide , pour pouvoir mieux soutenir. P194
3/ L*inaction
Le concept de responsabilité pousse
à l’action, et pas assis à rien faire, ou attendre des autres,
ou que les autres changent ou les changer de force. ? Le résultat
de nos actions est fonction de notre intention et de notre état
de conscience. Le concept de responsabilité pousse à une
action saine et équilibrée. Car nous créons alors
ce dont nous avons besoin pour travailler. On récolte tôt
ou tard ce que nous avons semé au niveau de l’intention. ? nous
pouvons changer le monde selon notre vision personnelle et collective,
nos pensées personnelles et collectives, donc notre karma personnel
et collectif et notre niveau d’évolution personnel et collectif.
? s’affirmer, exprimer clairement notre vérité, à
partir d’une attitude forte et sereine menant à une action juste,
intelligente, ferme et courageuse, et plus efficace (début de la
sagesse). ? si nous voulons changer le monde, c’est à nous de faire
ce qui nous semble approprié pour changer notre niveau de conscience,
au niveau personnel comme au niveau collectif. ? d’où action juste
sourcée par le Soi. ? les conséquences au quotidien = ? santé,
travail, NRJ, créativité, abondance.
CH X Conséquences
du paradigme
1/ La libération de la négativité.
Même processus que vis à vis
de la position de victime. Le contexte de responsabilité offre :
1/ le dégagement de la négativité, 2/ épanouissement
des plus belles qualités de l’être.
Une des premières conséquences
de l’application du principe des responsabilité est la libération
des émotions négatives (colère, peur, rancune, sens
de l’injustice, jalousie, blâme, jugement, culpabilité...)
? très important ? d’où maîtrise du moi inférieur
de façon souple et non coercitive ? pour changer les basses
émotions négatives d’orgueil, de séparativité
et victimite pour un substitut mental émotionnel supérieur
c-à-d sagesse, équilibre, sérénité,
intelligence, amour... - Le contexte de responsabilité « facilite
» le dégagement émotionnel (car les émotion
négatives ont leur racines profondément ancrées dans
l’ICS / expériences de l’enfance / vies antérieures) ? d’où
travail de dégagement émotionnel avec techniques appropriées
et participation au maintient plus fragile des résultats. P199.
2/ Libération de la peur, de l*anxiété,
de l*angoisse et du stress.
L’état intérieur et les programmations
négatives à l’approche d’un événement subi
et mal vécu ? se recentrer et reprendre la confiance de son Soi
et du Soi de chacun, installer une nouvelle programmation pour remplacer
l’ancienne issue d’une expérience traumatique ? la confiance en
Soi s’établit solidement et améliore la qualité de
vie. ? ce qui nous arrive est ce dont on a besoin ? rien de fondamentalement
destructeur ne peut survenir dans notre vie ? et ce, même si on a
décidé d’accélérer notre propre processus d’évolution
(et donc des circonstances parfois difficiles) car tout sert à l’apprentissage.
P200.
Au cours de l’évolution, les systèmes
de défense devront être détruits (comme d’autres parties
sclérosées) car étouffant notre propre Soi, en dépit
de l’attachement du moi inférieur qui les voit comme protecteur
(survie) et qui s’y agrippe (vieilles habitudes de pensée, habitudes
?cho...).? le lâcher prise au niveau de l’ego pour donner de l’espace
à notre Soi, donc lâcher une partie familière au profit
de mieux, et parfois l’impression d’être détruit car problème
d’identification de l’ego ? libération de la prison de l’ego.
« C’est seulement dans la mesure où
l’homme s’expose lui-même encore et encore à l’anéantissement,
que ce qui est indestructible émerge du fond de lui-même.
En ceci réside la dignité d’oser ... et plus les profondeurs
de son état d’être sont révélées et les
possibilités d’un vie et d’un devenir nouveau sont ouvertes
» KGD.
? notre personnalité a peur car elle
se sait destructible.? alors naît la peur et l’anxiété
dès lors que l’on identifie notre conscience à notre
personnalité. ? Ecouter la voie de notre mental inférieur
qui nous liste nos peurs, observer et agir avec technique de travail.-
Ex. : découvrir le sentiment permanent d’insécurité,
issu de ce besoin de contrôler, et qui est très fatiguant.
? Idem la peur de destruction et d’annihilation
, la peur d’un sort injuste et aberrant, hasardeux, cette peur et les stress
ICS qui en est sa conséquence directe, disparaissent avec ce nouveau
paradigme. ? c-à-d que nous cessons de les alimenter. P202. ? Par
ce nouveau paradigme ? nouveau point de vue ? certitude d’entrer en contact
avec nous-mêmes, avec notre Soi, avec le fait d’être en charge
de sa vie ? se sentir nourris et protégés ? un sentiment
de sécurité s’installe en nous, il se vit et ne se dit pas.
? car ce nouveau paradigme n’est pas arbitraire mais plus proche de la
réalité profonde de l’être d’où une perception
plus subtile de la présence de notre Soi, au delà de notre
mental linéaire rationnel ? l’expérience du Soi éternel
et indestructible nous permet d’identifier notre conscience à ce
Soi d’où expérience de la vie différente. ? cela construit
à l’intérieur un sens de confiance dans la vie et de sécurité
qui ne s’explique pus rationnellement. - Ce sentiment se vit et s’expérimente
directement et est généré naturellement par le déplacement
de la conscience de la personnalité vers le Soi.
3/ Libération du ressentiment et de
l*agressivité
Le contexte de responsabilité facilite
le dégagement de la rancune, du blâme, du ressentiment, de
l’agressivité, de la N et de la colère. Toutes ces émotions
sont source de violence. Le contexte de responsabilité rend le pardon
instantané, si ce n’est superflu. Dans le feu de l’action. Y voir
constamment l’apprentissage. - La responsabilité facilite le lâcher
prise et une expression adulte. P205 C’est la façon dont nous percevons
les situations et non pas la façon dont elles sont réellement
qui détermine notre réaction émotionnelle.
Comment le contexte de responsabilité
peut-il faciliter la libération des émotions négatives
que nous nourrissons envers des personnes qui ont mal agi envers nous ?
- ? le processus, au niveau conscient, se fera en 2 étapes à
pratiquer ensemble : 1/ Reconnaître que c’est nous qui avons attiré
cette expérience telle qu’elle se présente. « Il n’y
a pas de victime dans cet Univers, il n’y a que des êtres créateurs
» - qui attirent des situations pour apprendre, l’admettre et faire
cet apprentissage évite que cela se reproduise. La situation s’est
présenté car nous avons donné une permission (au niveau
conscient, ICS et Supraconscient). 2/ Comprendre, lâcher prise et
pardonner. C’est nous qui jugeons les actions des autres comme mauvaises
en fonction de notre perception de la réalité (filtres)
alors que les actions sont correctes telles qu’elle sont en réalité.
Note : ce qui nous dérange chez les autres c’est ce que l’on ne
veut pas voir chez soi. L’autre a agit avec toutes ses peurs et traumatismes,
son niveau d’évolution + ses projections d’enfance. ? considérer
cette personne comme un être humain en pleine évolution qui
cherche son chemin vers la lumière, tout comme nous. Nous lui donnons
le droit de faire des erreurs, tout comme nous devons nous en donner le
droit. Si la personne a réellement transgressé une loi universelle,
l’Univers, dans tout son amour, lui donnera en temps et lieu l’occasion
d’apprendre à respecter cette loi c-à-d rectification du
comportement + apprendre à agir en fonction de la volonté
du Soi, comme le fait un jour tout être humain. P207.
