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ESO - POWER/CHOOSE/WIN - Abstract. + Topo
 
 (Je préfèrerais une Thérapipe gratuite,
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donc considérer tout "?" comme -> ou / ou ? selon le sens, bien evidemment ...

S O M M A I R E
 CH I . UN MODÈLE DE STRUCTURE DE L’ÊTRE HUMAIN 1
CH II. LES SYSTEMES DE PENSEES 1
1/ LE FILTRE MENTAL ET LES CONTEXTES DE PENSÉES. 1
2/ OUVERTURE DE L*ESPRIT ET QUALITÉ DE L*EXPERIENCE DE VIE. 2
3/ LE CHOIX D*UN CONTEXTE ET L*EVOLUTION DE LA CONSCIENCE. 2
4/ LES POINTS DE VUE ET LEUR NÉCESSITE 2
5/ LA DIFFICULTE DU CHANGEMENT DE CONTEXTE 3
CH III. L’ETAT D’ESPRIT DE VICTIME 3
1/ DÉFINITION DU PARADIGME DE LA VICTIMITE. 3
2/ LES CONDITIONS DE DÉVELOPPEMENT DE LA VICTIMITE. 3
CH IV. LES SYMPTOMES DE LA VICTIMITE. 4
1/ LE CYCLE CLASSIQUE DE LA VICTIME 5
2/ AVANTAGES ET COUT DE LA POSITION DE VICTIME 5
CH V. LA MAITRISE DES EMOTIONS PAR L’ASSOUPLISSEMENT DU MENTAL 5
DEUXIEME PARTIE : LE PARADIGME R.A.C. 6
CH VI. DÉFINITION DU PARADIGME 6
1/ LE POUVOIR DE CHOISIR NOTRE ACTION [ÉTAT D*ESPRIT] 6
2/ LE POUVOIR DE CHOISIR NOTRE RÉPONSE. 6
3/ LE PRINCIPE DE RESPONSABILITÉ - ATTRACTION - CRÉATION. 6
CH VII. LA DYNAMIQUE D’EVOLUTION DE L’ETRE HUMAIN 6
1/ LE PROCESSUS D*INVOLUTION ET D*ÉVOLUTION  DE L*HUMANITÉ. 6
2/ LE PRINCIPE DE R.A.C., AGENT DE RÉALISATION DU PLAN D*EVOLUTION. 6
CH VIII. LE PROCESSUS D’ATTRACTION DES EVENEMENTS 7
1/ CAPACITÉ DE CRÉATION DU MENTAL. 7
2/ MODELE ESOTERIQUE ?CHOLOGIQUE (ASPECT CONSCIENCE) 8
3/ LE PRINCIPE D*APPRENTISSAGE PAR L*EXPÉRIENCE DIRECTE. 8
4/ LE PRINCIPE D*APPRENTISSAGE PAR LA LOI DU KARMA. 8
5/ ? LA SOUFFRANCE FAIT-ELLE ÉVOLUER ? 8
6/ ? EST-IL NÉCESSAIRE DE SOUFFRIR POUR ÉVOLUER ? 8
7/ MODÈLE ÉNERGÉTIQUE (ASPECT ÉNERGIE). 8
8/ COMMENT TRANSFORMER LA QUALITÉ ÉNERGÉTIQUE  DE NOS ?TS CORPS ? 9
9/ COMMENT SE CRÉENT LES CONDITIONS DE RETOUR SELON LE MODÈLE ÉNERGÉTIQUE ? 9
CH IX CLARIFICATION DE CERTAINS ASPECTS DU PARADIGME. 9
1/ LA BLÂME FACE À SOI-MÊME. 10
2/ L*INDIFFÉRENCE. 10
3/ L*INACTION 10
CH X CONSÉQUENCES DU PARADIGME 10
1/ LA LIBÉRATION DE LA NÉGATIVITÉ. 10
2/ LIBÉRATION DE LA PEUR, DE L*ANXIÉTÉ, DE L*ANGOISSE ET DU STRESS. 10
3/ LIBÉRATION DU RESSENTIMENT ET DE L*AGRESSIVITÉ 11
4/ LIBÉRATION DE LA CULPABILITÉ. 11
5/ TRAVAIL DE LIBÉRATION DES ANCIENNES CULPABILITÉS. 12
6/ LIBÉRATION DE LA JALOUSIE, DU SENTIMENT D*INJUSTICE ET DU REGRET. 12
7/ LIBÉRATION DU JUGEMENT FACE À SOI-MÊME ET DU MANQUE D*ESTIME DE SOI. 12
8/ LIBÉRATION DU SENTIMENT D*IMPUISSANCE. 12
9/ LIBÉRATION DES ÉMOTIONS NÉGATIVES PAR OUVERTURE À L*ÉNERGIE DU SOI. 13
CH XI CONSÉQUENCES DU PARADIGME (2) L’ÉPANOUISSEMENT DE L*ÊTRE. 13
1/ PAIX, SÉRÉNITÉ, CONFIANCE, JOIE DE VIVRE. 13
2/ SAGESSE, INTUITION, CRÉATIVITÉ ; 13
3/ RELATIONS SAINES, HARMONIEUSES ET ÉPANOUISSANTES. 13
4/ RESPECT DU PROCESSUS ÉVOLUTIF DE CHACUN. 13
5/ CAPACITÉ DE SE LAISSER PORTER PAR LE FLOT DE LA VIE. 14
6/ DÉDRAMATISATION, JOUISSANCE DU MOMENT PRÉSENT, HUMOUR 14
7/ GRATITUDE. 14
8/ FRATERNITÉ, COMPRÉHENSION, COMPASSION, SENS D*UNITÉ. 14
9/ CONTRIBUTION ET SERVICE DANS LA JOIE ET LE DÉTACHEMENT. 14
10/ ATTITUDE CONSTRUCTIVE FACE À L*ÉCHEC 15
11/ AUTONOMIE. 15
12/ HUMILITÉ, CAPACITÉ ACCRUE D*APPRENDRE. 15
13/ POUVOIR DE MANIFESTATION SAIN ET HARMONIEUX. 15
14/ POUVOIR CONSCIENT DE CRÉATION 15
15/ ACCÉLÉRATION DU PROCESSUS D*ÉVOLUTION 15
16/ VITALITÉ, ÉNERGIE ET SANTÉ 16
17/ LE POUVOIR DE CHOISIR. 16
18/ CONCLUSION. ET POURQUOI PAS LA PAIX SUR TERRE. 16
CH XII. QUESTIONS ET RÉPONSES. 16
 Annexes
AVANTAGES ET COUTS
DE LA POSITION DE VICTIME.

Le pouvoir de choisir
Comme expression de notre propre liberté.
Augmente la responsabilité
Réveil d’une pleine conscience
Un travail, avec de la bonne volonté
Déconditionnement / Transformation des énergies négatives / Changer d’état d’esprit
Choisir les pensées qui nous amènent à sentir et à agir.
Etre créateur et non plus victime.
Donner à chacun les outils de conscience pour retrouver son propre pouvoir et sa liberté.
Retrouver le contact avec sa source.
Nous sommes totalement créateurs de notre vie, et nous devons en retrouver les règles du jeu, pour mieux les comprendre et les maîtriser.
Ne plus être victime mais s’appartenir, ce jeu nous appartient.
De l’oubli à la redécouverte.
Le processus créateur est très complexe mais le principe lui-même est très simple. ? compréhension et acceptation au niveau mental (donner une carte à son cocher)
1/ La réalité des mondes invisibles
2/ L’immense puissance de la pensée.
3/ La nécessité de connaissance scientifique de ces deux questions.
La présentation de principes de fonctionnement mental : différence directe et concrète au quotidien.
Le concept de responsabilité - attraction - création.
Comprendre la vie avec la tête, avec le coeur, avec tout son être, pour pouvoir la savourer.
La partie compréhension mentale - scientifique.
Redevenir ce que l’on est.
PARADIGME
Cadre de pensées, structure intellectuelle permettant la compréhension et l’explication de certains aspects de la réalité.
Temps d’évolution et d’intégration par la conscience.
Nouveau paradigme de responsabilité - attraction - création.
? Responsabilité : forte connotation - A redéfinir.
Avant intégration : réflexion, observation et expérience.
Ne pas croire mais construire un système concret et cohérent.
 I . Un modèle de structure de l’être humain
Revoir la structure de l’être humain - base. P7. Revisiter certains fonctionnements de nos systèmes mentaux. ? Modèle de l’être humain = représentation = description de la réalité ? réalité.
Il existe des modèles comme cas particuliers de modèles plus larges. Le modèle utile a un moment donné pour y voir  certains aspects puis élargir le modèle.
« On ne passe jamais de l’erreur à la vérité mais toujours d’une vérité plus petite à une vérité plus grande ».
L’être humain est constitué d’un être intérieur (âme, centre, source...) et il possède un véhicule de manifestation (personnalité, ego...).
Le véhicule de manifestation = corps mental + corps émotionnel + corps physique.
Etre intérieur  = Soi = conscience  Il exprime sa volonté dans le monde physique à travers le véhicule de manifestation. Ce Soi est parfait en soi, de « nature divine » = notre essence.
? Essence : parfait, mais le véhicule de manifestation n’est pas au point. ? on ne manifeste pas beaucoup de perfection tous les jours.? Reste à travailler sur notre personnalité, la construire, la raccorder, la déprogrammer, l’harmoniser pour la Transparence. Et donc passer outre les barrières.
Nous ne sommes ni notre corps, ni nos émotions, ni nos pensées, nous devons juste en acquérir la maîtrise car nous  sommes une conscience qui possède tout cela.
? Ne pas s’identifier au corps, ni aux émotions, ni aux pensées. Se retrouver SOI
La maîtrise vient lorsqu’il y a déplacement de la conscience et que nous commençons à nous désidentifier du véhicule de manifestation pour nous identifier à l’essence que nous sommes, au Soi.
Dès lors l’énergie est disponible pour notre Soi et non plus utilisée par le véhicule. Le Soi utilise alors le véhicule pour manifester ses qualités.
Image de la charrette, du cochet, du cheval et du maître sur un chemin. ? d’où la nécessité d’avoir une carte (modèle).
Le mental doit savoir utiliser les énergies des émotions avec sagesse, et ce, en écoutant le maître et en s’y soumettant, il doit faire cela et pas autre chose.
?Intuition = relation mental supérieur / Soi (relation consciente).
?Développer ses connaissances de la nature émotionnelle
?Avec Le Soi comme seule source réelle de connaissance
?Affiner la structure du mental.
? mental supérieur et mental inférieur :
Le mental inférieur automatique se fie aux expériences du passé et non à la volonté du Soi car seul le mental supérieur est en contact avec le Soi.
? D’où prendre sa vie en main.
Mental inférieur ? survie.
Soi ? connaît le chemin de la paix et de la liberté.
Le mental inférieur ne sais pas gérer les émotions.
? Retrouver un corps émotionnel puissant (cheval) ? énergie.
? Bien gérer cette énergie par le mental supérieur.
? Reprogrammer le mental inférieur.
? Entraîner le cocher ? Penser plus large et contact avec le Soi
? Soi ? modèle = personnalité, mais en fait à un certain stade, ? juste l’expérience directe.
? Augmenter le contrôle de l’âme sur le véhicule.
? Personnalité = ? aspects inférieurs développés et coordonnés. (développés successivement et progressivement, puis unis)
? La tête et le coeur s’unissent dans l’entreprise.
? L’intellect (= La raison) et Amour et Dévotion.
? on devient un habitant du monde spirituel.
« Il ne se considère plus comme un homme contrôlé par ses émotions, poussé par l’énergie, et dirigé par son intellect, mais il se connaît comme étant le Soi, pensant par l’intellect, sentant par les émotions et agissant consciemment : l’Union entre le Soi et le Véhicule est établie. »
Elargissement du contexte.
CH II. LES SYSTEMES DE PENSEES
P.17. ? la réalité et notre perception de la réalité.
? importance des contextes de pensée et leur impact.
1/ le filtre mental et les contextes de pensées.
Instrument de connaissance du monde = système mental supérieur et inférieur.
? d’où la limitation et les déformations.
? Réalité ?(Filtre mental)? Perception de la réalité.
? d’où la reprogrammation nécessaire du mental inférieur automatique déjà programmé par les expériences du passé (enfance, vie intra-utérine, vies antérieures...) = degré d’évolution.
Pour une remise en cause : accès à la conscience ordinaire.
Cette ancienne programmation dirige notre vie ? comme système de croyances (ICS) + structures issues du conditionnement familial et culturel.
? L’ensemble = système de pensées ou paradigmes à l’origine des points de vue, état d’esprit, façon de voir la vie, philosophie personnelle...
ex. : une même réalité, deux perceptions, deux opinions divergentes ? le filtre ! Ne pas laisser la conscience s’identifier à la perception. Eviter de bâtir un système de croyances ferme là dessus.
Rester ouvert.
Notre perception est toujours limitée, par nos sens et notre conditionnement ? (filtre).
Conscience ? structure mentale (non identification). S’ouvrir à une réalité différente.
Tenir à son point de vue et vouloir avoir raison sont des mécanismes du mental inférieur qui bloquent l’évolution de la conscience.
Nous avons construit notre filtre mental avec le tout venant, nos expériences passées, les projections de nos peurs et nos traumatises émotionnels.
? Se désidentifier du filtre mental. ? sans ça, pas de perception claire, objective et libre de la réalité.
Ce que l’on perçoit nous renseigne sur notre filtre.
Nous voyons les choses comme nous sommes.
S’ouvrir à l’information plus large pour modifier notre filtre. Plus nous expérimentons la vie en maintenant permanent la croyance en notre système, plus nous renforçons celui-ci, puisque le fait de croire à notre système nous fait percevoir le monde comme notre système le définit.
On voit la vie comme on décide de la voir ? Pouvoir remettre le contenu du filtre en question.
Nos réactions (émotionnelles, ? et mentales) sont fonction de ce filtre et de cette perception.
Changer le contenu du filtre mental = changer le contexte de pensées.
1/ reconnaître nos programmations, croyances, contextes de pensées et paradigmes inconscients ET les observer comme témoin.
Etre témoin et désidentifier de notre conscience d’une structure mentale programmée en fonction du passé.
2/ Changer consciemment (choisir) nos systèmes mentaux. ? choisir le système qui permet de réagir sereinement et efficacement. = choisir de générer l’expérience de la vie que nous désirons avoir.
« Ne cherchez pas la vérité, cessez seulement de chérir des opinions. »
Rq. Ce que l’on pense consciemment n’est pas toujours ce que l’on croit au niveau inconscient.
? Ce n’est qu’en situation d’expérience directe que les programmations réelles inconscients émergent clairement.
2/ ouverture de l*esprit et qualité de l*experience de vie.
Percevoir la vie  plus clairement à un impact sur la qualité de vie ? largeur de notre perception.
Plus notre perception est large, plus nous avons de maîtrise, ? d’où : notre vie est satisfaisante.