Si l’Univers se charge de l’éducation
de tous, le recours à la justice humaine est parfois valable, mais
avec un certain état d’esprit. ? si une « blessure »
reçue ? interprétation personnelle et illusoire, ?te de la
réalité et de l’intention de l’autre, alors il est inutile
de nourrir des émotions négatives qui nous détruisent
?chologiquement et ?siquement. Vu notre attraction, comprendre et pardonner
? il n’existe ni victime, ni bourreau. « Il n’y a pas de bourreau
dans cet Univers. Il n’y a que des être momentanément coupés
de leur Soi, ignorant les lois universelles. » p208.
Notre victime intérieure s’énerve,
? elle veut notre bonheur mais s’y prend mal. Lui redonner de bonnes bases
pour agir. Note : le regard sur les parents choisis comme êtres limités
et conditionnés. Tel est le pouvoir de la pensée sur les
émotions.
J.PARKER (Gateway Institute) : « Il
n’y a vraiment rien à pardonner, car en pardonnant, je me pose encore
comme juge. » ? il n’y a que les émotions négatives
à libérer et une façon plus large de percevoir la
vie à acquérir. ? La victime ne communique pas positivement,
nourri de la rancune et cherche l’approbation des autres victimes (la plaindre).
? d’où comportement tout à fait stérile. Tout le monde
est perdant. P.210.
4/ Libération de la culpabilité.
La culpabilité comme sentiment négatif
, comme façon peu évoluée de faire face au fait que
l’on pressent les lois universelles à respecter pour être
en paix avec soi-même. ? 2 volonté en nous : la personnalité
et le Soi. Apprendre à faire face à cette dynamique intelligemment,
sans se rigidifier émotionnellement pour ne plus rien sentir.
La culpabilité comme moyen peu évoluer de limiter les dégâts.
? apprendre à fonctionner de façon harmonieuse et plus efficace.
La culpabilité naît pendant l’enfance avec la notion de bien
et de mal, avec la dynamique ? : si on fait le bien, on est correct, on
est aimé ; si on fait le mal, il y a retrait de l’amour. Or, comme
l’enfant recherche l’amour et l’approbation ? c’est un mécanisme
très puissant. ? On se fait une idée : si on agit mal, on
est incorrect : on nous retire l’amour ? d’où forte réaction
émotionnelle, ? mécanisme qui rend vulnérable et manipulable
car ayant ses sources dans l‘ICS. ? d’où solution = dégagement
émotionnel + contexte de responsabilité pour éviter
culpabilité et adopter un attitude + juste devant la vie. P212.
Ce sentiment de culpabilité vient
de : si on pense faire le mal, on transgresse une loi universelle, pour
faire face on ressent la culpabilité et on a l’impression de recontacter
plus ou moins l’approbation parentale. ? un processus en 4 étapes
qui fonctionnent ensemble : 1/ Reconnaître que la personne à
qui l’on pense avoir fait du mal s’est attiré cette expérience
(il a rendu cette action négative possible, en l’autorisant). Cet
ami est donc totalement responsable et créateur de ce qui lui est
arrivé et non victime de moi-même. « Il n’y a pas de
victime dans cet univers, il n’y a que des êtres créateurs
». 2/ Reconnaître les limites de notre conscience et se pardonner.
Reconnaître que cette action que l’on a posé alors, on l’a
posé au meilleur de nos ressources du moment (avec nos peurs, souffrances
et limites) ? en même temps, on se reconnaît alors comme un
être en pleine évolution qui est sur cette planète
pour apprendre. Et on apprend par nos erreurs (si on ne se permet d’erreurs,
on n’apprend pas). ? on se pardonne. « Il n’y a pas de bourreaux
dans cet univers, ni de coupables, il n’y a que des êtres momentanément
séparés de leur Soi, ignorant les lois universelles ».
P214. 3/ On répare, autant que cela nous est possible, avec toutes
les ressources du moment. Nous avons le courage d’agir en fonction de notre
nouvelle vérité, de notre nouvelle conscience. La culpabilité
paralyse et empêche d’agir. 4/ On ne recommence plus et on fait le
choix de vivre et d’agir en accord avec note nouvelle conscience. ? d’où
réel apprentissage. On est plus en mesure d’agir en fonction de
la volonté de notre Soi et moins en fonction de nos peurs, de nos
blocages ou faiblesses. On a appris la leçon et acquis un peu plus
de maîtrise de notre personnalité au profit de la volonté
de notre Soi. Le but est atteint. P214. Si on reconnaît la responsabilité
de l’autre, nos limites et qu’on se pardonne, il faut aussi modifier note
façon d’agir, sinon l’expérience se représente. (modifier
le contexte de pensées ? pour que l’apprentissage se fasse).
L’avantage du principe de responsabilité,
c’est que nous n’avons plus besoin de la loi de retour pour apprendre,
loi parfois très dure. ? nous pouvons choisir consciemment et volontairement
de modifier maintenant notre façon de penser et d’agir dans le monde.
Il nous permet de nous améliorer nous-mêmes de façon
libre et autonome.
5/ Travail de libération des anciennes
culpabilités.
On n’a pas besoin de se sentir coupable pour
rectifier son comportement, il suffit d’être conscient. La culpabilité
ne sert à rien sauf à nous paralyser. Nous ne sommes coupables
de rien. Nous sommes des êtres en évolution, en apprentissage.
? à nous de nous défaire de cette forme-pensée de
culpabilité.
6/ Libération de la jalousie, du sentiment
d*injustice et du regret.
P216. « Le signe de ton ignorance,
c’est la profondeur de ta croyance en l’injustice et en la tragédie
». R.Bach. Si nous savons que les conditions de vie de nous et des
autres sont exactement comme elles doivent être dans le moment, cela
veut dire que si on les accepte comme telles, on aura aussi l’énergie
pour les changer. Car elles sont « dues au Hasard », ce sont
les conditions indispensables à un apprentissage nécessaire
à l’évolution. La jalousie n’a plus aucune raison d’être
? ce sont les conditions qu’il nous faut pour grandir et apprendre. Donc
« parfaites ». En acceptant de considérer que nous sommes
à la source de ce qui nous arrive afin de nourrir de façon
optimale notre processus d’évolution, nous savons que rien n’est
injuste ou inutile, d’où détente. On entre en contact avec
le fait que l’Univers est parfait et nous apprenons à écouter
notre voix intérieure et à faire confiance à ce grand
processus d’évolution. Se dire :« Dans cet Univers, il n’y
a pas de justice rationnelle, il y a une justice absolue », et dormir
sur nos deux oreilles. P217.
Dans cet état d’esprit, nous ne pouvons
plus vraiment nourrir de regrets face au passé. Chaque situation
est appropriée à notre croissance, chaque événement
se présente en son temps, en fonction de notre état de conscience.
Nous savons aussi que nous pouvons transformer chaque situation pour quelque
chose de meilleur, à partir de nos actions, choix, notre volonté
et l’ouverture de notre propre conscience.