Plus un contexte de pensées apporte la paix, bonheur, harmonie et bien-être, plus il offre un modèle proche de la réalité.
Faire le lien entre notre façon de percevoir les choses et notre qualité de vie.
Lorsque nous confondons notre perception et la réalité, nous ne sommes pas satisfaits, d’où ? nous cherchons à changer les choses autour de nous et non pas notre filtre.
Pour changer de vie, se changer soi-même. ? se débarrasser du voile de l’illusion.
? Contact direct avec la réalité ultime de l’Univers (non descriptible sous forme de concepts).
? Ne plus changer l’extérieur mais s’adapter intelligemment au moment présent (remise en question du filtre) avec créativité et intuition.
Ex : Je me promène avec ou sans lunettes noires et un torticolis. Que se passe-t-il ?
Plus le filtre est large, plus il me donne une perception large et approchante de la réalité, d’où : paix, joie, pouvoir d’action, bien-être et liberté.
Plus le filtre est large, plus il y a pouvoir et maîtrise sur l’univers. Ex. : L’éléphant = concept positif + ami = maîtrise. Idem. Elargissement de contexte / mort / corps - prison.
? Non plus peur, désespoir et souffrance MAIS compréhension ? actions libres. La souffrance vient de l’ignorance. Compréhension ? Joie et puissance et liberté car connaissance.
3/ Le Choix D*un Contexte Et L*evolution De La Conscience.
Valeur ou Intérêt du contexte de pensées par rapport à ce qu’il produit comme satisfaction et bien-être personnel et collectif ? Qualité de l’expérience vécue.  Les contextes de pensées que nous choisissons sont fonction de notre état d’évolution.
Pendant un temps, l’Homme a fonctionné avec un contexte de pensées et un système de croyances en identifiant la conscience à ses pensées ? ceci est la construction du mental inférieur (principe séparateur d’où conflit) ? Désidentification de certains processus mentaux ? relativiser - transformer ? Pouvoir de choisir ses contextes et systèmes de pensées ? donc son expérience de la Vie.
? Prendre conscience des systèmes de pensées actuels.
? Possibilité de faire des choix de plus en plus consciemment par l’observation intelligente de soi et du monde ? Base du processus d’évolution.
L’évolution de la conscience : d’un contexte plus étroit  à un contexte plus large et moins inclusif.
? D’où la relativité de toute perception.
Ouverture de l’esprit en permanence à une infinité de possibilité.
Se dégager des contraintes et des limitations.
? Perception du monde comme parfait.
? Etat d’extase en étant connecté à la réalité.
Mais nous expérimentons le monde comme limité : d’où douleur et imperfection.
? Elargir le contexte ? compréhension plus large, perception plus subtile et profonde (au delà du mental linéaire rationnel)
? Beauté et perfection de l’Univers.
Un contexte plus large inclut un plus étroit et montre sa limitation.
? Passer de l’un à l’autre sans avoir à se battre (gymnastique du mental inférieur automatique)
? ils sont valables chacun à leur niveau.
4/ Les Points De Vue Et Leur Nécessite
c’est-à-dire : là où on se place. Le point de vue excellent et indispensable à notre système mental.
? à ne pas se faire avoir - rester libre - ne pas être enfermé. ? Sélectionner ses points de vue et en changer. c-a-d- lâcher son point de vue pour un autre plus intéressant. Voir ceux des autres mais surtout les nôtres. « La chose à laquelle on croit le plus est notre ultime illusion actuelle.. »
Image de l’échelle : lâcher le barreau inférieur pour atteindre le barreau supérieur. ? attention à l’habitude (automatique) ? impression de sécurité du barreau où l’on est.
Tous ces barreaux sont utiles et nécessaires, de même, il faut lâcher les points de vue en temps opportun ? donc ne pas refuser les points de vue mais y être constamment attentif, de même qu’au fonctionnement de notre mental et conserver un espace de liberté. C-a-d reconnaître ce qui est valable pour nous.
? Passer ses contextes de pensées au crible avec l’esprit éveillé ? progrès et maîtrise du fonctionnement mental.
5/ La Difficulte Du Changement De Contexte
? changer de contexte de pensée = gymnastique peu courante permettant de choisir car Inconsciente, habitude, renforcement, non remise en question.
2 difficultés : 1/ le point de vue nous donne raison. C-a-d- notre conscience s’est identifiée à la structure mentale. ? chercher des preuves invalidant ce système.
2/ le mental automatique tient à ses systèmes de pensées et croyances car ils permettent la survie à défaut du bonheur. (survie par duplication du passé par le mental inférieur).
Mental inférieur = mourir plutôt que lâcher son point de vue.
« Un point de vue est aussi une façon de ne pas voir ».
Les vrais découvertes sont rarement acceptées d’emblée.
 ? Dès que l’on passe d’un point de vue  à un autre, ne pas prendre le niveau pour vérité absolue. Il est plus important de pouvoir changer de point de vue avec liberté que le point de vue en lui-même.
« L’esprit est comme un parachute, il ne sert lorsqu’il est ouvert ».
? rester maître de son système mental (et pas l’inverse).
« Soyez transformés par le renouvellement de votre esprit ».
? travail = travail en conscience avec ouverture  et assouplissement de l’intellect, et l’assouplissement du mental inférieur donne accès à l’utilisation du mental supérieur.
? les plus belles découvertes viennent du mental supérieur en connexion avec le Soi, avec les niveaux supérieurs de l’être.
? Harmoniser la totalité de l’être.
Pouvoir de la pensée / pouvoir des contextes générateurs de pensées.
L’amour comme grand unificateur, le mental comme principal facteur créateur, le mental coordonne et est très puissant. (tendance intelligence > désir).
L’amour ? émotion, l’amour = expression directe de l’énergie du Soi = état de conscience. ? réalisé s’il n’existe plus de blocages au niveau mental.
Le concept de R.A.C. ouvre l’esprit et le coeur.
Au quotidien, évaluation des contextes et intégration après réelle compréhension.
Contexte = outil d’expérience et de découverte (? réalité finale).
CH III. L’ETAT D’ESPRIT DE VICTIME
p43.  Définition et conditions de départ.
Le Soi voyage avec un véhicule fait de la matière des 3 mondes (physique, émotionnel et mental) et véhicule pas au point. La qualité du voyage dépend de l’état du véhicule. Observer les avaries du véhicule.
Opérer des changements en accord et en le voulant clairement, travail indispensable pour mieux continuer le voyage dans la paix, la joie et l’épanouissement.
Compassion et désir de liberté, but de prise de conscience et de libération. Nous ? véhicule.
Etat d’esprit de victime = mécanique mentale émotionnelle. ? entraîne certaines conséquences.
? ne pas coller d’étiquettes à soi, ni aux autres.
L’état d’esprit de victime, sa structure, s’appuie sur un système de croyances (intégré dans la conscience collective) mais qui est ? de la réalité et ? coloration du filtre mental. ? Désidentification nécessaire.
Système de croyance influe sur la qualité d’expérience de la vie.
1/ définition du paradigme de la victimite.
? avec des lunettes bleues, on voit tout bleu.
Or parfois on oublie que l’on porte des lunettes bleues et on croit qu’il s’agit de la réalité.
? penser à voir d’une autre couleur.
La victimite comme maladie mentale, très répandue, dont on ne se rend même plus compte, elle est due à une rigidification de certains systèmes mentaux, comme maladie contagieuse et demandant des soins.
La guérison se fait par la personne elle-même, de l’intérieur, après prise de conscience de son état et du coût ? décision de guérir.
? des conditions ?cho qui favorisent cette maladie.
Connaître et reconnaître les symptômes.
2/ les conditions de développement de la victimite.
? 2 structures mentales - émotionnelles (ICS) en sont à la base et reposent sur le sentiment de manque et le sentiment d’impuissance.
Evolution et choix intérieur /// circonstances.
1er type de conditions : expérience de la naissance et 1ères années de la vie : ?ts manques (amour, soutien..) sont là et une idées que la vie = souffrance et insatisfaction.
? relégué dans l’inconscient ? influence / réaction émotionnelle ? revoir ses programmations
Avec ce système de perception u niveau inconscient (manque, frustration, insatisfaction), rage, colère, agressivité s’accumulent au niveau émotionnel ? dont l’expression n’est pas possible ? d’où charge d’émotions négatives refoulées au plus profond de l’inconscient ? sentiment d’impuissance.
2ème type de conditions (à la source du sentiment d’impuissance)
Quand l’enfant  tente de construire quelque chose par lui-même ? montagne d’interdictions ? l’enfant ne reçoit ni soutien ni respect ni liberté d’expression, ni reconnaissance de son propre pouvoir.
? Au contraire : si non soumission, perte de l’amour. ? menace terrible + sentiment d’ignorance et d’incapacité. ? toute structure s’élabore à ce moment-là.  Réaction : soumission / rébellion + sentiment d’impuissance. + charge d’émotions négatives d’où peur, désespoir, colère face à la non possibilité de vivre heureux. (voir ces appels désespérés de l’enfance).
Face à la résistance et l’écrasement du monde extérieur ? Construction de bagages inconscients de programmations mentales émotionnelles négatives ? tempérament agressif ouvert et légèrement refoulé.
Adulte : l’agressivité refoulée devient méfiance, soupçon, peur de se faire avoir ou manipuler, résistance à toute autorité ; et L’esprit et le coeur se rigidifient et se ferment.
Ou enfant : perte de confiance en soi, désespoir, désespoir /// vie. Adulte : grand tristesse intérieure et dépression. Renoncement au pouvoir intérieur + négation de soi-même.
? la personne a perdu le sens de son propre pouvoir.
Par ce cadre de référence, on regarde sa vie et adulte, on fait ses choix. ? ces programmations, refoulées dans l’ICS dirigeront sa vie d’adulte sans qu’il s’en rende compte. Note : ces expériences ne s’arrêtent pas à la petite enfance. ? accumulation et renforcement tout au long de la vie de ce filtre mental. Ce sont des expériences imprimées fortement dans l’inconscient car chargées émotionnellement. La personne est persuadée de ne plus avoir le contrôle de sa vie et donc peur, d’où nécessité de pouvoir sur l’extérieur et les gens pour obtenir ce qu’elle veut (les détraqués). ? Persuasion que la vie est l’effet d’un hasard malheureux et injuste ? vie = vivre d’espoir ou sombrer dans la tristesse et la dépression + agressivité /// la vie et les gens. = BASE de cet ETAT D’ESPRIT
3ème types de conditions (renforce les 2 structures) = environnement familial où l’enfant recopie les « modèles » de victime de ses parents en plus des expériences quotidiennes (niveau mental et émotionnel) comme quoi la vie serait « se raidir et se battre » ou « s’écraser et se fermer et s’insensibiliser » ou « vivre dans la peur et la souffrance.
Au quotidien, personne ne montre rien, tout va bien.
Toutes ces émotions négatives refoulées sont cachées par « la bonne image » de soi.
Mais la charge émotionnelle apparaît dans les relations interpersonnelles, à des degrés plus ou moins violents, et dans le corps physique sous forme de maladies. Nous sommes tous + ou - atteints (attitude collective). Mais cette illusion (collective) est ? de la réalité. ? systèmes utilisés pour dominer et manipuler les masses
? Nous tenons à ces vieilles structures mentales car elles nous ont protégé pendant notre petite enfance.
Ex. Soumission + agressivité refoulée = ne pas être détruit par le pouvoir des parents = entrave au développement intérieur de l’adulte, à la joie de vivre et à notre épanouissement total en tant qu’être humain.
? ces trois types de conditions font que la paradigme de la victime est fortement ancré dans la conscience collective ? système de croyances ( + renforcement). Il n’existe pas de preuves de cela pour en sortir puisque les preuves dépendent de notre filtre mental. Voir les conséquences au niveau mental et émotionnel de cet état d’esprit + efficacité / inefficacité en terme d’épanouissement et de bonheur.
CH IV. Les Symptomes De La Victimite.
P.57. Ils ont une conséquence directe sur notre perception du monde ? assouplir et élargir notre structure mentale pour changer et nous dégager émotionnellement pour que se résorbent les symptômes.
Vivre en état de victime = laisser le mental contrôler notre vie, lui qui ne contrôle pas grand chose.
Tout cela résulte d’une recherche malhabile et désespérée de compensation aux manques et frustrations du passé.
Désidentification permet humour car la connaissance du soi ?t du véhicule (3 corps)
Convalescence et guérison.
? des catégories ?tes  ex. Victime dépressive passive et / ou agressive active et leurs différentes manifestations (l’une se détruit d’elle-même, l’autre les autres). Etat de victime = souffrance ? compassion envers elle.
Voir toute l’humanité d’une personne, de toutes, pour ne pas juger mais comprendre et aimer.
Voir ces structures ? avec « compassion et compréhension » = aide la plus précieuse pour les assouplir ? c’est-à-dire l’amour inconditionnel
? « Je suis stressé, anxieux, insécure, j’ai peur » (car impuissance / univers hostile) ? stress général intense.
? « Je ne suis pas très en forme » ? blocage de l’énergie physique suite à répression de la colère, de frustrations + émotions négatives ? impression d’être fatigué ? il reste peu d’énergie disponible car utilisée par frustration. Quand agressivité moins refoulée ? tension nerveuse + activité constante ? maladie grave.
? « Grr ... encore un verre à moitié vide... »  ? frustration | impression de manque | insatisfaction profonde, focalisation sur aspects négatifs, on ne reconnaît plus les points + de la vie, il faut qu’il en soit ainsi la vie est insatisfaisante ? protestations : ? ronchon, grognon, râleur, rouspéteur ? il y a toujours quelque chose qui ne va pas. (prendre la responsabilité plutôt qu’attendre)
? « Pauvre de moi » : face à l’insatisfaction : pauvre de moi = plaintes et dépression ou rage et colère et agressivité
Des catégories actives / passives
? « c’est la faute des autres » : insatisfaction ? agressivité ? les autres = coupables ? plaintes + blâmer les autres. ? création de scénario intérieur pour justifier la frustration.
? « C’est encore la faute des autres » : ? jugement et blâme ? blâmer les autres pour ses propres réactions émotionnelles (on les en croit la cause) ? prendre la responsabilité de notre état et de nos émotions et ne pas donner à d’autres de pouvoir sur ce que nous vivons (être à la merci) ? ceci fait partie de notre éducation et de notre culture ? apprendre à maîtriser nos émotions et ne plus dépendre pour émotions - ou + ? d’où évolution consciente du contrôle sur les émotions et sur l’ensemble de notre personnalité (3 corps)
? « attention, ils sont là pour m’avoir » : monde = malveillant ? méfiance + séparation ? blocage de la capacité d’aimer et de recevoir de l’amour librement ? solitude ? soupçons (/// aux gens heureux et qui réussissent) ? peur de se faire avoir = impuissance + la faute des autres ? dans cet état, on se fait avoir par soi-même, du fait les programmations non maîtrisées ? on vit coupé de notre sagesse intérieure, non centré ? pour ne plus être manipulable ? ne pas demander aux autres d’arrêter mais construire  / bâtir une force intérieure pour développer sagesse, discernement et conscience ? possibilité de faire face en étant centré, équilibré et de façon appropriée.
? « J’ai raison, les autres ont tort » : La victime se trouve parfaitement correcte, j’ai raison, les autres ne sont pas corrects ? les autres = cause de malheur (justification) ? critiques incessantes.
? « la réalité, je l’invente » : ? état dangereux car sans contrôle ? incapable de sagesse, de discernement, d’objectivité, d’intégrité ? le monde doit être conforme à ses programmations ? d’où déformation, mensonge, interprétation pour que la réalité colle à son image de la réalité. ? victimite = sans discernement, sans bon sens, sans respect des autres et d’elle-même.
? « les gens sont méchants » : ? complexe de persécution ? violence + justification par une bonne cause des sentiments négatifs.
? « Si tu m’aimes, tu devrais . » : Au début : idéalisme + exigences inconscientes. Puis : déception conformément au système de base ? de plus en plus d’attentes, la victime donne mais tient ses comptes (en sourdine) ? calcul de ce qu’on lui doit. ? impression de donner trop et de recevoir trop peu ? répétition de dynamiques installées pendant l’enfance avec les parents.
La victime cherche toujours à prendre (pour compenser le vide intérieur) mais elle est incapable de recevoir et d’apprécier ce qu’elle reçoit (car le reçu perçu comme non satisfaisant par le filtre mental) il n’existe pas de gratitude.
Le vrai don de soi et le vrai service provenant du soi apporte énergie et satisfaction ? on ne cherche plus dehors - le désir de servir est un désir naturel émergeant de l’intention, du Soi qui trouve sa récompense en lui-même.
? « Pourquoi moi ? » : ? sentiment d’injustice (? partage des sentiments négatifs avec d’autres victimes) ? sentiment de jalousie + sentiment d’être toujours perdant au jeu de la vie ? tente de faire perdre l’autre (heureux). ? des façons subtiles de dénigrer sous couverts de compétences ou de connaissances qui sont très bien acceptées et même encouragées.
? « Pauvre petit moi » : ? impuissance + faible et vulnérable ? aucun sens du libre choix. Victime comme petit être sincère, naïf, sans défenses et abusé. Une victime n’est ni naïve ni sincère mais elle veut le faire croire à elle-même et aux autres ? elle est plutôt inconsciente d’elle-même et de son jeu ? ? toujours en dessous une violente exigence par rapport aux autres et aux frustrations passées.
? « Au secours » : ? quand la victime se croit faible, elle cherche un sauveur (c’est-à-dire l’autre qui nous rend heureux) et par là une compensation /// frustration et manques issus du passés mais toujours espoirs puis déception.
Prendre ses responsabilités = clefs de la libération | reprendre son pouvoir = guérir par soi-même
? prendre la responsabilité de l’état que l’on veut guérir.
? « Vengeance ! » : suite à plaintes et blâme sur personnes autres (coupables) ? désir de vengeance ? la victime juge puis condamne et exécute la sentence au maximum de ses moyens car elle pense qu’elle a raison. Ex. : réactions : suis fatiguée, de mauvaise humeur : non communication, grève du sexe et sabotages de toutes sortes - non pardon.
? « Je ne dirais rien » : la victime évite de communiquer ses sentiments réels dont elle est rarement consciente ? cette victime n’exprimera pas clairement ses besoins (et en ne demandant rien, elle est sûre de ne rien obtenir) ? sentiment de frustration car ne reçoit pas ce qu’elle a oublié de demander clairement (pour la victime passive \ la victime agressive - active mettra l’autre en tort violemment et bloquera la communication ? pas d’intérêt pour une vraie communication ? état d’isolement et de non communication ? seuls moments avec impression d’être en relation = lors de rencontres avec d’autres victimes ? plaintes en choeur ? échanges illusoires + renforcement de l’étroitesse du filtre ? isolement dans son scénario.
? « J’arrive » : rôle des défenseurs des sans défenses : le sauveur ? expression détournée de haine et d’agressivité ? sentiment superficiel de pouvoir pour compenser le sentiment d’impuissance ? beaucoup d’agitation, peu d’efficacité en matière de résultats.
? « A bas le pouvoir » : ? impuissance + arrogance et orgueil comme compensation au manque d’estime de soi et aux peurs sous-jacentes ? haine du pouvoir sous toutes ses formes, réelles ou imaginées ? résistance /// « menaces » ? incapable de coopérer ? car pouvoir vu comme situation parentale ? pas de vrai relation.
? « Ne riez pas, la vie n’est pas drôle » : ? la victime se prend au sérieux? drame ? donne trop d’importance ? mal gérée ? emphase sur sa souffrance ? justifie tout ses comportements ? incapable de prendre plaisir au jeu de la vie + méfiance et jalousie.
? « Réussir n’est pas vraiment facile » ? comme on est impuissant ? on est incapable d’action efficace ? bloque tout processus créatif ? la victime s’arrange pour échouer dans toute entreprise ? la vie doit être difficile pour que l’on ait raison ? insatisfaction + colère (de l’enfance)
? « Est-ce que je souffre assez ? » : ? manque d’estime de soi ? incapacité, impuissance, culpabilité, incorrection ? la non acceptation, le manque d’estime réel de soi et culpabilité mènent la victime de l’intérieur.
? « Quelques bourreaux supplémentaires pour être certain que ma souffrance est réelle » : ? culpabilité + incertitude par rapport à elle-même ? les bourreaux supplémentaires pour justifier les blâmes et les émotions négatives.
1/ Le Cycle Classique De La Victime
1/ la victime se trouve des bourreaux (projection de la réalité intérieure sur l’extérieur)
2/ insatisfaction, frustration, contrariété
3/ plaintes passives ou agressives
4/ blâmes les autres ou les circonstances
5/ jugement et condamnation (des bourreaux incorrects)
6/ vengeance
7/culpabilité
8/justification et consolidation des scénarios avec quelques bourreaux supplémentaires
9/ retour au 1/
et pour finir, toutes les variantes possibles, allant de la simple mauvaise humeur passagère à la folie furieuse.
Victimite comme maladie ? inharmonie dans le système, mal être ?.
Le virus est souvent camouflé.
Victime a) passive b) agressive 1=) agressive refoulée 2) passive exprimée ? 1) :peur,2) :dans la colère.
? des tendances par pays, par culture
2/ Avantages Et Cout De La Position De Victime
La victimite coupe une personne de son être réel, de son centre, source d’équilibre, de sagesse et d’amour.[annexes]
CH V. LA MAITRISE DES EMOTIONS PAR L’ASSOUPLISSEMENT DU MENTAL
P.97. ? choisir ses pensées plutôt que penser mécaniquement, pour travail de dégagement émotionnel.
1/ le dégagement des émotions négatives est durable si ? décharge émotionnelle et changement de conscience, sinon : incomplet et momentané. L’état de conscience permet la clarté émotionnelle après le dégagement. - centrage de la conscience et dégagement énergétique.
2/ le travail en conscience ex. : sur les contextes de pensées. ? ne pas bâtir de nouvelles théories sur des blocages du passé. Le dégagement émotionnel réel se mesure au quotidien (c’est-à-dire au degré de maîtrise et de liberté) car avec travail sur la conscience et racines solides dans l’inconscient, le dégagement émotionnel par l’approche énergétique diminue les risques d’excès d’usage du mental. L’approche en conscience diminue les risques d’envahissement émotionnel ? la conscience reste centrée et claire pendant le travail sur les émotions.
Le déblocage énergétique ? changement de conscience / la prise de conscience ? déblocage énergétique ? ce sont 2 aspects de la réalité. ? les 2 ensembles sont plus efficaces.
* en quoi le travail en conscience facilite le dégagement émotionnel : le travail en conscience, l’utilisation de l’énergie mentale ? le système émotionnel = énergie brute orientée par le mental ? changer d’état d’esprit facilite la transformation de nos réactions émotionnelles car ? toujours une pensée derrière chaque émotion réactivée. ? /// l’utilisation du mental inférieur qui nie et refoule les émotions. Faire la ?ce entre maîtriser et réprimer les émotions : réprimer = bloquer et malaise, maîtriser = connaître et faire sien. ? d’où utilisation du mental supérieur.
Processus de conscience qui infuse l’intuition et la connaissance directe du Soi dans notre expérience de la vie.
? Mental inférieur = système de pensées étroit issu de la séparation et de la peur ? émotions négatives.
? Mental supérieur = processus d’évolution de la conscience ? émotions plus saines et harmonieuses.
? Connaissance et compréhension amènent maîtrise et pensées positives (et non pas pensées positives seules sur fond étroit)
? Fonctionner avec le mental supérieur et le Soi = rester centré.
? Vivre nos émotions = faire face et ?t de confusion.
3/ la maîtrise des émotions.
? 3 comportements face aux émotions : 1/ ignorer, nier, réprimer ? tranquillité apparente et lente mort intérieure 2/ s’identifier à l’émotion = agir dans le sens où elle nous pousse ? drame et actions en fonction des émotions ? renforcement du système de pensées et de croyances conscient et inconscient à la base de cette émotion. ? = dégagement d’énergie et renforcement du système mental destructeur : ça empire. 3/ Connaître cette émotion, la vivre totalement, se permettre de la ressentir, et choisir consciemment son action ? d’où la nécessité de rester centré et prise de conscience des systèmes de pensées (être témoin).
Mettre en action les meilleurs contextes de pensées disponibles ? rediriger l’énergie disponible et voir dans quel sens on le fait (bénéfique) ? changer consciemment et volontairement (début de la maîtrise) avec amour inconditionnel et acceptation de nos propres limites du moment.
Changer de contexte de pensées = transformer l’émotion ? elle a moins de pouvoir sur nous. ? soit changement immédiat, soit observation et donc désidentification ? ? de la charge émotionnelle ? maîtrise.
Face à problème : 1/ on nie l’évidence pour sauver les apparences ? refoulement
2/ on reconnaît les problème, mais on est impuissant à le résoudre ? idées reçues et discussions oiseuses
3/ on reconnaît le problème et on cherche une solution, puis on résout le problème - soit seul, soit aidé - ? déblocage énergétique + changement de contexte de pensées.
Lâcher le contrôle pour acquérir la maîtrise = travail de conscience ? libération intérieure - la prise de conscience peut-être instantanée.
DEUXIEME PARTIE : LE PARADIGME R.A.C.
CH VI. Définition du paradigme
P115. Pas de présentation linéaire logique et rationnelle ? faire appel à l’intelligence et l’intuition + rigueur mentale.
Présentation progressive en 3 étapes : élargissement.
Responsabilité : « capacité de prendre une décision sans en référé préalablement à une autorité supérieure » - « capacité de choisir librement notre réponse ».
1/ Le pouvoir de choisir notre action [état d*esprit]
Ce n’est pas ce qui arrive qui détermine notre vie mais plutôt ce que l’on choisit de faire avec ce qui arrive.
? quand ? une situation défavorable : ne pas être victime mais choisir de regarder les choses en face et agir pour changer les choses ? ?t de résistance à ce qui est là, plutôt satisfaction par rapport à nos besoins ? wu wei.
2/ le pouvoir de choisir notre réponse.
Ce n’est pas ce qui arrive qui détermine notre vie mais la façon dont on choisit de réagir intérieurement à ce qui nous arrive. ? choisir d’être totalement responsable de ce qui se passe dans notre corps émotionnel ? être souple mais ferme.
Ne plus se voir comme faible, vulnérable, à la merci des émotions. (ce ne sont pas les autres qui nous mettent en colère mais nous avec ce qu’ils ont dit ou fait).? cesser de blâmer les autres et être responsable de notre état intérieur. ? développer la conscience de notre réalité  intérieure et modification de nos systèmes de pensées ? faire face en étant en paix, ouvert et serein.? ouverture libre et consciente à soi et aux autres donc état intérieur et choix d’action ? transformation intérieure.
Place et base de la confiance absolue en soi et nos propres actes.
3/ le principe de responsabilité - attraction - création.
Harmoniser notre vie au maximum ? conséquences positives sur notre expérimentation de la vie.
+ une contexte de paix, pouvoir, harmonie, bien-être, + il est proche de la réalité ? vision du monde + complète et + réelle.? faire face aux situations réellement difficiles de façon sereine et saine.
La confiance en la vie.
Nous sommes à la source de tout ce qui nous arrive, de tout ce qui se présente dans notre vie. Il n’y a pas de hasard, c’est nous qui attirons ce qui se présente dans notre univers (personnes, événements, circonstances...). Rien ne peut se présenter sans que nous n’ayons donné une permission. Nous avons « tout » attiré  dans notre vie.
Il y a en chaque être humain  une connaissance innée (et ICS) des mécanismes de la vie. La part de la compréhension rigoureuse et intuitive. La pensées créatrice / sagesse / intuition.
2 approches du paradigme, cette manière de percevoir la réalité : l’intuition directe et la compréhension mentale.
Les vérités intuitives (? qualité supérieure d’intelligence) ?  doivent être comprises par le mental rationnel. S’élever et pas croyances.
? 2 façons d’évaluer un contexte de pensées :
1/ observer ce qu’il génère dans notre vie.
2/ rendre le contexte acceptable par notre mental par une réflexion sur certains principes  de la sagesse universelle.
Pourquoi serait-ce nous qui attirons tout ce qui se présente dans notre vie . Quel serait le but de cette loi d’attraction - création ?
Comment de fait ce processus d’attraction - création ?  Selon quels principes ? Selon quelles lois ?
CH VII. LA DYNAMIQUE D’EVOLUTION DE L’ETRE HUMAIN
ou pourquoi serait - ce nous qui générons le contenu de notre vie ? Mais que fait-on sur cette planète ?
1/ Le processus d*involution et d*évolution  de l*humanité.
P129. La conscience divine qui s’est faite « matière », entame maintenant un processus d’ascension, de retour vers la conscience de sa divinité, avec personnalité structurée et volonté.
Choisir librement d’élever à nouveau notre conscience, avec cette expérience de la matière et l’auto-conscience par l’individualisation.
Travail sur la personnalité pour la rendre plus réceptive au Soi / Conscience supérieure. Véhicule comme instrument de manifestation (3 corps) et d’harmoniser ce véhicule avec volonté de Soi.
L’identification au véhicule a permis sa construction.
La désidentification pour amener la conscience de notre personnalité au niveau de celle du Soi.
Désidentification comme travail d’adaptation du véhicule à la conscience supérieure pour expression concrète et libre au quotidien (sans barrières intérieures). ? manifester ses qualités divines dans tout ce que l’on fait. ? réalisation au niveau vibratoire de l’essence divine et non plus au niveau de la personnalité. ? d’où plusieurs vies.
La danseuse de ballet - le scaphandre - la combinaison - sous l’eau, acquérir la maîtrise.
Exploration du monde - Apprentissage - Evolution.
Hasard et plan d’évolution général de l’humanité.
Pour faire l’apprentissage désiré ? principe de R.A.C.