7/ Libération du jugement face à
soi-même et du manque d*estime de soi.
Le principe de responsabilité ouvre
la porte à l’acceptation et à l’amour de soi, et facilite
la pardon à soi-même. Se sachant dans un processus d’évolution
ordonné, on cesse de vouloir être autrement que ce que nous
sommes ou ailleurs que là où nous sommes. Nous acceptons
les limitations de notre conscience actuelle et nous travaillons pour l’élargir
afin de vivre en paix avec nous-mêmes. ? Cette acceptation ?te soumission.
P218. Cette acceptation nous permet d’avoir toute l’énergie qu’il
nous faut pour agir y faire de nouveaux choix. Ex. : quand à l’école
primaire : apprendre tout ce qu’il y a à apprendre et ne pas se
dévaloriser par rapport au secondaire. Le temps venu, tout vient
naturellement. Par contre si on lutte, on redouble.
Une autre forme de manque d’estime de soi
est l’orgueil ou la vanité (on se croit supérieur) ? on refuse
de reconnaître là où l’on est réellement. D’où
perte de temps et d’occasion d’apprendre. Il ne nous est donc pas utile
de nous comparer aux autres, chacun ayant son propre chemin (fin de la
compétition). Nous pouvons alors utiliser au mieux les opportunités
de croissance que la vie nous offre. Si nous, sculpteur, sculptons notre
Soi, la statue, il n’y a pas de honte à avoir si la statue n’est
pas terminée : on est là pour la finir. Id. Il est inutile
de la cacher ou de faire croire qu’elle est finie. Le mieux à faire
est de travailler à la finir, le sculpteur prend beaucoup de plaisir
à créer cette statue. On ne peut cacher notre humanité.
P219. Personne n’est dupe. Mieux vaut reconnaître sincèrement
le travail à faire - car alors on avance. Inutile de se mentir et
de se sentir fautif car notre personnalité est inachevée.
Inutile de se comparer à d’autres plus avancés qui ont commencé
avant nous. Ainsi on accepte les erreurs et les manques de notre personnalité.
N’oublions pas que ce nous sommes vraiment, notre Soi, est parfait. C’est
notre véhicule de manifestation qui n’est pas au point. P220.
En reconnaissant et en acceptant simplement
les imperfections de notre personnalité comme faisant partie de
notre apprentissage, il est plus facile de s’accepter tel que l’on est,
de s’aimer, d’avoir de la compassion pour soi-même, de se pardonner.
Plus on accepte notre statue dans notre état présent, plus
on l’aime sachant ce qu’elle est en train de devenir, on y travaille mieux.
Le pardon à soi-même et l’acceptation de soi sont essentiels
à un bon moral.
8/ Libération du sentiment d*impuissance.
La puissance de notre Soi est avec nous,
? une force en nous, qui, quand on l’appelle, se manifeste. Quand la conscience
s’identifie à la personnalité ? on ressent l’impuissance
? la personnalité seule n’a pas ce pouvoir réel. Seul le
contact avec notre Soi peut nous donner l’expérience et la
certitude de notre propre pouvoir. La libération du sentiment d’impuissance
nous révèle comme créateurs et permet de mettre en
action consciemment le pouvoir créateur de notre mental. De créateurs
ICS nous devenons créateurs conscient. P221.
9/ Libération des émotions
négatives par ouverture à l*énergie du Soi.
Le temps de changer certains mécanismes.
Laisser émerger ces émotions et ne pas les supprimer. Transformer
progressivement ces émotions en tranquillité et en sagesse.
Percevoir cette « perfection » de l’Univers nous permet de
nous recentrer plus rapidement en nous-mêmes et de retrouver le contact
avec notre lumière intérieure. En pensant en fonction du
contexte de responsabilité, nous ouvrons la porte à l’énergie
de notre Soi à laquelle nous nous « identifions ». Ce
qui va nous aider à transformer nos émotions négatives
est le contexte de pensées + l’énergie transformatrice de
notre Soi que ce contexte a rendu possible dans notre conscience (donc
? simple processus intellectuel ? le cocher se débrouille par lui-même
et en même temps il demande de l’aide au Maître ? d’où
nécessité du contact et des techniques. p222. Ne pas s’identifier
à l’émotion, en être témoin et appeler la lumière
en nous. Ultimement le cocher sera tellement réceptif aux ordres
du Maître que notre vie sera complètement dirigée par
notre Soi, via le mental. - Ouvrir la porte à notre Soi et la paix,
l’harmonie, le bien-être, la puissance, la joie et les émotions
positives émergent naturellement en nous). Le contexte de responsabilité
est l’une des clés fondamentales pour ouvrir cette porte dans notre
système de pensées.
Dans les relations d’aide, ce contexte est
d’une grande utilité + Intelligence. Le contexte de R.-A.-C. permet
au résultats de demeurer permanents, de retrouver l’autonomie, le
pouvoir et une réelle confiance en soi et en la vie. Le cocher apprend
à conduire le cheval. ? excellent antidote à la violence.
D’où : pour les enfants : respect, acceptation, partage, sagesse
et compassion.
CH XI Conséquences
du paradigme (2) L’épanouissement de l*être.
Avec la pratique du paradigme ? épanouissement
de l’être comme manifestation naturelle du Soi.
1/ Paix, sérénité, confiance,
joie de vivre.
De la disparition de l’anxiété,
de la peur et du stress découle naturellement un sentiment de paix
et de sérénité né d’une plus grande confiance
en la vie. Cette confiance s’appuie sur une plus grande compréhension
des mécanismes de la vie. Nous sommes moins vulnérables car
nous savons que les épreuves difficiles ne sont pas des preuves
de l’absurdité, de l’injustice ou de la méchanceté
de la vie mais comme un apprentissage plus difficile pour un avancement
plus grand. C’est approprié (justesse) et donc nous avons tout ce
qu’il faut pur y faire face (avec le choix de la réponse). Le sens
de la présence de notre Soi en nous apporte une certitude intérieure
d’où calme et sérénité + l’univers ?
hostile. Un réel sentiment de confiance en la vie peut s’installer
en nous, car notre Soi veille, dans son amour et sa lumière, il
guide et protège totalement toutes les expériences de notre
personnalité, non pas du difficile mais dans le sens « approprié
».
Si nous reconnaissons la présence
de notre Soi alors l’amour, la lumière et la puissance de notre
Soi deviennent plus disponibles. Ce sentiment de présence de notre
Soi permet de vivre pleinement, car avec confiance sereine. En tant que
victime, on se coupe d toute aide. Avec R.A.C., la puissance et la lumière
de notre Soi nous inspirent, nous guident et nous permettent de vivre les
épreuves plus sereinement. P227. - « Il n’y a pas de personnes
sans ressources. Il y a seulement des états d’esprit où l’on
se trouve sans ressources. » - En nous reconnaissant à
la source de nos expériences, nous commençons à réaliser
notre but ultime, à savoir harmoniser la volonté de notre
personnalité avec celle de notre Soi. Nous sommes alors en mesure
de prendre possession des ressources infinies de notre être intérieur
et d’expérimenter sa paix, sa certitude, sa sérénité.
2/ Sagesse, Intuition, Créativité
;
Dans cette paix grandit aussi la sagesse
(les émotions négatives ayant diminué, nous pouvons
entendre la voix de notre Soi). Notre intuition possède ainsi un
canal plus clair et plus libre pour se rendre jusqu’à notre conscience.
L’activité mentale devient plus libre, entraînant une plus
grande agilité intellectuelle, une capacité de concentration
supérieure et une plus grande créativité ? la vie
devient plus harmonieuse, riche et satisfaisante.
3/ Relations saines, harmonieuses et épanouissantes.
Lorsqu’on se débarrasse de la culpabilité,
du blâme et du ressentiment, on cesse naturellement de manipuler
les autres en les faisant se sentir coupables. (ex. : avec le conjoint,
collègues ou parents). Un grand assainissement des relations s’effectue
à partir du concept de responsabilité d’où l’expérience
de l’acceptation et de l’amour inconditionnel. P228. Le contexte de responsabilité
facilité le dégagement des projections et permet de créer
des relations plus saines et plus satisfaisantes.
Dans un couple, l’expérience humaine
est fondamentale. On ne rencontre pas l’autre par hasard. Il y a
beaucoup à apprendre, à développer, à compléter
et à harmoniser avec notre conjoint actuel. Si on blâme l’autre,
on cesse de se regarder soi et on ne peut apprendre. (? aux attentes émotives
ICS issues de l’enfance) ? fin de la recherche du prince (sse) charmant
(e). P229. D’où prendre la responsabilité de soi dans le
couple, avec communication responsable, sachant que l’autre est libre de
sa réponse, que c’est notre libre choix de vivre en couple avec
cette personne ou non, quelles que soient les circonstances. (ce n’est
pas ce qui est là qui détermine notre vie mais ce que nous
choisissons d’en faire). En sortant les reproches, les projections parentales
ICS, le concept de responsabilité permet de vivre de façon
adulte dans le respect de l’autre, la prise de responsabilité dans
la relation et finalement, la paix, l’harmonie et la liberté. Il
permet d’expérimenter l’amour inconditionnel, l’acceptation, l’échange
vrai, de faire le point sagement sue l’état actuel d’une relation,
d’en déterminer la pertinence, de faire qu’elle devienne une remarquable
opportunité de croissance. Id. facilité des relations entre
parents et enfants avec acceptation, respect de l’autre et amour inconditionnel.
Ex. : si on n’approuve pas, cela reste les choix des autres, on reste en
paix, un regard sur l’évolution. D’où changement d’atmosphère.
D’où qualité de la communication et plaisir. P231.
4/ Respect du processus évolutif de
chacun.
Le concept de responsabilité nous
enlève le poids du sort des autres sur nos épaules. Il n’y
a ni sauveteur, ni personnes à sauver. Personne ne peut faire notre
évolution à notre place. Le maximum que nous puissions faire
est d’offrir notre aide, s’il ? un accord en face. ? nous reconnaissons
le pouvoir de son Soi, le respectons et lui faisons confiance. En particulier
avec nos enfants. Ex.1 : avons-nous été de bons parents ?
si l’on inculque pas les bons principes, c’est ceux qu’on choisi nos enfants.
Id. Pour nos qualités et nos faiblesses. (Hors de la culpabilité).
Nos enfants nous ont choisi comme nous avons choisi les nôtres, tout
est parfait car c’est ce qu’ils ont choisi pour évoluer et grandir
dans cette vie. Faire au mieux.
Ex. 2 : que pouvons-nous faire pour éviter
des souffrances à nos enfants ? Beaucoup et peu à la fois.
Ils vont décider d’eux-mêmes, pas à pas, ce qu’ils
feront avec les circonstances qu’ils ont choisies. Nous ne pouvons donc
pas changer grand chose. Nous pouvons beaucoup, par contre, si nous leur
donnons l’exemple de l’amour, de la sagesse et d’un grand nombre de qualités.
? impact positif. ? nous pouvons offrir ce que nous avons de meilleur à
nos enfants, mais c’est leur choix de le prendre ou non. Nos enfants ont
le libre choix de leur vie, à commencer par le choix de leurs parents.
Si nos enfants choisissent leurs parents, nous attirons aussi nos enfants
? attraction / Choix mutuel d’où réalisation, pour expérimentation
et développement à leur contact. (Et souvenir des enfants
en bas âge de l’ancienne relation des vies antérieures). P.233.
« Vos enfants ne sont pas vos enfants, ils naissent par vous mais
pas de vous, ils ne vous appartiennent pas. Ils ont une existence distincte
de la votre. »
5/ Capacité de se laisser porter par
le flot de la vie.
? c-à-d ne plus résister à
la vie. « Rien ici-bas n’est plus souple, moins résistant
que l’eau, pourtant il n’est rien qui ne vienne mieux à bout du
dur et du fort. » (Lao Tseu). ? grande force intérieure, sérénité,
grande liberté et plus grande efficacité dans l’action. «
... Or cet état d’esprit calme et serein à un effet vibratoire
tellement positif sur notre corps et notre conscience que l’on a tendance
à attirer, à ce moment là, des circonstances positives
(c’est une loi de l’Univers, loi énergétique, fonction de
l’état énergétique global). P.235. L’état d’esprit
de victime bouffe les énergies (émotions négatives,
frustrations directes ou indirectes) donc il nous reste moins d’énergie
pour agir positivement et modifier ce qui ne nous convient pas. + attraction
de mésaventures et déceptions. ? nous pouvons rectifier le
cour des choses en modifiant notre état vibratoire, donc notre état
de conscience, en changeant de contexte de pensées. P236. Dès
que l’on cesse de résister à la vie et que l’on vit dans
l’état d’acceptation de ce qui est, on crée un état
d’harmonie intérieur et extérieur. Cet état positif
est très puissant au niveau vibratoire et attire plus d’harmonie
dans notre vie. De plus, on dispose de toute l’énergie nécessaire
pour changer ce qui est, si ce qui est ne nous convient pas. « Ainsi
l’acceptation devient le moyen le plus rapide et le plus pratique de se
libérer d’une situation difficile alors que la révolte resserre
inexorablement le noeud. » - Accepter, ne pas résister à
la vie ne veut pas dire ses soumettre. La soumission est de la résistance
non exprimée, c-à-d résister sans rien dire, accumuler
frustration et ressentiment, puis endurer jusqu’où ce n’est plus
tenable (la victime se victimise encore plus). La soumission empêche
d’agir. [Nuance] : Accepter c’est simplement reconnaître les faits
tels qu’ils sont et en bénéficier joyeusement se ceux-ci
nous sont favorables et s’ils ne le sont pas, agir intelligemment et consciemment
pour les modifier en redéclarant notre pouvoir face à la
situation. L’acceptation donne le pouvoir d’agir. « Ce à quoi
on résiste persiste. » ? donc lâcher prise ? l’action
devient possible. « Lorsque l’on est en paix avec l’Univers, l’Univers
est en paix avec nous ». La poisse attire la poisse. P.238.
Un gros juron pour exprimer sa frustration
puis se reprendre. Il y aurait une loi vibratoire qui entre en action à
chaque instant de notre vie et que nous créons nos propres circonstances.