2/ Le principe de R.A.C., agent de réalisation du Plan d*Evolution.
Tout ce que nous attirons étant les conditions appropriées pour évoluer.
? intégrer l’énergie du Soi dans les 3 mondes inférieurs et expérimenter l’essence de notre vraie nature.
Le pouvoir de choisir notre personnalité (par rapport à l’apprentissage) : Personnalité ? Choix ? circonstances ? circonstances...
D’apprentissage en apprentissage, de vie en vie...? en fonction de nos possibilités ? parfaire le véhicule de manifestations. ? on attire les gens, circonstances et événements pour cet apprentissage.
Le Soi laisse la personnalité s’exprimer pour expérimenter ses limites. Attraction : 1/ volonté consciente 2/ volonté de notre Soi
Choix de la vitesse d’évolution.
La leçon apprise ne se présente plus.
La leçon se présente lorsque l’on est prêt à apprendre.
? dans le but de grandir en conscience, en sagesse, en amour, apprendre à connaître les grandes lois de l’Univers ? créer monde de joie, de paix et d’amour.
? Comprendre le type d’apprentissage et conscientiser les raisons des événements de notre vie. Et le pourquoi de l’apprentissage n’est pas toujours accessible à notre conscience ordinaire.
? vie = apprentissage : leçon + intégration / vacances - pause.
Apprentissage global pour la totalité de l’être (pas juste le mental). ? de façon synthétique (> connaissance ou mécanique rationnelle et intellectuelle). ? c’est une intégration de plus en plus profonde, à tous les niveaux de l’être, de la réalité de notre propre divinité (logique divine > logique rationnelle et limitée) ? soit notre sens inné soit expérience intérieure de la complexité lumineusement simple de la réalité du Soi.
Intégration globale et pas à pas mais pas linéaire ? qualités innées ?tes entre frères et soeurs ? acquis passés. Le travail à faire ici et maintenant, exactement là où nous sommes, exactement dans les conditions où nous sommes. (« Chaque chose en son temps, les unes après les autres, et chacune à son tour. »).
? suivre le programme proposé et se rendre compte qu’un travail d’apprentissage doit se faire, de bon gré ou « malgré nous » ? mauvaise influence de l’ego et du véhicule qui buttent, rechignent.
? la volonté du Soi  et celle de l’ego ? apparente dualité ? on expérimente la vie en fonction du niveau où l’on se place. ? on peut s’identifier à la conscience de la personnalité (ego et mental inférieur), ou à la conscience du Soi ? volonté du Soi exprimée. Note : ? des niveaux > à celui du Soi : non exposés ici. ? notre conscience peut jouer sur toute une gamme d’états vibratoires. ? en ce sens, la volonté éphémère de notre personnalité ? contradiction apparente seulement.
Par rapport au niveau  d’identification de la conscience ? expérimentation limitée et pénible ou libre et harmonieuse - (travail de changement de contexte = voyage de la conscience).
Par rapport aux situations choisies par notre conscience supérieure : 1/ on est responsable et conscient ou 2/ identification au mental inférieur ? victimite et lutte / refus.
Le Soi propose des leçons, la conscience prise dans la personnalité expérimente elle-même et détermine la vitesse d’apprentissage en fois ou plusieurs fois.
La conscience existe dans un espace multidimensionnel cad ?t d’ incarnation et espace-temps. Le temps comme limite choisie pour notre champ d’expérience ? règle du jeu.
En tant qu’être humain ? pouvoir de choisir nos conditions d’évolution (conscience du Soi) et notre réponse (conscience de la personnalité).
CH VIII. LE PROCESSUS D’ATTRACTION DES EVENEMENTS
1/ Capacité de création du mental.
Les règles du processus de création ne sont pas accessibles qu’à partir d’un certain degré d’évolution ? afin d’éviter les catastrophes.
Capacité d’attraction ou de création du mental ? ex. Technique de pensée créatrice, de visualisation ? ? un résultat probant.
« PNL » ou processus ésotérique ? pas si complexes que ça. Même si pas défini clairement, en détail, on peut s’en servir. ? une connaissance globale de processus suffit pour utilisation ? résultats concrets ? expérimentation /// FX - les reconnaître.? la structure mentale crée et attire les conditions d’apprentissage.
? comment pouvons-nous tout attirer, de façon consciente ou non, désirée ou non. Quelle est la source de cette attraction, par quoi est activée cette substance mentale consciente et subconsciente ? (subconscient = inconscient + supraconscient).
Partie ICS = mental inférieur préprogrammé.
Partie supraconsciente = mental supérieur en contact avec le Soi. ? ? processus de création constants à tous les niveaux conscients et inconscients.
Le Soi se sert du système mental pour attirer les circonstances et situations qu’il juge appropriées pour notre évolution.
Le Soi utilise le mental de deux façons :
1/ Directement, en infusant des structures mentales alignées avec sa propre volonté (enregistrement dans le mental supérieur)) ? pas toujours conscientes dans le mental supérieur ? une partie de ce que nous créons et attirons provient de ces structures ? la vie que l’on a choisit + les acquis antérieurs ? développement propre (développement et harmonisation de la personnalité) + contribution au monde.
2/ Par le biais du mental inférieur et donc du filtre mental. ? réceptacle des systèmes de pensées ? siège  de la volonté de la personnalité ? qui s’expérimente elle-même pour s’aligner avec la volonté du Soi. Observez ce que vous attirer dans votre vie, vous apprendrez à vous connaître vous-même. Observez ce que vous attirez dans votre vie, vous apprendrez à connaître ce à quoi votre conscience est identifiée. (? aux conclusions hâtives et aux observations superficielles.) ? d’où création consciente = 2%; création supraconsciente = 98 %.
On perçoit la réalité ainsi attirée avec le même instrument (=mental) ? on crée la réalité que l’on perçoit et notre perception. ? d’où expérience de la réalité ? et travail de perception donc de conscience.
Attraction = Hasard = force du processus d’évolution servie par la volonté du Soi.
? les structures mentales, conscientes ou subconscientes sont déterminées par le degré d’évolution et par le travail à faire sur soi. ? plus on évolue, plus les structures sont conscientes et sont l’expression directe de la volonté du Soi
Création de la réalité, perception de la réalité et expérience de la réalité sont intimement reliées et fonction du niveau de conscience déjà atteint.
Le point de vue permet de voir les possibilités d’apprendre à créer consciemment.
1/ être conscient des structures mentales ? créer.
2/ s’ouvrir à la volonté du Soi ? créer en harmonie.
? un structure dans notre personnalité pour créer et attirer sous la supervision du Soi les conditions d’apprentissage.
? 2 modèles : 1/ ésotérique ?chologique (avec la conscience humaine) 2/ l’énergétique (énergie de l’être humain).
Plus le modèle est large, plus ? bien-être, compréhension, pouvoir et liberté.
Conception ? expérimentation de la chose.
2/ Modele Esoterique ?Chologique (aspect conscience)
avec 1/ la conscience en évolution vers l’expression plus large et plus directe 2/ attraction des conditions d’apprentissage nécessaires.
Le temps comme dimension à expérimenter à fond pour la transcender et ? voir comme règle du jeu + dans quelle mesure il s’applique à ce jeu / où il n’a plus effet.
? un processus global de choix majeurs pour l’incarnation par rapport à bilan des acquis, des choses accomplies et des possibilités d’expérimentation et d’acquisition de la vie future.
? 2 tâches à accomplir : 1/ tâche personnelle ? travail sur la personnalité pour l’harmoniser avec le Soi 2/ tâche de contribution ? le positif à apporter au monde.? travail réalisé avec notre Soi et ses guides.
Note : Plus une personne est évoluée, plus elle fait des choix personnels pour développer sa propre individualité. Sinon, ? le choix de ses guides si incapacité de choisir.
Choix des conditions de départ = principe avec 2 aspects :
1/ aspect apprentissage par l’expérience directe.
2/ aspect apprentissage par la loi du Karma.
? Rien n’est totalement écrit car ? le choix de la réponse en fonction des circonstances ? le choix est restreint par les limitations  de sa propre conscience.
3/ Le principe d*apprentissage par l*expérience directe.
? au niveau énergétique et conscience et pas au niveau mental. ? il y a ce qu’il reste à apprendre et à maîtriser ? la vitesse d’évolution dépend donc du choix.  L’incarnation comme condition choisies pour favoriser au maximum l’apprentissage à faire pendant cette vie. ? conditions de départ, puis fonction des réponses ? l’attraction est ?te (et aussi selon les programmations du mental & principe de pensées créatrices). Il n’existe pas de hasard ni dans incarnation ni dans programmation du mental supervisée par le Soi. Idem pour conditions traumatiques etc... comme étapes à passer, comme matériel de travail nécessaire à l’évolution
? les conditions d’incarnation non pas à blâmer mais à regarder comme travail  à accomplir ? utilisation de l’énergie + observation avec + de sérénité ? d’où libération + rapide. Le principe d’apprentissage est aussi valable pour le karma.
4/ Le principe d*apprentissage par la loi du Karma.
(ou loi du retour) - ? aux déformations et aux modèles simplistes. Sens réel : ? car plus large que : on récolte ce que l’on a semé
Les vies passées comme support pour créer état de conscience plus avancé.
But fondamental : attirer circonstances favorables en fonction du potentiel de l’être humain dans son processus d’évolution. ? maîtrise du véhicule et expression plus complète du Soi.
? But éducatif et évolutif issu de la grande loi d’amour et d’harmonie de l’Univers.
? Détermination des conditions d’incarnation et attraction énergétique.
Choix fonction d’un mouvement énergétique dirigé par l’intérieur de base qui est l’intention d’évolution.
? loi du karma ? punition / récompense.
? mauvaise action comme action posée par personnalité et contraire à la volonté du Soi (car manque de contact).
But de l’évolution ? découvrir, conscientiser des lois naturelles de l’Univers, l’essence de notre être, et maîtriser totalement l’Univers physique et subtil dans le quel nous vivons. On connaît quelques lois : OK
Qu’en est-il de la volonté du Soi ? Cette connaissance de certaines lois ? par le biais de nos consciences actuelles limitées + ex. d’approximation ? ? beaucoup de tentatives comme la morale religieuse ? malhabile.
Loi du karma = loi d’amour ? évolution et épanouissement. Mauvaise action découle d’absence de contact avec le Soi ? ignorance d’une certaine loi et oubli de nous-mêmes. ? la loi du karma permet de comprendre la volonté du Soi et de la suivre. S’il a existé une mauvaise action ? il y aura conditions pour comprendre et dépasser la situation | le concept ? bases du bonheur et des progrès futurs découlant d’une attitude juste - Notion de se changer soi.
Selon karma  : A toute action, il correspond une réponse instantanée parfaite.
De l’ignorance  à la connaissance, de la séparation à l’Unité (? concept à dépasser car appartenant à la dualité). La souffrance n’est utile que si elle nous pousse à faire une prise de conscience que nous n’aurions peut-être pas faite sans cela. ? si ? souffrance, alors souffrance ? punition ? ne pas endurer souffrance sans rien faire comme pour payer une dette ? profiter de l’occasion pour apprendre.
5/ ? La souffrance fait-elle évoluer ?
? aux ½ vérités qui égarent le monde avec toute la force contenue dans leur part de vérité.
? cela dépend. Oui si à l’origine d’une remise en question et de transformation  de notre conscience alors souffrance = déclic positif ; prétexte car ? ce qui nous fait grandir = volonté et choix de remise en question ? perception de l’Univers.
Tout dépend donc de ce que l’on choisit de faire avec la souffrance. - ? victimite = cas typique d’une personne qui ne veut rien savoir, ni rien apprendre ? aucun déclic pour son évolution.
6/ ? Est-il nécessaire de souffrir pour évoluer ?
Idem. Oui si souffrance = moyen de réveil, sinon, non ? Si on avance de « bon gré » ? ce sont alors les choix conscients et libres qui nous font évoluer.
Toute circonstance est bonne pour grandir en conscience, il n’est pas nécessaire d’attendre les circonstances difficiles pour commencer à bouger ? il n’est même plus nécessaire de souffrir pour apprendre les leçons karmiques difficiles ? par le travail intérieur et le choix de vivre au plus profond de Soi. ?on intègre les lois jadis transgressées et la loi du karma relative à ce sujet devient caduque instantanément c-à-d inutile du fait de la transformation intérieure.
? ce travail intérieur procure joie et béatitude, le processus d’évolution devient un processus joyeux dès lors que l’on cesse de lui résister.
Le monde autour de nous comme reflet | image exacte de notre conscience, au niveau personnel comme collectif.     ? Ne pas résister mais surfer la vague.
7/ Modèle énergétique (aspect énergie).
Le monde comme énergie, matière = énergie et énergies de types ?ts.
Dans processus involutif-évolutif, l’homme a du descendre dans la matière et donc dans les mondes subtils sont moins évidents ou perceptibles.
P165 ? on a perdu ces capacités de perception pour une meilleure perception du monde ?siq ? ces capacités sont maintenant à retrouver.? les capacités extrasensorielles ? percevoir les autres vibrations.
? le monde de la matière puis le monde éthérique, puis l’astral (émotions), puis l’univers mental (d’où viennent les pensées), l’univers causal (domaine du Soi) ? ces univers sont régis par les lois ?chologiq ou spirituelles.
? le champ d’Energie Universel et l’aura. ? tous ces corps supérieurs ayant toujours le potentiel de maîtriser l’inférieur. ? la lecture de l’aura et son apprentissage .  Chaque être humain constitue une unité énergétique spécifique baignant dans le C.E.U. ? ce qui explique le processus d’attraction.
Les corps ?siq, éthérique, astral et mental comme véhicules énergétiques de la personnalité à ?ts niveaux ? le travail consiste à arriver à construire nos ?ts corps inférieurs (véhicules) avec une matière (énergie) qui soit totalement réceptive à l’énergie du Soi. ? Or tout changement de conscience amène un changement du taux vibratoire de nos ?ts corps ? purifier, harmoniser, débloquer, élever, ouvrir notre conscience ? grandir en conscience, évoluer et apprendre.
Etat de conscience et état énergétique sont reliées et interdépendants, et toutes nos expériences passées sont inscrites énergétiquement dans nos ?ts corps - Toute harmonie ou dysharmonie, réalisation ou limitation en conscience ? à un taux vibratoire d’un certain type. Notre état énergétique spécifique attire vibratoirement, en fonction du « Plan d’Evolution » les personnes et situations pour travailler. ? Il agit  comme un aimant dans le C.E.U. par lequel nous sommes toujours reliés. ? cet aimant est orienté par la force  de la loi d’évolution constamment en action ? expérience d’évolution pour l’ensemble (c-à-d nous + personnes impliquées) ? le C.E.U qui nous relie tous permet la transmission de l’information instantanée et le phénomène d’attraction. L’univers comme système énergétique constamment  en action pour organiser et diriger ces mouvements d’énergie en fonction du Plan d’évolution.
8/ Comment transformer la qualité énergétique  de nos ?ts corps ?