La responsabilité nous permet également de développer
la sagesse d’accepter ce que nous ne pouvons changer. Ex. : la mort d’un
proche. En facilitant une réelle acceptation de la vie et le lâcher
prise, le concept de responsabilité nous redonne pouvoir et énergie.
D’où ? du taux vibratoire et attraction de bienfaits supplémentaires
imprévus [lorsque nous aimons la vie, elle nous le rends bien -
OK]. P239.
6/ Dédramatisation, Jouissance du
moment présent, Humour
Prendre soin de soi-même et accepter
que les autres prennent soin de nous. Abandon et réceptivité
? ouverture pour épanouissement des relations. Lorsque nous percevons
la vie à travers le paradigme de R.A.C., nous savons que nous sommes
sur le chemin vers la lumière et que notre Soi veille et nous guide
[foi]. P240. Ainsi de grands drames de la vie perdent souvent de leur importance
d’où merveilleux voyage vers le pouvoir, l’amour et la liberté.
Nous n’avons pas besoin de contrôler constamment notre vie, ce qui
est très fatiguant. Avec la confiance en la vie, c’est moins dramatique
et on célèbre les beaux moments, sans ces peurs souterraines
qui ternissent souvent nos plus belles joies. Ainsi en dédramatisant,
on apprécie ce que l’on a et on peut jouer le jeu de la vie
plus librement et plus joyeusement. ? jouissance du moment présent.
Dans cet état d’esprit de paix et de confiance, nous développons
un nouveau sens de l’Humour qui entretient le plaisir et la joie dans notre
vie et celle des autres.
7/ Gratitude.
Le concept de responsabilité permet
de vivre dans une sentiment quasi permanent de gratitude, envers soi, envers
les autres, l’Univers et est issu indirectement du Soi. Ce sentiment de
gratitude nous remplit le coeur de douceur et de tendresse. Loi : plus
on est reconnaissant, plus la vie est généreuse avec nous.
OK. Car la gratitude, la reconnaissance du coeur, nous met dans un état
vibratoire qui attire automatiquement des choses de haute qualité
pour nous. (la victime est incapable de vraie gratitude car ICSment elle
n’en a jamais assez, tout lui est du, elle compte). Le concept de responsabilité
nous permet d’apprécier tout ce que nous recevons de la vie, et
met la joie dans notre coeur. P.241. Note : si nous attirons une personne
qui nous fait du bien : 1/ merci à nous-mêmes (attraction(
2/ merci à la personne réelle. Avec cette reconnaissance,
nous avons une belle occasion d’ouvrir notre coeur et d’élever notre
fréquence vibratoire.
8/ Fraternité, compréhension,
compassion, sens d*unité.
Avec la responsabilité, plus d’indifférence.
Nous ne jugeons plus les personnes qui se sont attiré des conditions
pour un apprentissage plus dur. Notre capacité de compassion se
développe car nous savons que notre but est le même et que
nous créons notre propre route, parfaitement appropriée.
D’où l’autre expérience de notre humanité et de celle
des autres. ? nous développons un sens d’unité, de fraternité
avec tous les êtres humains. Nous nous percevons tous comme des êtres
en évolution vers l’expression de notre propre perfection, l’expression
de notre Soi. Nous prenons la responsabilité de notre propre évolution
et nous pouvons soutenir les autres dans la leur. ? compréhension
et amour inconditionnel. P.242.
9/ Contribution et service dans la joie et
le détachement.
« Le meilleur moyen de te borner à
la médiocrité est de faire uniquement ce pour quoi tu es
payé » Og. Mandino. Le désir de contribuer et de servir
jaillit naturellement du Soi (pas forcé ou dirigé)./ La responsabilité
nous met en contact avec le Soi et nous stimule pour créer du bien-être
pour nous et pour tous. Lorsque le service vient du Soi, il trouve sa récompense
dans l’expression de lui-même.- Cet état d’esprit de service
et de contribution transforme complètement le travail de tous les
jours. Si nous avons l’impression de service, d’apporter quelque chose
de valable au monde ; de fastidieux et ingrat, notre travail devient enrichissant
et épanouissant. Avec la responsabilité, on est capable
de servir réellement à partir de Soi ? on le fait avec plaisir
comme expression naturelle de notre richesse intérieure. On n’attend
rien en retour mais comme notre état vibratoire est très
élevé, nous attirons une série de récompenses
même si n n’a rien demandé, c’est bonus EXTRABALL... On crée
une vie pleine de cadeaux par le service joyeux et le détachement.
10/ Attitude constructive face à l*échec
P.243. Comme une des clés du succès.
Comme tout est approprié, au lieu de juger et de blâmer quand
arrive un échec, on cherche à comprendre et à apprendre
de ce résultat qui ne correspond pas à ce que nous voulions.
? nous cessons de résister à ce que nous pourrions interpréter
comme des échecs. ? exp. ? notre succès se construit ainsi
le plus sûrement. La responsabilité comme clé de la
réussite, la victime s’arrangeant ICSment pour que les choses tournent
mal, afin de confirmer son scénario ICSnt. (avec responsabilisation
et accusation). La responsabilité met toutes les chances de notre
côté pour réussir (succession de « heureux hasards
») ? l’univers semble nous soutenir presque miraculeusement dans
nos entreprises.
11/ Autonomie.
Avec le contexte de responsabilité,
nous prenons la responsabilité de notre vérité, nous
l’acceptons, cela nous permet de confronter notre vérité
avec la réalité et de l’élargir de plus en plus par
notre propre expérience. Le processus de croissance se fait ainsi
naturellement grâce à cette autonomie de pensée. P.244.
Nous sommes en charge de notre destin et personne d’autre. Nous savons
que c’est par notre pratique de la vie que nous apprenons et perfectionnons
notre propre façon de jouer, personne ne peut faire cela à
notre place ? on ne dépend plus des autres. Etant créateurs,
ce que nous allons trouver dans la vie comme dans une relation, c’est ce
que nous allons y apporter. Nous choisissons de croire quelqu’un d’autre,
nous prenons la responsabilité de ce choix.- Aller chercher de l’instruction
auprès d’autres personnes, pour avancer plus vite, on ne peut tout
réinventer. Puis intégration de cet enseignement. (valider
/ invalider) C’est nous qui choisissons de faire avec ou sans cet enseignement,
responsabilité et autonomie vont de pair. P.245.
12/ Humilité, capacité accrue
d*apprendre.
Cette attitude de liberté intérieure
et de vraie autonomie est celle qui nous permet d’apprendre. Nous n’avons
rien à prouver et nous sommes ouverts à l’expérience
et à la découverte. Pour la victime, toute personne possédant
d’autres connaissances que les nôtres est ICSment et instantanément
identifiée à une figure d’autorité parentale ? pas
d’apprentissage, mais résistance pour avoir l’illusion d’autonomie
(? piège) ? récupération du désir sain d’autonomie
par une programmation d’enfance. ? résistance à tout ce qui
peut ressembler à une image de pouvoir. La pseudo-autonomie de la
victime en réaction à l’autorité mène à
l’arrogance. La vraie autonomie provenant de l’être intérieur
permet l’expression d’une des plus grandes qualités du Soi : l’humilité.
Dans cet état de réelle humilité, toutes les plus
belles fleurs du coeur et de l’esprit peuvent s’épanouir.