? avec sécurité = évoluer en conscience + travail de dégagement énergétique émotionnel car on assume les changements + les results au quotidien.
Evolution en conscience ? transfert, transformation et transmutation, obtenus soit par les vies répétées soit par la prise en main et développement spirituel volontaire par soi-même.
Le phénomène d’attraction au niveau énergétique est plus actif juste avant l’incarnation.
9/ Comment se créent les conditions de retour selon le modèle énergétique ?
p175. Entre deux incarnations : on meurt au monde ?siq puis astral puis mental mais pas causal, après les avoir expérimentés muni de notre pleine conscience. C’est dans le corps causal qu’est enregistré l’essence de l’expérience de chaque corps, dans les atomes permanents ? l’information sur la totalité de l’expérience de la personnalité pour l’évaluation. Alors il y a évaluation, le niveau d’harmonie et de puissance énergétique acquis et ce qui reste à apprendre ? bilan au niveau d’une certaine qualité énergétique.
Les caractéristiques énergétiques et la qualité d’énergie donnent l’information instantanément sur le niveau de conscience atteint (et ce qui reste à faire).
Le bilan fait, nouvelle incarnation avec attraction de tout ce qui nous servira et facilitera notre expérience aux ?ts niveaux ?ants aux 3 corps.
A chaque moment, notre état énergétique ? notre état de conscience, en fonction de notre niveau d’évolution (et état énergétique attire tout ce qu’il faut pour faire travailler cette énergie, toujours en fonction du Plan d’Evolution).
La transformation ? passage de notre conscience identifiée à la personnalité à l’identification au Soi pour nous rapprocher de notre nature divine.
CH IX Clarification de certains aspects du paradigme.
? Eviter les explications rationnelles limitées, la culpabilité, l’indifférence et l’inaction.
Les explications rationnelles limitées ? il n’est pas nécessaire de tout comprendre pour intégrer l’apprentissage. ? ? une part pour le mental et une part pour le subconscient (ICS et supraconscient).
Tout ne peut pas et ne doit pas passer par la compréhension mentale ordinaire (partie rationnelle automatique et compréhension linéaire) ? élargir le point de vue ? s’assouplir (? rigidité) ? compréhension et perception + large, + subtile et + directe.? c-à-d connaissance issue du Soi = Intuition comme capacité de compréhension supérieure non linéaire qui inclut la compréhension strictement rationnelle et la dépasse ? au niveau intuitif, la compréhension est plus claire, + rigoureuse, + précise / le génie). Le travail d’apprentissage ne devient conscient que lorsque l’individu s’est engagé volontairement dans ce travail, les prises de conscience deviennent alors plus significatives. ? la dynamique intérieure des choses se manifeste alors plus clairement à la conscience pour donner à l’être humain la possibilité de choisir consciemment au niveau de sa personnalité ? les processus se manifestent dans un espace multidimensionnel alors que la conscience ordinaire dans un espace temps à 4 dimensions.
L’ouverture d’esprit que donne le contexte de responsabilité nous permet de rester ouvert à l’apprentissage et de cesser de résister à tout ce qui est là, même si nous n’expliquons | recadrons pas tout. ? Au fur et à mesure que notre conscience s’élargit, tout devient plus clair et plus cohérent, mais nous ne pouvons faire qu’un pas après l’autre. ? même si l’apprentissage a pu se faire, il peut se passer du temps avant que nous le réalisions.
Plus l’être humain est avancé en conscience, + il est capable de saisir la signification profonde  des choses et d’utiliser les circonstances au maximum  pour sa propre croissance. ? cette dynamique s’accélère avec le temps dans le sens de + de connaissance et de maîtrise. P182
L’apprentissage et la croissance au niveau global sont toujours facilités dans la mesure où nous en prenons la responsabilité - Utiliser au mieux nos ressources.
 Moins nous résistons, + nous évoluons, + nous sommes proches du bonheur et de la liberté. ? c-à-d aussi sans processus intellectuel c-à-d disséquer & analyser, qui peut très bien venir plus tard. ?l’expérience et l’apprentissage sont là, on fait, plus tard on comprend, au moins en partie (un des aspects). Mais au départ, l’impulsion est là. ? attraction au niveau quotidien dans cas plus simples. Ex. : quand nous sommes dirigés par notre mental émotionnel préprogrammé ? le hasard fait que ... et parfois d’anciennes programmations de « protection », de défense, resurgissent, car on ne s’en est pas dégagé. ? pas toujours approprié. ? ce n’est pas la mécanique du Soi qui entre en action mais celle du mental inférieur, avec derrière celle du Soi. ? occasion d’expérience et d’apprentissage et de croissance. ? victimite - Ne pas se faire souffrir soi-même. Etre constructif. Repérer la programmation ICS, en prendre conscience et travail personnel de dégagement. P185.
Pour événements + fondamentaux, impact mêlé du mental inférieur et de la volonté du Soi. ? ? explication ? + ou - inappropriée | simpliste ? voir le sens , le but de l’événement. ? éviter les pièges des explications ? simplistes. ? Ne pas interpréter les problèmes des autres (avec ? rationnelle) ? la réponse vient d’elle-même. Tout au plus quelques suggestions | aides. Mais ? à l’erreur ? manque de connaissances.? pour les événements qui nous concernent : qu’y a-t-il là pour moi ?, méditer, poser la question à son Soi, à son intuition. ? soit réponse soit ne pas résister et laisser aller, accueillir la situation pour grandir et aller chercher le meilleur de nos ressources. ? +, en prenant conscience que nous sommes à la source de cette situation + poser la question ? la réponse vient en temps voulu, si elle est nécessaire, en fonction de notre intention de départ. - L’important est d’accueillir les événements comme appropriés pour nous et ne pas résister. L’intégration de l’apprentissage se fait naturellement pas la non-résistance.
? ? ne pas rester passif. ? non-résistance = + d’énergie pour faire face aux événements de façon efficace, créatrice et dynamique .De +, ON A LE TEMPS. ? notre Soi est inflexible mais très patient dans le travail de construction de son outils de manifestation, la personnalité. ? les expériences se représenteront jusqu’à intégration complète.
Se connaître comme à la source de tout, c’est tout, sans jugement sur nous-mêmes, avec confiance en notre Soi qui nous guide, notre intelligence et notre coeur. ? cette acceptation et cette non-résistance suffisent pour créer une dynamique accélérée d’évolution.
1/ La blâme face à soi-même.
Ne pas utiliser le concept de responsabilité pour se blâmer soi-même. Rendre les choses plus claires et plus satisfaisantes pour l’esprit, pour nous libérer du jugement et du blâme. ? d’où action meilleure pour l’entraide. ? Si nous attirons des situations difficiles, ? : ?t de mauvais karma, plutôt « appropriées pour apprentissage » ? donc situation « parfaite » car mettant en présence tout ce qui nous permet d’apprendre.
p188. ? difficulté à accepter cette « perfection de l’Univers » ? car situation pas toujours agréables pour notre conscience ordinaire. ? but : construire e véhicule de manifestation pour retrouver tout notre pouvoir divin, notre liberté et notre bonheur absolu. ? notre personnalité, par ses limitations et son ignorance, vise le plaisir immédiat et le plus facile ? d’où résistances ? d’où prendre conscience de ces difficultés pour avancer dans l’apprentissage et grandir de façon saine et constructive. ? les situations et personnes difficiles | dures, nous inspirent  compassion envers nous-mêmes et les autres plutôt que jugement, attribuer au contraire grande force et courage pour passer de telles épreuves. « Aux grandes âmes, grands challenges ».
Si vie difficile ? signe du choix d’avancer vite. ? le principe de responsabilité nous redonne confiance en ce que nous sommes vraiment et le courage nécessaire pour faire face aux épreuves. ? apprendre à jouer avec la vie telle qu’elle se présente, à reconnaître nos remarquables créations dans le but d’évoluer, à jouer aux retrouvailles avec notre être + le dégagement de toute culpabilité par la responsabilité.
2/ L*indifférence.
Le principe de responsabilité permet de mettre en  pratique notre compassion, notre amour, notre respect de autres, ainsi que notre capacité d’aider et de soutenir les autres au cours de notre vie (lois naturelles d’entraide et de fraternité). ? donc ? du « chacun pour soi » égoïste , bien que chacun attire ses situations, ses bonheurs et malheurs. ? on attire aussi des gens qui nous demandent de l’aide. La volonté de mon Soi est de manifester la grande loi d’amour inconditionnel et de fraternité, appliquer pour être en accord avec soi-même, en harmonie.
L’intention de notre Soi est d’aimer et de servir ? c’est le grand apprentissage à faire ? donc ?t d’indifférence et d’égoïsme mais facilite au contraire l’émergence naturelle du sentiment de générosité, de fraternité et de réelle compassion, pour alléger les souffrances d’autrui. Car nous sommes tous dans la même recherche - de paix, de bonheur et de liberté ? d’où expérience de notre propre humanité et celle de ceux qui nous entourent. ? d’où + de compassion, de compréhension et moins de jugements, blâmes, destructions. ? Attitude ?te de celle du « sauveur » victime qui vit dans un contexte d’irresponsabilité, d’impuissance, de haine et d’agressivité.
La ?ce entre aider et soutenir. Soutenir comme supporter c-à-d donner un support avec  point de vue sur personne ?t = pas quelqu’un de faible mais quelqu’un avec un potentiel. Aide = momentanément ex. : donner un poisson. Soutenir = apprendre à pêcher c-à-d demander un peu plus pour compréhension  en limitant l’aide , pour pouvoir mieux soutenir. P194
3/ L*inaction
Le concept de responsabilité pousse à l’action, et pas assis à rien faire, ou attendre des autres, ou que les autres changent ou les changer de force. ? Le résultat de nos actions est fonction de notre intention et de notre état de conscience. Le concept de responsabilité pousse à une action saine et équilibrée. Car nous créons alors ce dont nous avons besoin pour travailler. On récolte tôt ou tard ce que nous avons semé au niveau de l’intention. ? nous pouvons changer le monde selon notre vision personnelle et collective, nos pensées personnelles et collectives, donc notre karma personnel et collectif et notre niveau d’évolution personnel et collectif. ? s’affirmer, exprimer clairement notre vérité, à partir d’une attitude forte et sereine menant à une action juste, intelligente, ferme et courageuse, et plus efficace (début de la sagesse). ? si nous voulons changer le monde, c’est à nous de faire ce qui nous semble approprié pour changer notre niveau de conscience, au niveau personnel comme au niveau collectif. ? d’où action juste sourcée par le Soi. ? les conséquences au quotidien = ? santé, travail, NRJ, créativité, abondance.
CH X Conséquences du paradigme
1/ La libération de la négativité.
Même processus que vis à vis de la position de victime. Le contexte de responsabilité offre : 1/ le dégagement de la négativité, 2/ épanouissement des plus belles qualités de l’être.
Une des premières conséquences de l’application du principe des responsabilité est la libération des émotions négatives (colère, peur, rancune, sens de l’injustice, jalousie, blâme, jugement, culpabilité...) ? très important ? d’où maîtrise du moi inférieur de façon souple et non coercitive  ? pour changer les basses émotions négatives d’orgueil, de séparativité et victimite pour un substitut mental émotionnel supérieur c-à-d sagesse, équilibre, sérénité, intelligence, amour... - Le contexte de responsabilité « facilite » le dégagement émotionnel (car les émotion négatives ont leur racines profondément ancrées dans l’ICS / expériences de l’enfance / vies antérieures) ? d’où travail de dégagement émotionnel avec techniques appropriées et participation au maintient plus fragile des résultats. P199.
2/ Libération de la peur, de l*anxiété, de l*angoisse et du stress.
L’état intérieur et les programmations négatives à l’approche d’un événement subi et mal vécu ? se recentrer et reprendre la confiance de son Soi et du Soi de chacun, installer une nouvelle programmation pour remplacer l’ancienne issue d’une expérience traumatique ? la confiance en Soi s’établit solidement et améliore la qualité de vie. ? ce qui nous arrive est ce dont on a besoin ? rien de fondamentalement destructeur ne peut survenir dans notre vie ? et ce, même si on a décidé d’accélérer notre propre processus d’évolution (et donc des circonstances parfois difficiles) car tout sert à l’apprentissage. P200.
Au cours de l’évolution, les systèmes de défense devront être détruits (comme d’autres parties sclérosées) car étouffant notre propre Soi, en dépit de l’attachement du moi inférieur qui les voit comme protecteur (survie) et qui s’y agrippe (vieilles habitudes de pensée, habitudes ?cho...).? le lâcher prise au niveau de l’ego pour donner de l’espace à notre Soi, donc lâcher une partie familière au profit de mieux, et parfois l’impression d’être détruit car problème d’identification de l’ego ? libération de la prison de l’ego.
« C’est seulement dans la mesure où l’homme s’expose lui-même encore et encore à l’anéantissement, que ce qui est indestructible émerge du fond de lui-même. En ceci réside la dignité d’oser ... et plus les profondeurs de son état d’être sont révélées et les possibilités d’un vie et d’un devenir nouveau  sont ouvertes » KGD.
? notre personnalité a peur car elle se sait destructible.? alors naît la peur et l’anxiété dès lors que l’on identifie notre conscience  à notre personnalité.  ? Ecouter la voie de notre mental inférieur qui nous liste nos peurs, observer et agir avec technique de travail.- Ex. : découvrir le sentiment permanent d’insécurité, issu de ce besoin de contrôler, et qui est très fatiguant.
? Idem la peur de destruction et d’annihilation , la peur d’un sort injuste et aberrant, hasardeux, cette peur et les stress ICS qui en est sa conséquence directe, disparaissent avec ce nouveau paradigme. ? c-à-d que nous cessons de les alimenter. P202. ? Par ce nouveau paradigme ? nouveau point de vue ? certitude d’entrer en contact avec nous-mêmes, avec notre Soi, avec le fait d’être en charge de sa vie ? se sentir nourris et protégés ? un sentiment de sécurité s’installe en nous, il se vit et ne se dit pas. ? car ce nouveau paradigme n’est pas arbitraire mais plus proche de la réalité profonde de l’être  d’où une perception plus subtile de la présence de notre Soi, au delà de notre mental linéaire rationnel ? l’expérience du Soi éternel et indestructible nous permet d’identifier notre conscience à ce Soi d’où expérience de la vie différente. ? cela construit à l’intérieur un sens de confiance dans la vie et de sécurité qui ne s’explique pus rationnellement. - Ce sentiment se vit et s’expérimente directement et est généré naturellement par le déplacement de la conscience de la personnalité vers le Soi.
3/ Libération du ressentiment et de l*agressivité
Le contexte de responsabilité facilite le dégagement de la rancune, du blâme, du ressentiment, de l’agressivité, de la N et de la colère. Toutes ces émotions sont source de violence. Le contexte de responsabilité rend le pardon instantané, si ce n’est superflu. Dans le feu de l’action. Y voir constamment l’apprentissage. - La responsabilité facilite le lâcher prise et une expression adulte. P205 C’est la façon dont nous percevons les situations et non pas la façon dont elles sont réellement qui détermine notre réaction émotionnelle.
Comment le contexte de responsabilité peut-il faciliter la libération des émotions négatives  que nous nourrissons envers des personnes qui ont mal agi envers nous ? - ? le processus, au niveau conscient, se fera en 2 étapes à pratiquer ensemble : 1/ Reconnaître que c’est nous qui avons attiré cette expérience telle qu’elle se présente. « Il n’y a pas de victime dans cet Univers, il n’y a que des êtres créateurs » - qui attirent des situations pour apprendre, l’admettre et faire cet apprentissage évite que cela se reproduise. La situation s’est présenté car nous avons donné une permission (au niveau conscient, ICS et Supraconscient). 2/ Comprendre, lâcher prise et pardonner. C’est nous qui jugeons les actions des autres comme mauvaises en fonction de notre perception de la réalité (filtres)  alors que les actions sont correctes telles qu’elle sont en réalité. Note : ce qui nous dérange chez les autres c’est ce que l’on ne veut pas voir chez soi. L’autre a agit avec toutes ses peurs et traumatismes, son niveau d’évolution + ses projections d’enfance. ? considérer cette personne comme un être humain en pleine évolution qui cherche son chemin vers la lumière, tout comme nous. Nous lui donnons le droit de faire des erreurs, tout comme nous devons nous en donner le droit. Si la personne a réellement transgressé une loi universelle, l’Univers, dans tout son amour, lui donnera en temps et lieu l’occasion d’apprendre à respecter cette loi c-à-d rectification du comportement + apprendre à agir en fonction de la volonté du Soi, comme le fait un jour tout être humain. P207.
Si l’Univers se charge de l’éducation de tous, le recours à la justice humaine est parfois valable, mais avec un certain état d’esprit. ? si une « blessure » reçue ? interprétation personnelle et illusoire, ?te de la réalité et de l’intention de l’autre, alors il est inutile de nourrir des émotions négatives qui nous détruisent ?chologiquement et ?siquement. Vu notre attraction, comprendre et pardonner ? il n’existe ni victime, ni bourreau. « Il n’y a pas de bourreau dans cet Univers. Il n’y a que des être momentanément coupés de leur Soi, ignorant les lois universelles. »  p208.
Notre victime intérieure s’énerve, ? elle veut notre bonheur mais s’y prend mal. Lui redonner de bonnes bases pour agir. Note : le regard sur les parents choisis comme êtres limités et conditionnés. Tel est le pouvoir de la pensée sur les émotions.
J.PARKER (Gateway Institute) : « Il n’y a vraiment rien à pardonner, car en pardonnant, je me pose encore comme juge. » ? il n’y a que les émotions négatives à libérer et une façon plus large de percevoir la vie à acquérir. ? La victime ne communique pas positivement, nourri de la rancune et cherche l’approbation des autres victimes (la plaindre). ? d’où comportement tout à fait stérile. Tout le monde est perdant. P.210.
4/ Libération de la culpabilité.
La culpabilité comme sentiment négatif , comme façon peu évoluée de faire face au fait que l’on pressent les lois universelles à respecter pour être en paix avec soi-même. ? 2 volonté en nous : la personnalité et le Soi. Apprendre à faire face à cette dynamique intelligemment, sans se rigidifier émotionnellement  pour ne plus rien sentir. La culpabilité comme moyen peu évoluer de limiter les dégâts. ? apprendre à fonctionner de façon harmonieuse et plus efficace. La culpabilité naît pendant l’enfance avec la notion de bien et de mal, avec la dynamique ? : si on fait le bien, on est correct, on est aimé ; si on fait le mal, il y a retrait de l’amour. Or, comme l’enfant recherche l’amour et l’approbation ? c’est un mécanisme très puissant. ? On se fait une idée : si on agit mal, on est incorrect : on nous retire l’amour ? d’où forte réaction émotionnelle, ? mécanisme qui rend vulnérable et manipulable car ayant ses sources dans l‘ICS. ? d’où solution = dégagement émotionnel + contexte de responsabilité pour éviter culpabilité et adopter un attitude + juste devant la vie. P212.
Ce sentiment de culpabilité vient de : si on pense faire le mal, on transgresse une loi universelle, pour faire face on ressent la culpabilité et on a l’impression de recontacter plus ou moins l’approbation parentale. ? un processus en 4 étapes qui fonctionnent ensemble : 1/ Reconnaître que la personne à qui l’on pense avoir fait du mal s’est attiré cette expérience (il a rendu cette action négative possible, en l’autorisant). Cet ami est donc totalement responsable et créateur de ce qui lui est arrivé et non victime de moi-même. « Il n’y a pas de victime dans cet univers, il n’y a que des êtres créateurs ». 2/ Reconnaître les limites de notre conscience et se pardonner. Reconnaître que cette action que l’on a posé alors, on l’a posé au meilleur de nos ressources du moment (avec nos peurs, souffrances et limites) ? en même temps, on se reconnaît alors comme un être en pleine évolution  qui est sur cette planète pour apprendre. Et on apprend par nos erreurs (si on ne se permet d’erreurs, on n’apprend pas). ? on se pardonne. « Il n’y a pas de bourreaux dans cet univers, ni de coupables, il n’y a que des êtres momentanément séparés de leur Soi, ignorant les lois universelles ». P214. 3/ On répare, autant que cela nous est possible, avec toutes les ressources du moment. Nous avons le courage d’agir en fonction de notre nouvelle vérité, de notre nouvelle conscience. La culpabilité paralyse et empêche d’agir. 4/ On ne recommence plus et on fait le choix de vivre et d’agir en accord avec note nouvelle conscience. ? d’où réel apprentissage. On est plus en mesure d’agir en fonction de la volonté de notre Soi et moins en fonction de nos peurs, de nos blocages ou faiblesses. On a appris la leçon et acquis un peu plus de maîtrise de notre personnalité au profit de la volonté de notre Soi. Le but est atteint. P214. Si on reconnaît la responsabilité de l’autre, nos limites et qu’on se pardonne, il faut aussi modifier note façon d’agir, sinon l’expérience se représente. (modifier le contexte de pensées ? pour que l’apprentissage se fasse).
L’avantage du principe de responsabilité, c’est que nous n’avons plus besoin de la loi de retour pour apprendre, loi parfois très dure. ? nous pouvons choisir consciemment et volontairement de modifier maintenant notre façon de penser et d’agir dans le monde. Il nous permet de nous améliorer nous-mêmes de façon libre et autonome.
5/ Travail de libération des anciennes culpabilités.
On n’a pas besoin de se sentir coupable pour rectifier son comportement, il suffit d’être conscient. La culpabilité ne sert à rien sauf à nous paralyser. Nous ne sommes coupables de rien. Nous sommes des êtres en évolution, en apprentissage. ? à nous de nous défaire de cette forme-pensée de culpabilité.
6/ Libération de la jalousie, du sentiment d*injustice et du regret.
P216. « Le signe de ton ignorance, c’est la profondeur de ta croyance en l’injustice et en la tragédie ». R.Bach. Si nous savons que les conditions de vie de nous et des autres sont exactement comme elles doivent être dans le moment, cela veut dire que si on les accepte comme telles, on aura aussi l’énergie pour les changer. Car elles sont « dues au Hasard », ce sont les conditions indispensables à un apprentissage nécessaire à l’évolution. La jalousie n’a plus aucune raison d’être ? ce sont les conditions qu’il nous faut pour grandir et apprendre. Donc « parfaites ». En acceptant de considérer que nous sommes à la source de ce qui nous arrive afin de nourrir de façon optimale notre processus d’évolution, nous savons que rien n’est injuste ou inutile, d’où détente. On entre en contact avec le fait que l’Univers est parfait et nous apprenons à écouter notre voix intérieure et à faire confiance à ce grand processus d’évolution. Se dire :« Dans cet Univers, il n’y a pas de justice rationnelle, il y a une justice absolue », et dormir sur nos deux oreilles. P217.
Dans cet état d’esprit, nous ne pouvons plus vraiment nourrir de regrets face au passé. Chaque situation est appropriée à notre croissance, chaque événement se présente en son temps, en fonction de notre état de conscience. Nous savons aussi que nous pouvons transformer chaque situation pour quelque chose de meilleur, à partir de nos actions, choix, notre volonté et l’ouverture de notre propre conscience.
7/ Libération du jugement face à soi-même et du manque d*estime de soi.
Le principe de responsabilité ouvre la porte à l’acceptation et à l’amour de soi, et facilite la pardon à soi-même. Se sachant dans un processus d’évolution ordonné, on cesse de vouloir être autrement que ce que nous sommes ou ailleurs que là où nous sommes. Nous acceptons les limitations de notre conscience actuelle et nous travaillons pour l’élargir afin de vivre en paix avec nous-mêmes. ? Cette acceptation ?te soumission. P218. Cette acceptation nous permet d’avoir toute l’énergie qu’il nous faut pour agir y faire de nouveaux choix. Ex. : quand à l’école primaire : apprendre tout ce qu’il y a à apprendre et ne pas se dévaloriser par rapport au secondaire. Le temps venu, tout vient naturellement. Par contre si on lutte, on redouble.
Une autre forme de manque d’estime de soi est l’orgueil ou la vanité (on se croit supérieur) ? on refuse de reconnaître là où l’on est réellement. D’où perte de temps et d’occasion d’apprendre. Il ne nous est donc pas utile de nous comparer aux autres, chacun ayant son propre chemin (fin de la compétition). Nous pouvons alors utiliser au mieux les opportunités de croissance que la vie nous offre. Si nous, sculpteur, sculptons notre Soi, la statue, il n’y a pas de honte à avoir si la statue n’est pas terminée : on est là pour la finir. Id. Il est inutile de la cacher ou de faire croire qu’elle est finie. Le mieux à faire est de travailler à la finir, le sculpteur prend beaucoup de plaisir à créer cette statue. On ne peut cacher notre humanité. P219. Personne n’est dupe. Mieux vaut reconnaître sincèrement le travail à faire - car alors on avance. Inutile de se mentir et de se sentir fautif car notre personnalité est inachevée. Inutile de se comparer à d’autres plus avancés qui ont commencé avant nous. Ainsi on accepte les erreurs et les manques de notre personnalité. N’oublions pas que ce nous sommes vraiment, notre Soi, est parfait. C’est notre véhicule de manifestation qui n’est pas au point. P220.
En reconnaissant et en acceptant simplement les imperfections de notre personnalité comme faisant partie de notre apprentissage, il est plus facile de s’accepter tel que l’on est, de s’aimer, d’avoir de la compassion pour soi-même, de se pardonner. Plus on accepte notre statue dans notre état présent, plus on l’aime sachant ce qu’elle est en train de devenir, on y travaille mieux. Le pardon à soi-même et l’acceptation de soi sont essentiels à un bon moral.
8/ Libération du sentiment d*impuissance.
La puissance de notre Soi est avec nous, ? une force en nous, qui, quand on l’appelle, se manifeste. Quand la conscience s’identifie à la personnalité ? on ressent l’impuissance ? la personnalité seule n’a pas ce pouvoir réel. Seul le contact avec notre Soi  peut nous donner l’expérience et la certitude de notre propre pouvoir. La libération du sentiment d’impuissance nous révèle comme créateurs et permet de mettre en action consciemment le pouvoir créateur de notre mental. De créateurs ICS nous devenons créateurs conscient. P221.
9/ Libération des émotions négatives par ouverture à l*énergie du Soi.
Le temps de changer certains mécanismes. Laisser émerger ces émotions et ne pas les supprimer. Transformer progressivement ces émotions en tranquillité et en sagesse. Percevoir cette « perfection » de l’Univers nous permet de nous recentrer plus rapidement en nous-mêmes et de retrouver le contact avec notre lumière intérieure. En pensant en fonction du contexte de responsabilité, nous ouvrons la porte à l’énergie de notre Soi à laquelle nous nous « identifions ». Ce qui va nous aider à transformer nos émotions négatives est le contexte de pensées + l’énergie transformatrice de notre Soi que ce contexte a rendu possible dans notre conscience (donc ? simple processus intellectuel ? le cocher se débrouille par lui-même et en même temps il demande de l’aide au Maître ? d’où nécessité du contact et des techniques. p222. Ne pas s’identifier à l’émotion, en être témoin et appeler la lumière en nous. Ultimement le cocher sera tellement réceptif aux ordres du Maître que notre vie sera complètement dirigée par notre Soi, via le mental. - Ouvrir la porte à notre Soi et la paix, l’harmonie, le bien-être, la puissance, la joie et les émotions positives émergent naturellement en nous). Le contexte de responsabilité est l’une des clés fondamentales pour ouvrir cette porte dans notre système de pensées.
Dans les relations d’aide, ce contexte est d’une grande utilité + Intelligence. Le contexte de R.-A.-C. permet  au résultats de demeurer permanents, de retrouver l’autonomie, le pouvoir et une réelle confiance en soi et en la vie. Le cocher apprend à conduire le cheval. ? excellent antidote à la violence. D’où : pour les enfants : respect, acceptation, partage, sagesse et compassion.
CH XI Conséquences du paradigme (2) L’épanouissement de l*être.
Avec la pratique du paradigme ? épanouissement de l’être comme manifestation naturelle du Soi.
1/ Paix, sérénité, confiance, joie de vivre.
De la disparition de l’anxiété, de la peur et du stress découle naturellement un sentiment de paix et de sérénité né d’une plus grande confiance en la vie. Cette confiance s’appuie sur une plus grande compréhension des mécanismes de la vie. Nous sommes moins vulnérables car nous savons que les épreuves difficiles ne sont pas des preuves de l’absurdité, de l’injustice ou de la méchanceté de la vie mais comme un apprentissage plus difficile pour un avancement plus grand. C’est approprié (justesse) et donc nous avons tout ce qu’il faut pur y faire face (avec le choix de la réponse). Le sens de la présence de notre Soi en nous apporte une certitude intérieure d’où calme et sérénité +  l’univers ? hostile. Un réel sentiment de confiance en la vie peut s’installer en nous, car notre Soi veille, dans son amour et sa lumière, il guide et protège totalement toutes les expériences de notre personnalité, non pas du difficile mais dans le sens « approprié ».
Si nous reconnaissons la présence de notre Soi alors l’amour, la lumière et la puissance de notre Soi deviennent plus disponibles. Ce sentiment de présence de notre Soi permet de vivre pleinement, car avec confiance sereine. En tant que victime, on se coupe d toute aide. Avec R.A.C., la puissance et la lumière de notre Soi nous inspirent, nous guident et nous permettent de vivre les épreuves plus sereinement. P227. - « Il n’y a pas de personnes sans ressources. Il y a seulement des états d’esprit où l’on se trouve sans ressources. » - En nous reconnaissant  à la source de nos expériences, nous commençons à réaliser notre but ultime, à savoir harmoniser la volonté de notre personnalité avec celle de notre Soi. Nous sommes alors en mesure de prendre possession des ressources infinies de notre être intérieur et d’expérimenter sa paix, sa certitude, sa sérénité.