13/ Pouvoir de manifestation sain et harmonieux.
Le concept de responsabilité nous
permet de prendre contact avec notre puissance intérieure et notre
propre pouvoir de manifestation (non contradictoire avec humilité)
Quand victime ? violence et agressivité en réponse. Le pouvoir
issu du Soi, dégagé des programmations du mental inférieur
est un pouvoir sain et harmonieux. Compagne directe de l’autonomie, cette
conséquence est une bénédiction pour chaque être
humain. - Nous cessons de nous croire impuissants ? on n’a plus besoin
que d’autres dirigent notre vie car ayant une soi-disante connaissance
adéquate (? répétition de propos entendus pendant
l’enfance). Lorsque nous prenons la responsabilité, nous cessons
de nous laisser manipuler et de manipuler les autres, parce que nous avons
choisi de reconnaître, de déclarer et de manifester notre
pouvoir. Nous apprenons à ne plus avoir peur. Dégagés
des traumatismes d’autorité de l’enfance, nous respectons le pouvoir
des autres et manifestons le nôtre. ? nous devenons capables de donner
et recevoir du pouvoir. Tout le monde y gagne. [Reconnaître notre
pouvoir nous redonne notre pouvoir]. Nous sachant créateurs et avec
la puissance, nous sommes prêts à agir pour construire notre
vie et la jouer gagnante. (? victime = perdant)
14/ Pouvoir conscient de création
P.247. Se reconnaître comme créateur
facilité l’identification avec le Soi ? d’où contact avec
puissance créatrice. Avec principe de responsabilité, on
attire consciemment les événements et personnes favorables.
- Ce que l’on pense, on l’attire, on le rend réel ou on le perçoit
comme tel. Si nous sommes persuadés que nous sommes créateurs
de notre univers, notre mental va attirer des circonstances pour nous donner
raison, car il nous donne toujours raison puisqu’il attire à nous
en fonction de ce que l’on croit. ? cycle de la pensée créatrice.
? Penser positif. C’est ainsi que nous générons l’expérience
de notre univers, à partir de nos pensées conscientes et
ICStes. [Il n’y a pas d’univers limité qui soit objectif.] P.247.
L’univers ultime est formé de tout. Notre univers personnel est
construit par les décisions de notre Soi (attraction en fonction
des pensées et programmations issues des expériences passées
que notre Soi a expérimenté) ? on peut utiliser ce mécanisme
en choisissant davantage nos pensées. ? choisir d’être créateur
et créer + facilement ce que nous désirons dans la vie. ?
ex. : techniques de visualisation créatrice et de pensée
créatrice qui sont + efficaces quand le principe de responsabilité
est intégré. - On est capable de créer ce que l’on
veut, quand notre intention est claire et sourcée par notre Soi.
Il y a des lois et des conditions précises qui permettent le processus
de création consciente. Créer consciemment est un art, mais
cela s’apprend et le contexte de responsabilité est une clé
qui permet l’apprentissage de cet art. P.248. Les enfants encore proches
de leur Soi sentent la réalité de cette attitude liée
au concept de responsabilité. Les enfants peuvent ainsi créer
leur vie comme ils le veulent avec une capacité extraordinaire,
car ils sont intimement convaincus qu’ils sont créateurs et maîtres
de leur vie ? ils obtiennent ce qu’ils veulent par une succession d’ «
heureux hasards ». ? ils ne cessent de se démontrer qu’ils
sont créateurs de leur vie dans cet univers. Ils savent aussi comment
créer avec détachement ? d’où énormément
de pouvoir personnel.
15/ Accélération du processus
d*évolution
A partir de ce contexte, sachant que ce que
nous créons à l’extérieur n’est que la manifestation
de notre état de conscience, nous utilisons tous les événements
de notre vie pour mieux nous comprendre nous-mêmes et les autres
et ainsi en acquérir la maîtrise. L’évolution étant
un processus de désidentification de la personnalité au profit
d’une identification à notre Soi, le concept de responsabilité
accélère ce processus.
16/ Vitalité, énergie et santé
P.251. Le concept de responsabilité
est générateur d’un état d’esprit positif qui nous
fait nous sentir bien. Toute notre énergie devient disponible pour
créer notre bien-être et notre satisfaction. (90% de notre
fatigue provient du fait que nous résistons à la vie). Quand
nous cessons de résister, nous acceptons de couler avec ce flot.
? une énergie extraordinaire nous est accessible. ? nous sommes
ainsi en bonne santé, morale et ?siq. (beaucoup de maladies étant
générées par une accumulation d’émotions négatives
refoulées).
17/ Le pouvoir de choisir.
Comme l’un des + grands pouvoir de l’être
humain., à utiliser avec sagesse, expérimenter consciemment
pour évoluer plus rapidement. Avec ce contexte de responsabilité,
loin de l’impuissance, nous avons le pouvoir de choisir et de rechoisir
notre vie. Avec le contact avec notre Soi, on a une grande force en face
des situations difficiles ? ce qui redonne sens de la grandeur et de la
dignité d notre propre humanité.
18/ Conclusion. Et pourquoi pas la paix sur
Terre.
Le paradigme de R.A.C. bien intégré
dans son sens le plus complet apporte paix, santé, bien-être,
joie, amour, liberté et pouvoir dans notre vie et dans celle des
autres ? tout le monde est gagnant. ? ce ne sont plus nos réactions
émotionnelles qui dirigent notre vie. On devient adulte avec une
grande maîtrise de nous-mêmes. - Selon la constitution de l’Unesco
: « les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est
dans l’esprit des hommes que doivent être élevés les
défenses de la paix ». Avec le paradigme de R.A.C. ? installation
d’une nouvelle qualité relationnelle entre les êtres humains.
? avec dégagement des émotions négatives et épanouissement
de l’être au niveau personnel, entraînant des conséquences
positives au niveau collectif. D’où influence suer les événements
extérieurs ? vivre en paix avec soi-même et avec les autres
pour construire un monde de compréhension, d’entraide, d’harmonie,
de beauté et de joie. ? la paix entre les peuples.
CH XII. Questions et réponses.
Q1 : le but de la vie est d’évoluer
et d’assouplir notre personnalité pour se rapprocher du bonheur
et de la béatitude de notre Soi, et non pas d’avoir une petite vie
confortable et agréable qui nous garde finalement emprisonnés
dans les limites de notre ego. Les accords entre sois et liens karmiques.
Le soi connaît les possibilités, les gens et leurs Soi sont
responsables d’eux-mêmes et de leurs possibilités. Se laisser
ressentir ces choses humaines et normales. LE P. R.A.C. évite les
déviances.
Q2 : l’acceptation par le Soi de certaines
possibilités : ex. : la mort. - Loi universelle : respect de l’intégrité
?siq d’un être humain. Sinon loi de Retour et justice absolue et
apprentissage.
Q3 :Faire coller la justice humaine à
la justice divine par l’état de la conscience collective et le contact
avec le Soi. Baser la justice humaine sur la sagesse, l’intégrité,
la connaissance, la compassion, + l’aspect rééducation que
punition. La justice humaine comme reflet de l’état de conscience
collectif.
Q4 :La loi de retour ? action strictement
mécanique. La loi de retour n’agira pas si l’être prend conscience
de son erreur et de son ignorance et s’il choisit de respecter volontairement
cette loi. (le repentir sans culpabilité et irresponsabilité).