2/ Sagesse, Intuition, Créativité ;
Dans cette paix grandit aussi la sagesse (les émotions négatives ayant diminué, nous pouvons entendre la voix de notre Soi). Notre intuition possède ainsi un canal plus clair et plus libre pour se rendre jusqu’à notre conscience. L’activité mentale devient plus libre, entraînant une plus grande agilité intellectuelle, une capacité de concentration supérieure et une plus grande créativité ? la vie devient plus harmonieuse, riche et satisfaisante.
3/ Relations saines, harmonieuses et épanouissantes.
Lorsqu’on se débarrasse de la culpabilité, du blâme et du ressentiment, on cesse naturellement de manipuler les autres en les faisant se sentir coupables. (ex. : avec le conjoint, collègues ou parents). Un grand assainissement des relations s’effectue à partir du concept de responsabilité d’où l’expérience de l’acceptation et de l’amour inconditionnel. P228. Le contexte de responsabilité facilité le dégagement des projections et permet de créer des relations plus saines et plus satisfaisantes.
Dans un couple, l’expérience humaine est  fondamentale. On ne rencontre pas l’autre par hasard. Il y a beaucoup à apprendre, à développer, à compléter et à harmoniser avec notre conjoint actuel. Si on blâme l’autre, on cesse de se regarder soi et on ne peut apprendre. (? aux attentes émotives ICS issues de l’enfance) ? fin de la recherche du prince (sse) charmant (e). P229. D’où prendre la responsabilité de soi dans le couple, avec communication responsable, sachant que l’autre est libre de sa réponse, que c’est notre libre choix de vivre en couple avec cette personne ou non, quelles que soient les circonstances. (ce n’est pas ce qui est là qui détermine notre vie mais ce que nous choisissons d’en faire). En sortant les reproches, les projections parentales ICS, le concept de responsabilité permet de vivre de façon adulte dans le respect de l’autre, la prise de responsabilité dans la relation et finalement, la paix, l’harmonie et la liberté. Il permet d’expérimenter l’amour inconditionnel, l’acceptation, l’échange vrai, de faire le point sagement sue l’état actuel d’une relation, d’en déterminer la pertinence, de faire qu’elle devienne une remarquable opportunité de croissance. Id. facilité des relations entre parents et enfants avec acceptation, respect de l’autre et amour inconditionnel. Ex. : si on n’approuve pas, cela reste les choix des autres, on reste en paix, un regard sur l’évolution. D’où changement d’atmosphère. D’où qualité de la communication et plaisir. P231.
4/ Respect du processus évolutif de chacun.
Le concept de responsabilité nous enlève le poids du sort des autres sur nos épaules. Il n’y a ni sauveteur, ni personnes à sauver. Personne ne peut faire notre évolution à notre place. Le maximum que nous puissions faire est d’offrir notre aide, s’il ? un accord en face. ? nous reconnaissons le pouvoir de son Soi, le respectons et lui faisons confiance. En particulier avec nos enfants. Ex.1 : avons-nous été de bons parents ? si l’on inculque pas les bons principes, c’est ceux qu’on choisi nos enfants. Id. Pour nos qualités et nos faiblesses. (Hors de la culpabilité). Nos enfants nous ont choisi comme nous avons choisi les nôtres, tout est parfait car c’est ce qu’ils ont choisi pour évoluer et grandir dans cette vie. Faire au mieux.
Ex. 2 : que pouvons-nous faire pour éviter des souffrances à nos enfants ? Beaucoup et peu à la fois. Ils vont décider d’eux-mêmes, pas à pas, ce qu’ils feront avec les circonstances qu’ils ont choisies. Nous ne pouvons donc pas changer grand chose. Nous pouvons beaucoup, par contre, si nous leur donnons l’exemple de l’amour, de la sagesse et d’un grand nombre de qualités. ? impact positif. ? nous pouvons offrir ce que nous avons de meilleur à nos enfants, mais c’est leur choix de le prendre ou non. Nos enfants ont le libre choix de leur vie, à commencer par le choix de leurs parents. Si nos enfants choisissent leurs parents, nous attirons aussi nos enfants ? attraction / Choix mutuel d’où réalisation, pour expérimentation et développement à leur contact. (Et souvenir des enfants en bas âge de l’ancienne relation des vies antérieures). P.233. « Vos enfants ne sont pas vos enfants, ils naissent par vous mais pas de vous, ils ne vous appartiennent pas. Ils ont une existence distincte de la votre. »
5/ Capacité de se laisser porter par le flot de la vie.
? c-à-d ne plus résister à la vie. « Rien ici-bas n’est plus souple, moins résistant que l’eau, pourtant il n’est rien qui ne vienne mieux à bout du dur et du fort. » (Lao Tseu). ? grande force intérieure, sérénité, grande liberté et plus grande efficacité dans l’action. « ... Or cet état d’esprit calme et serein à un effet vibratoire tellement positif sur notre corps et notre conscience que l’on a tendance à attirer, à ce moment là, des circonstances positives (c’est une loi de l’Univers, loi énergétique, fonction de l’état énergétique global). P.235. L’état d’esprit de victime bouffe les énergies (émotions négatives, frustrations directes ou indirectes) donc il nous reste moins d’énergie pour agir positivement et modifier ce qui ne nous convient pas. + attraction de mésaventures et déceptions. ? nous pouvons rectifier le cour des choses en modifiant notre état vibratoire, donc notre état de conscience, en changeant de contexte de pensées. P236. Dès que l’on cesse de résister à la vie et que l’on vit dans l’état d’acceptation de ce qui est, on crée un état d’harmonie intérieur et extérieur. Cet état positif est très puissant au niveau vibratoire et attire plus d’harmonie dans notre vie. De plus, on dispose de toute l’énergie nécessaire pour changer ce qui est, si ce qui est ne nous convient pas. « Ainsi l’acceptation devient le moyen le plus rapide et le plus pratique de se libérer d’une situation difficile alors que la révolte resserre inexorablement le noeud. » - Accepter, ne pas résister à la vie ne veut pas dire ses soumettre. La soumission est de la résistance non exprimée, c-à-d résister sans rien dire, accumuler frustration et ressentiment, puis endurer jusqu’où ce n’est plus tenable (la victime se victimise encore plus). La soumission empêche d’agir. [Nuance] : Accepter c’est simplement reconnaître les faits tels qu’ils sont et en bénéficier joyeusement se ceux-ci nous sont favorables et s’ils ne le sont pas, agir intelligemment et consciemment pour les modifier en redéclarant notre pouvoir face à la situation. L’acceptation donne le pouvoir d’agir. « Ce à quoi on résiste persiste. » ? donc lâcher prise ? l’action devient possible. « Lorsque l’on est en paix avec l’Univers, l’Univers est en paix avec nous ». La poisse attire la poisse. P.238.
Un gros juron pour exprimer sa frustration puis se reprendre. Il y aurait une loi vibratoire qui entre en action à chaque instant de notre vie et que nous créons nos propres circonstances. La responsabilité nous permet également de développer la sagesse d’accepter ce que nous ne pouvons changer. Ex. : la mort d’un proche. En facilitant une réelle acceptation de la vie et le lâcher prise, le concept de responsabilité nous redonne pouvoir et énergie. D’où ? du taux vibratoire et attraction de bienfaits supplémentaires imprévus [lorsque nous aimons la vie, elle nous le rends bien - OK]. P239.
6/ Dédramatisation, Jouissance du moment présent, Humour
Prendre soin de soi-même et accepter que les autres prennent soin de nous. Abandon et réceptivité  ? ouverture pour épanouissement des relations. Lorsque nous percevons la vie à travers le paradigme de R.A.C., nous savons que nous sommes sur le chemin vers la lumière et que notre Soi veille et nous guide [foi]. P240. Ainsi de grands drames de la vie perdent souvent de leur importance  d’où merveilleux voyage vers le pouvoir, l’amour et la liberté. Nous n’avons pas besoin de contrôler constamment notre vie, ce qui est très fatiguant. Avec la confiance en la vie, c’est moins dramatique et on célèbre les beaux moments, sans ces peurs souterraines qui ternissent souvent nos plus belles joies. Ainsi en dédramatisant, on apprécie ce que l’on a  et on peut jouer le jeu de la vie plus librement et plus joyeusement. ? jouissance du moment présent. Dans cet état d’esprit de paix et de confiance, nous développons un nouveau sens de l’Humour qui entretient le plaisir et la joie dans notre vie et celle des autres.
7/ Gratitude.
Le concept de responsabilité permet de vivre dans une sentiment quasi permanent de gratitude, envers soi, envers les autres, l’Univers et est issu indirectement du Soi. Ce sentiment de gratitude nous remplit le coeur de douceur et de tendresse. Loi : plus on est reconnaissant, plus la vie est généreuse avec nous. OK. Car la gratitude, la reconnaissance du coeur, nous met dans un état vibratoire qui attire automatiquement des choses de haute qualité pour nous. (la victime est incapable de vraie gratitude car ICSment elle n’en a jamais assez, tout lui est du, elle compte). Le concept de responsabilité nous permet d’apprécier tout ce que nous recevons de la vie, et met la joie dans notre coeur. P.241. Note : si nous attirons une personne qui nous fait du bien : 1/ merci à nous-mêmes (attraction( 2/ merci à la personne réelle. Avec cette reconnaissance, nous avons une belle occasion d’ouvrir notre coeur et d’élever notre fréquence vibratoire.
8/ Fraternité, compréhension, compassion, sens d*unité.
Avec la responsabilité, plus d’indifférence. Nous ne jugeons plus les personnes qui se sont attiré des conditions pour un apprentissage plus dur. Notre capacité de compassion se développe car nous savons que notre but est le même et que nous créons notre propre route, parfaitement appropriée. D’où l’autre expérience de notre humanité et de celle des autres. ? nous développons un sens d’unité, de fraternité avec tous les êtres humains. Nous nous percevons tous comme des êtres en évolution vers l’expression de notre propre perfection, l’expression de notre Soi. Nous prenons la responsabilité de notre propre évolution et nous pouvons soutenir les autres dans la leur. ? compréhension et amour inconditionnel. P.242.
9/ Contribution et service dans la joie et le détachement.
« Le meilleur moyen de te borner à la médiocrité est de faire uniquement ce pour quoi tu es payé » Og. Mandino. Le désir de contribuer et de servir  jaillit naturellement du Soi (pas forcé ou dirigé)./ La responsabilité nous met en contact avec le Soi et nous stimule pour créer du bien-être pour nous et pour tous. Lorsque le service vient du Soi, il trouve sa récompense dans l’expression de lui-même.- Cet état d’esprit de service et de contribution transforme complètement le travail de tous les jours. Si nous avons l’impression de service, d’apporter quelque chose de valable au monde ; de fastidieux et ingrat, notre travail devient enrichissant et épanouissant. Avec  la responsabilité, on est capable de servir réellement à partir de Soi ? on le fait avec plaisir comme expression naturelle de notre richesse intérieure. On n’attend rien en retour mais comme notre état vibratoire est très élevé, nous attirons une série de récompenses même si n n’a rien demandé, c’est bonus EXTRABALL... On crée une vie pleine de cadeaux par le service joyeux et le détachement.
10/ Attitude constructive face à l*échec
P.243. Comme une des clés du succès. Comme tout est approprié, au lieu de juger et de blâmer quand arrive un échec, on cherche à comprendre et à apprendre de ce résultat qui ne correspond pas à ce que nous voulions. ? nous cessons de résister à ce que nous pourrions interpréter comme des échecs. ? exp. ? notre succès se construit ainsi le plus sûrement. La responsabilité comme clé de la réussite, la victime s’arrangeant ICSment pour que les choses tournent mal, afin de confirmer son scénario ICSnt. (avec responsabilisation et accusation). La responsabilité met toutes les chances de notre côté pour réussir (succession de « heureux hasards ») ? l’univers semble nous soutenir presque miraculeusement dans nos entreprises.
11/ Autonomie.
Avec le contexte de responsabilité, nous prenons la responsabilité de notre vérité, nous l’acceptons, cela nous permet de confronter notre vérité avec la réalité et de l’élargir de plus en plus par notre propre expérience. Le processus de croissance se fait ainsi naturellement grâce à cette autonomie de pensée. P.244. Nous sommes en charge de notre destin et personne d’autre. Nous savons que c’est par notre pratique de la vie que nous apprenons et perfectionnons notre propre façon de jouer, personne ne peut faire cela à notre place ? on ne dépend plus des autres. Etant créateurs, ce que nous allons trouver dans la vie comme dans une relation, c’est ce que nous allons y apporter. Nous choisissons de croire quelqu’un d’autre, nous prenons la responsabilité de ce choix.- Aller chercher de l’instruction auprès d’autres personnes, pour avancer plus vite, on ne peut tout réinventer. Puis intégration de cet enseignement. (valider / invalider) C’est nous qui choisissons de faire avec ou sans cet enseignement, responsabilité et autonomie vont de pair. P.245.
12/ Humilité, capacité accrue d*apprendre.
Cette attitude de liberté intérieure et de vraie autonomie est celle qui nous permet d’apprendre. Nous n’avons rien à prouver et nous sommes ouverts à l’expérience et à la découverte. Pour la victime, toute personne possédant d’autres connaissances que les nôtres est ICSment et instantanément identifiée à une figure d’autorité parentale ? pas d’apprentissage, mais résistance pour avoir l’illusion d’autonomie (? piège) ? récupération du désir sain d’autonomie par une programmation d’enfance. ? résistance à tout ce qui peut ressembler à une image de pouvoir. La pseudo-autonomie de la victime en réaction à l’autorité mène à l’arrogance. La vraie autonomie provenant de l’être intérieur permet l’expression d’une des plus grandes qualités du Soi : l’humilité. Dans cet état de réelle humilité, toutes les plus belles fleurs du coeur et de l’esprit peuvent s’épanouir.
13/ Pouvoir de manifestation sain et harmonieux.