La loi du retour comme loi d’amour et de rééducation ? condition
souvent opposées car besoins ?ts & manques ?ants. Les conditions
d’apprentissage s’affinent car l’homme est plus avancé.
Q5 : la violence. La puissance et la conscience
du Soi constamment présentes. L’expérience de la vulnérabilité
?siq et ?chologiq + attraction. LE Soi voit plus loin que les apparences
et connaît le passé de l’individu, ses dettes karmiques, ses
forces intérieures et ses faiblesses, ses nécessités
et choix d’apprentissage, les conditions différentes d’apprentissage.
Ex. : ? des enfants « incassables » pour émergence de
qualités humaines à l’état adulte : compassion, capacité
d’initiative, courage, force intérieure, persévérance,
intégrité et service à la communauté. La compréhension
permet l’acceptation des expériences difficiles.
Q6 : la volonté de notre Soi et le
devoir d’intervenir, la relation d’aide. (loi universelle d’aide). L’amour
manifesté et la ? de la violence et de la souffrance, avec
état d’esprit de responsabilité personnel et collectif. Dans
situations difficiles, les êtres s’attirent de l’aide, la leur apporter.
? comme demande à honorer (pour valider l’expérience difficiles
précédemment vécue) ? mise en action de la loi d’amour
inconditionnel et de la compassion + loi de fraternité. Apprendre
à avancer en aidant les autres par amour et sans attachement. ?
aussi des situations faciles d’apprentissage. Le besoin , l’aide et la
gratitude.
Q7 :Quand les conditions sont difficiles,
on se doit de travailler à leur amélioration (solidarité).
Donner un support aux moins favorisés, aider en redonnant pouvoir
aux autres et le pouvoir de créer leur propre abondance ? cela demande
confiance, générosité et amour.
Q8 : Ne doit-on jamais se battre ? Le Soi
comme opposé à la violence. ?cier force et violence. La force
pour le juste, la violence couvre les peurs et la lâcheté.
Ce qui dit la valeur d’une action est l’intention réelle qui la
provoque et non pas l’apparence extérieure. Connaître les
motivations. [c’est à l’intérieur de la conscience de chacun
que le jeu se joue].
Q9 : En fonction de ce qui se présente
et de notre potentiel d’apprentissage : 1/ nous pouvons apprendre ou pas
(occasion de croissance) 2/ si travail volontaire est conscient, nous avons
la possibilité de modifier le contenu de notre système énergétique
en fonction de nos choix et donc de modifier ce que nous allons attirer
? donc notre futur et notre avenir.
Q10 : Il ne nous arrive pas n’importe quoi
mais ce que nous sommes capables d’apprendre (But du Plan = éducation
et évolution). Nous sachant créateurs, nous pouvons défaire
ou transformer ce que nous avons créé. Cela nous donne la
certitude que nous pouvons choisir et recréer notre vie volontairement
et consciemment. Nous ne subissons plus le jeu, nous y participons de façon
active et créatrice.
Q11 : Toujours cette attitude de recherche.
Avec acquis au lieu de juste apprendre, ? aussi apport / contribution +
grande et + efficace. Quand notre personnalité est devenue l’instrument
parfait de l’expression de notre Soi, la loi de réincarnation n’est
plus nécessaire ? la réincarnation est alors libre, ici ou
ailleurs. Epanouir les capacités d’aimer et de servir et quand l’âme
maîtrise totalement tout son véhicule, quand la conscience
est extrêmement développée, cette transformation de
la conscience qui libère du karma et de la nécessité
de nouvelles expériences ?siq. Nous avons le choix quand à
la vitesse de transformation. En principe cela peut être instantané.
Dans la pratique cela demande du temps.
Q12 : Comment peut-on attirer un événement
dans lequel plusieurs personnes sont impliquées ? cf. Selon le modèle
énergétique. Notre état vibratoire est le reflet exact
de toute notre évolution passée et de tout le potentiel que
nous avons à développer. ? attraction d’autres personnes
et d’événements par le C.E.U. qui nous relie tous ? d’où
la mise en rapport avec d’autres personnes dans un certain type de circonstances.
Chacun attire ce dont il a besoin pour par contre personne ne peut attirer
ce que nous n’avons pas à expérimenter. Chaque participant
est totalement créateur et responsable de ce qui arrive, de son
expérience. Le temps était venu pour chacun, et ce choix
s’est transmis instantanément à travers le C.E.U. afin que
l’événement ?siq se produise (manifestation). Chacun a donné
son consentement pour que cela se produise. Aucun événement
extérieur n’est le fruit du hasard. Ceci dit la mécanique
cosmique est extrêmement sophistiquée ? éviter les
explications trop simples et définitives au niveau rationnel. Mais
nous pouvons commencer à percevoir quelques principes universels.
Le concept de responsabilité ouvre la porte sur de vastes et magnifiques
horizons de développement de la conscience humaine qu’il nous reste
à découvrir.
Q13 : Il n’existe pas de victimes de sort
injuste, juste des créateurs dans des situations difficiles.
Q14 : Quand face à victime «
professionnelle » ; ne pas tout expliquer car pas facile d’accès
et très confrontant. Plutôt prêcher par l’exemple et
donner un support. 1/ éveiller compréhension et compassion
dans notre coeur et reconnaître la souffrance ou l’insatisfaction
dont la personne se plaint, car sa souffrance est réelle. Reconnaître
la situation comme difficile. Ne pas juger, Ecouter. La personne se sent
respectée et écoutée. Ne pas participer à ses
gémissements. 2/ Lui demander s’? une solution pour améliorer
la situation, la supporter vers une solution pour transformer la situation
présente. ? c-à-d par cette question, nous lui rappelons
qu’elle a du pouvoir, à retrouver. D’où a/ résistances
? donc patience. B/ avec respect et amour, présenter progressivement
les étapes décrites précédemment. ? c-à-d
stimuler son désir d’agir pour améliorer son sort.
(ce que l’on choisit d’en faire). Premier pas de la guérison.
? si ? refus ? alors respect et amour inconditionnel pour le personne dans
sa partie de son évolution. L’amour fait des miracles. Ne
pas prêcher le concept de responsabilité. La compréhension
de ce principe ne vient que lorsque l’esprit est prêt à cela.
(car concept ? d’intellectuel). ? car il faut remettre en question de bien
vieux principes et être prêt à continuer à
chercher. Qui a attiré ces victimes professionnelles ? ? pratiquer
l’acceptation totale de l’autre, le respect, l’amour inconditionnel et
le support sans attachement aux résultats.
Q15 La santé. Toujours prendre soin
du corps, l’écouter, connaître son langage. (avec les causes
?cho). - Travailler simultanément avec niveau ?siq et niveau
?chiq. La conscience humaine n’est pas assez développées
pour rendre la guérison ? systématique. Continuer le travail
d’harmonisation mental et émotionnel.
Q16 : Eviter d’utiliser le concept de responsabilité
pour refouler nos émotions négatives. Accepter nos émotions
comme faisant partie de intégrante et nécessaire de notre
bagage humain, en en prenant le responsabilité, en en connaissant
la source intérieure, en pratiquant l’acceptation de soi, l’amour
inconditionnel face à soi-même et le désir d’ouvrir
sa conscience à des réalités plus larges, nous avons
ce qu’il nous faut pour travailler à la transformation de nos émotions
négatives, sans avoir besoin de les refouler.
Q17 : Si ? accord avec principe de responsabilité,
comment l’intégrer correctement au niveau compréhension mentale
et au niveau émotionnel quotidien ? Si simple compréhension
insuffisante ? c’est parce que ? aussi un conditionnement culturel profondément
marqué (programmations mentales ICS de la petite enfance ou des
vies antérieures ? difficiles à neutraliser). + (la mécanique
du mental inférieur très forte qui résiste). Donc
accepter mentalement ce paradigme, avec ouverture par l’intelligence et
bonne volonté ? ouverture de la possibilité d’intégration
(avec mental comme intermédiaire entre personnalité et Soi)
Donc après 1/ l’acceptation au niveau mental, 2/ l’intégration
au niveau émotionnel ? avec travail spécifique de dégagement
émotionnel des programmations constituées dans le passé,
lesquelles ont favorisé la construction de structures ? de la victime
et des émotions négatives (blocages énergétiques
de la petite enfance). ? ? ?tes techniques pour travailler au énergétique
: directement, par l’intermédiaire du toucher, de la respiration,
du corps ?siq ou autres techniques avec approches ?. (ex. visualisation
+ techniques d’imageries guidées). ? aux limites de ces techniques
pour le dégagement des émotions négatives ? donc travail
au niveau de la pensée indispensable. (L’énergie suit la
pensée.) sinon dégagement temporaire et à long terme
renforcement du bagage négatif ? nécessité d’être
centré (contexte de responsabilité pour centrage actif) ?
pour obtenir la permanence des résultats (avec approche en conscience)
[Le contexte de R.A.C. permet à la personne de rester centrée
et d’aligner son énergie en vue de la manifestation de son être
profond. Il permet également de ne pas recommencer sans fin de récréer
les mêmes blocages une fois que ceux-ci ont été dégagés
par la bonne technique. ? Etre actif, présent, conscient et créateur
de notre propre transformation et non pas passif à attendre l’action
du thérapeute ou autre. ? utiliser son propre pouvoir. Par ailleurs,
une attitude intérieure de responsabilité ferme amenuit les
vieilles programmations, si on y fait face avec conscience, patience et
détermination, temps, beaucoup d’amour, acceptation et compassion
pour soi-même. + la discussion avec d’autres ayant le point de vue
du P. de R.A.C.. C’est ainsi qu’évolue la conscience, personnelle
et collective, + les enfants.
Q18 : Si on se sent encore victime, c’est
que nous ne nous sommes pas désidentifiés de la personnalité
au profit du Soi, de l’essence de ce que nous sommes, vrai créateurs.
+ notre conscience se dégage de la mécanique de la personnalité,
+ elle s’identifie au Soi, + on sent ce créateur en nous, + nous
pouvons créer consciemment. Ainsi le jeu de l’évolution devient
beaucoup lus clair et la vie prend un tout autre sens. « On est assujetti
à une loi qu’il faut comprendre pour éveiller sa conscience
et comprendre ses fins supérieures. Etablir ce contact avec le moi
supérieur ? l’homme participe à la connaissance de l’objectif,
après avoir gravi la montagne de la vision, ayant un horizon plus
large, l’homme comprend que la loi n’est qu’une impulsion spirituelle,
l’homme voit le but intelligent sagement dirigé et fondé
par l’amour. Il devient canal, et met fin au cycle de la vie close et égocentrée,
et ouvre les grandes portes de l’énergie spirituelle.
.
Voir si l’état d’esprit coûte
plus ou moins qu’il ne rapporte, et en changer ou non.
.
.
AVANTAGES DE LA POSITION DE VICTIME.
? On peut se plaindre.
? On attire l’attention et la sympathie des
bonnes gens. Les « victimes » professionnelles sont très
bien vues dans notre société.
? On possède une excellente justification
pour nos échecs et pour ne rien entreprendre pour améliorer
notre vie.
? On peut blâmer les autres et trouver
ainsi un exutoire inconscient à l’insatisfaction de sa vie et à
tout notre bagage d’émotions négatives.
? On peut faire de la collusion et avoir
l’impression que les autres nous donnent raison.
? On peut partir en guerre et se venger en
se sentant apparemment dans notre droit, autre exutoire à la violence
intérieure provenant du bagage émotionnel négatif
refoulé.
? On peut juger les autres comme n’étant
pas corrects (compensation du sentiment de ne pas être correct avec
soi-même, acquis dans l’enfance).
? On peut se sentir supérieur aux
autres (compensation du manque d’estime de soi).
? En surface, on évite le sentiment
de culpabilité personnelle puisque c’est toujours la faute des autres
(compensation d’un fort sentiment de culpabilité refoulé).
? On peut manipuler en faisant sentir les
autres coupables, dans la mesure où ceux-ci tombent dans le panneau
; mais cela est très fréquent dans notre culture de victimes,
donc relativement efficace...
COUTS DE LA POSITION DE VICTIME
? Stress, peur, anxiété, insécurité.
? Emotions négatives : ressentiment,
colère, agressivité, méfiance, arrogance, jalousie,
désespoir, etc. Bagage qui devient de plus en plus lourd au fil
des années. Ceci entraîne des souffrances émotionnelles
de toutes sortes.
? Frustration, impression de manque.
? Insatisfaction permanente exprimée
ou refoulée.
? Sentiment de « pauvre de moi ».
? Manque de maîtrise de l’état
émotionnel (c’est la faute des autres), entraînant en particulier
des conflits sans fin dans les relations.
? Déception constante dans les relations.
Difficulté à maintenir des relations saines et agréables.
? Incapacité de communiquer sainement.
Refoulement ou explosion d’agressivité.
? Incapacité à rester centré.
? Absence de sagesse.
? Incapacité d’objectivité
et de discernement.
? Manque d’intégrité.
? Peur de se faire avoir.
? Solitude, sentiment d’être séparé
des autres. Fermeture.
? Complexe de persécution.
? Incapacité d’aimer inconditionnellement.
? Impression d’être un martyr se «
sacrifiant » pour les autres.
? Sentiment de vivre dans un monde ingrat.
? Incapacité de recevoir.
? Sentiment d’injustice.
? Sentiment d’impuissance.
? Incapacité à coopérer.
Résistance à toute forme d’autorité.
? Dramatisation.
? Echec.
Hautement manipulable par tout ce
qui active les programmations négatives.
? Manque d’estime de soi.
? Culpabilité.
? Beaucoup de travail, peu de succès,
peu de plaisir.
? Incapacité d’expérimenter
la joie, la légèreté, l’humour, la paix, la vraie
détente, la gratitude pour la vie.
? Incapacité de saisir la beauté
et de jouir du moment présent.
? Fatigue, maladies (insomnies, maux de tête,
problèmes cardiaques, problèmes digestifs, dépression
nerveuse, arthrite, ulcères, cancer, etc. ).
La victimite peut être une maladie
mortelle.
.
N'empêche que la valeur de base, c'est
l'humour.
Et toc.
C'est même pour ça que y'a pas
de boite aux lettres.