Le concept de responsabilité nous permet de prendre contact avec notre puissance intérieure et notre propre pouvoir de manifestation (non contradictoire avec humilité) Quand victime ? violence et agressivité en réponse. Le pouvoir issu du Soi, dégagé des programmations du mental inférieur est un pouvoir sain et harmonieux. Compagne directe de l’autonomie, cette conséquence est une bénédiction pour chaque être humain. - Nous cessons de nous croire impuissants ? on n’a plus besoin que d’autres dirigent notre vie car ayant une soi-disante connaissance adéquate (? répétition de propos entendus pendant l’enfance). Lorsque nous prenons la responsabilité, nous cessons de nous laisser manipuler et de manipuler les autres, parce que nous avons choisi de reconnaître, de déclarer et de manifester notre pouvoir. Nous apprenons à ne plus avoir peur. Dégagés des traumatismes d’autorité de l’enfance, nous respectons le pouvoir des autres et manifestons le nôtre. ? nous devenons capables de donner et recevoir du pouvoir. Tout le monde y gagne. [Reconnaître notre pouvoir nous redonne notre pouvoir]. Nous sachant créateurs et avec la puissance, nous sommes prêts à agir pour construire notre vie et la jouer gagnante. (? victime = perdant)
14/ Pouvoir conscient de création
P.247. Se reconnaître comme créateur facilité l’identification avec le Soi ? d’où contact avec puissance créatrice. Avec principe de responsabilité, on attire consciemment les événements et personnes favorables. - Ce que l’on pense, on l’attire, on le rend réel ou on le perçoit comme tel. Si nous sommes persuadés que nous sommes créateurs de notre univers, notre mental va attirer des circonstances pour nous donner raison, car il nous donne toujours raison puisqu’il attire à nous en fonction de ce que l’on croit. ? cycle de la pensée créatrice. ? Penser positif. C’est ainsi que nous générons l’expérience de notre univers, à partir de nos pensées conscientes et ICStes. [Il n’y a pas d’univers limité qui soit objectif.] P.247. L’univers ultime est formé de tout. Notre univers personnel est construit par les décisions de notre Soi (attraction en fonction des pensées et programmations issues des expériences passées que notre Soi a expérimenté) ? on peut utiliser ce mécanisme en choisissant davantage nos pensées. ? choisir d’être créateur et créer + facilement ce que nous désirons dans la vie. ? ex. : techniques de visualisation créatrice et de pensée créatrice qui sont + efficaces quand le principe de responsabilité est intégré. - On est capable de créer ce que l’on veut, quand notre intention est claire et sourcée par notre Soi. Il y a des lois et des conditions précises qui permettent le processus de création consciente. Créer consciemment est un art, mais cela s’apprend et le contexte de responsabilité est une clé qui permet l’apprentissage de cet art. P.248. Les enfants encore proches de leur Soi sentent la réalité de cette attitude liée au concept de responsabilité. Les enfants peuvent ainsi créer leur vie comme ils le veulent avec une capacité extraordinaire, car ils sont intimement convaincus qu’ils sont créateurs et maîtres de leur vie ? ils obtiennent ce qu’ils veulent par une succession d’ « heureux hasards ». ? ils ne cessent de se démontrer qu’ils sont créateurs de leur vie dans cet univers. Ils savent aussi comment créer avec détachement ? d’où énormément de pouvoir personnel.
15/ Accélération du processus d*évolution
A partir de ce contexte, sachant que ce que nous créons à l’extérieur n’est que la manifestation de notre état de conscience, nous utilisons tous les événements de notre vie pour mieux nous comprendre nous-mêmes  et les autres et ainsi en acquérir la maîtrise. L’évolution étant un processus de désidentification de la personnalité au profit d’une identification à notre Soi, le concept de responsabilité accélère ce processus.
16/ Vitalité, énergie et santé
P.251. Le concept de responsabilité est générateur d’un état d’esprit positif qui nous fait nous sentir bien. Toute notre énergie devient disponible pour créer notre bien-être et notre satisfaction. (90% de notre fatigue provient du fait que nous résistons à la vie). Quand nous cessons de résister, nous acceptons de couler avec ce flot. ? une énergie extraordinaire nous est accessible. ? nous sommes ainsi en bonne santé, morale et ?siq. (beaucoup de maladies étant générées par une accumulation d’émotions négatives refoulées).
17/ Le pouvoir de choisir.
Comme l’un des + grands pouvoir de l’être humain., à utiliser avec sagesse, expérimenter consciemment pour évoluer plus rapidement. Avec ce contexte de responsabilité, loin de l’impuissance, nous avons le pouvoir de choisir et de rechoisir notre vie. Avec le contact avec notre Soi, on a une grande force en face des situations difficiles ? ce qui redonne sens de la grandeur et de la dignité d notre propre humanité.
18/ Conclusion. Et pourquoi pas la paix sur Terre.
Le paradigme de R.A.C. bien intégré dans son sens le plus complet apporte paix, santé, bien-être, joie, amour, liberté et pouvoir dans notre vie et dans celle des autres  ? tout le monde est gagnant. ? ce ne sont plus nos réactions émotionnelles qui dirigent notre vie. On devient adulte avec une grande maîtrise de nous-mêmes. - Selon la constitution de l’Unesco : « les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevés les défenses de la paix ». Avec le paradigme de R.A.C. ? installation d’une nouvelle qualité relationnelle entre les êtres humains. ? avec dégagement des émotions négatives et épanouissement de l’être au niveau personnel, entraînant des conséquences positives au niveau collectif. D’où influence suer les événements extérieurs ? vivre en paix avec soi-même et avec les autres pour construire un monde de compréhension, d’entraide, d’harmonie, de beauté et de joie. ? la paix entre les peuples.
CH XII. Questions et réponses.
Q1 : le but de la vie est d’évoluer et d’assouplir notre personnalité pour se rapprocher du bonheur et de la béatitude de notre Soi, et non pas d’avoir une petite vie confortable et agréable qui nous garde finalement emprisonnés dans les limites de notre ego. Les accords entre sois et liens karmiques. Le soi connaît les possibilités, les gens et leurs Soi sont responsables d’eux-mêmes et de leurs possibilités. Se laisser ressentir ces choses humaines et normales. LE P. R.A.C. évite les déviances.
Q2 : l’acceptation par le Soi de certaines possibilités : ex. : la mort. - Loi universelle : respect de l’intégrité ?siq d’un être humain. Sinon loi de Retour et justice absolue et apprentissage.
Q3 :Faire coller la justice humaine à la justice divine par l’état de la conscience collective et le contact avec le Soi. Baser la justice humaine sur la sagesse, l’intégrité, la connaissance, la compassion, + l’aspect rééducation que punition. La justice humaine comme reflet de l’état de conscience collectif.
Q4 :La loi de retour ? action strictement mécanique. La loi de retour n’agira pas si l’être prend conscience de son erreur et de son ignorance et s’il choisit de respecter volontairement cette loi. (le repentir sans culpabilité et irresponsabilité). La loi du retour comme loi d’amour et de rééducation ? condition souvent opposées car besoins ?ts & manques ?ants. Les conditions d’apprentissage s’affinent car l’homme est plus avancé.
Q5 : la violence. La puissance et la conscience du Soi constamment présentes. L’expérience de la vulnérabilité ?siq et ?chologiq + attraction. LE Soi voit plus loin que les apparences et connaît le passé de l’individu, ses dettes karmiques, ses forces intérieures et ses faiblesses, ses nécessités et choix d’apprentissage, les conditions différentes d’apprentissage. Ex. : ? des enfants « incassables » pour émergence de qualités humaines à l’état adulte : compassion, capacité d’initiative, courage, force intérieure, persévérance, intégrité et service à la communauté. La compréhension permet l’acceptation des expériences difficiles.
Q6 : la volonté de notre Soi et le devoir d’intervenir, la relation d’aide. (loi universelle d’aide). L’amour manifesté  et la ? de la violence et de la souffrance, avec état d’esprit de responsabilité personnel et collectif. Dans situations difficiles, les êtres s’attirent de l’aide, la leur apporter. ? comme demande à honorer (pour valider l’expérience difficiles précédemment vécue) ? mise en action de la loi d’amour inconditionnel et de la compassion + loi de fraternité. Apprendre à avancer en aidant les autres par amour et sans attachement. ? aussi des situations faciles d’apprentissage. Le besoin , l’aide et la gratitude.
Q7 :Quand les conditions sont difficiles, on se doit de travailler à leur amélioration (solidarité). Donner un support aux moins favorisés, aider en redonnant pouvoir aux autres et le pouvoir de créer leur propre abondance ? cela demande confiance, générosité et amour.
Q8 : Ne doit-on jamais se battre ? Le Soi comme opposé à la violence. ?cier force et violence. La force pour le juste, la violence couvre les peurs et la lâcheté. Ce qui dit la valeur d’une action est l’intention réelle qui la provoque et non pas l’apparence extérieure. Connaître les motivations. [c’est à l’intérieur de la conscience de chacun que le jeu se joue].
Q9 : En fonction de ce qui se présente et de notre potentiel d’apprentissage : 1/ nous pouvons apprendre ou pas (occasion de croissance) 2/ si travail volontaire est conscient, nous avons la possibilité de modifier le contenu de notre système énergétique en fonction de nos choix et donc de modifier ce que nous allons attirer ? donc notre futur et notre avenir.
Q10 : Il ne nous arrive pas n’importe quoi mais ce que nous sommes capables d’apprendre (But du Plan = éducation et évolution). Nous sachant créateurs, nous pouvons défaire ou transformer ce que nous avons créé. Cela nous donne la certitude que nous pouvons choisir  et recréer notre vie volontairement et consciemment. Nous ne subissons plus le jeu, nous y participons de façon active et créatrice.
Q11 :  Toujours cette attitude de recherche. Avec acquis au lieu de juste apprendre, ? aussi apport / contribution + grande et + efficace. Quand notre personnalité est devenue l’instrument parfait de l’expression de notre Soi, la loi de réincarnation n’est plus nécessaire ? la réincarnation est alors libre, ici ou ailleurs. Epanouir les capacités d’aimer et de servir et quand l’âme maîtrise totalement tout son véhicule, quand la conscience est extrêmement développée, cette transformation de la conscience qui libère du karma et de la nécessité de nouvelles expériences ?siq. Nous avons le choix quand à la vitesse de transformation. En principe cela peut être instantané. Dans la pratique cela demande du temps.
Q12 : Comment peut-on attirer un événement dans lequel plusieurs personnes sont impliquées ? cf. Selon le modèle énergétique. Notre état vibratoire est le reflet exact de toute notre évolution passée et de tout le potentiel que nous avons à développer. ? attraction d’autres personnes et d’événements par le C.E.U. qui nous relie tous ? d’où la mise en rapport avec d’autres personnes dans un certain type de circonstances. Chacun attire ce dont il a besoin pour par contre personne ne peut attirer ce que nous n’avons pas à expérimenter. Chaque participant est totalement créateur et responsable de ce qui arrive, de son expérience. Le temps était venu pour chacun, et ce choix s’est transmis instantanément à travers le C.E.U. afin que l’événement ?siq se produise (manifestation). Chacun a donné son consentement pour que cela se produise. Aucun événement extérieur n’est le fruit du hasard. Ceci dit la mécanique cosmique est extrêmement sophistiquée ? éviter les explications trop simples et définitives au niveau rationnel. Mais nous pouvons commencer à percevoir quelques principes universels. Le concept de responsabilité ouvre la porte sur de vastes et magnifiques horizons de développement de la conscience humaine qu’il nous reste à découvrir.
Q13 : Il n’existe pas de victimes de sort injuste, juste des créateurs dans des situations difficiles.
Q14 : Quand face à victime « professionnelle » ; ne pas tout expliquer car pas facile d’accès et très confrontant. Plutôt prêcher par l’exemple et donner un support. 1/ éveiller compréhension et compassion dans notre coeur et reconnaître la souffrance ou l’insatisfaction dont la personne se plaint, car sa souffrance est réelle. Reconnaître la situation comme difficile. Ne pas juger, Ecouter. La personne se sent respectée et écoutée. Ne pas participer à ses gémissements. 2/ Lui demander s’? une solution pour améliorer la situation, la supporter vers une solution pour transformer la situation présente. ? c-à-d par cette question, nous lui rappelons qu’elle a du pouvoir, à retrouver. D’où a/ résistances ? donc patience. B/ avec respect et amour, présenter progressivement les étapes décrites précédemment. ? c-à-d stimuler son désir d’agir  pour améliorer son sort. (ce que l’on choisit  d’en faire). Premier pas de la guérison. ? si ? refus ? alors respect et amour inconditionnel pour le personne dans sa partie  de son évolution. L’amour fait des miracles. Ne pas prêcher le concept de responsabilité. La compréhension de ce principe ne vient que lorsque l’esprit est prêt à cela. (car concept ? d’intellectuel). ? car il faut remettre en question de bien vieux principes et être prêt  à continuer à chercher. Qui a attiré ces victimes professionnelles ? ? pratiquer l’acceptation totale de l’autre, le respect, l’amour inconditionnel et le support sans attachement aux résultats.
Q15 La santé. Toujours prendre soin du corps, l’écouter, connaître son langage. (avec les causes ?cho). - Travailler simultanément avec niveau  ?siq et niveau ?chiq. La conscience humaine n’est pas assez développées pour rendre la guérison ? systématique. Continuer le travail d’harmonisation mental et émotionnel.
Q16 : Eviter d’utiliser le concept de responsabilité pour refouler nos émotions négatives. Accepter nos émotions comme faisant partie de intégrante et nécessaire de notre bagage humain, en en prenant le responsabilité, en en connaissant la source intérieure, en pratiquant l’acceptation de soi, l’amour inconditionnel face à soi-même et le désir d’ouvrir sa conscience à des réalités plus larges, nous avons ce qu’il nous faut pour travailler à la transformation de nos émotions négatives, sans avoir besoin de les refouler.
Q17 : Si ? accord avec principe de responsabilité, comment l’intégrer correctement au niveau compréhension mentale et au niveau émotionnel quotidien ? Si simple compréhension insuffisante ? c’est parce que ? aussi un conditionnement culturel profondément marqué (programmations mentales ICS de la petite enfance ou des vies antérieures ? difficiles à neutraliser). + (la mécanique du mental inférieur très forte qui résiste). Donc accepter mentalement ce paradigme, avec ouverture par l’intelligence et bonne volonté ? ouverture de la possibilité d’intégration (avec mental comme intermédiaire entre personnalité et Soi) Donc après 1/ l’acceptation au niveau mental, 2/ l’intégration au niveau émotionnel ? avec travail spécifique de dégagement émotionnel des programmations constituées dans le passé, lesquelles ont favorisé la construction de structures ? de la victime et des émotions négatives (blocages énergétiques de la petite enfance). ? ? ?tes techniques pour travailler au énergétique : directement, par l’intermédiaire du toucher, de la respiration, du corps ?siq ou autres techniques avec approches ?. (ex. visualisation + techniques d’imageries guidées). ? aux limites de ces techniques pour le dégagement des émotions négatives ? donc travail au niveau de la pensée indispensable. (L’énergie suit la pensée.) sinon dégagement temporaire et à long terme renforcement du bagage négatif ? nécessité d’être centré (contexte de responsabilité pour centrage actif) ? pour obtenir la permanence des résultats (avec approche en conscience) [Le contexte de R.A.C. permet à la personne de rester centrée et d’aligner son énergie en vue de la manifestation de son être profond. Il permet également de ne pas recommencer sans fin de récréer les mêmes blocages une fois que ceux-ci ont été dégagés par la bonne technique. ? Etre actif, présent, conscient et créateur de notre propre transformation et non pas passif à attendre l’action du thérapeute ou autre. ? utiliser son propre pouvoir. Par ailleurs, une attitude intérieure de responsabilité ferme amenuit les vieilles programmations, si on y fait face avec conscience, patience et détermination, temps, beaucoup d’amour, acceptation et compassion pour soi-même. + la discussion avec d’autres ayant le point de vue du P. de R.A.C.. C’est ainsi qu’évolue la conscience, personnelle et collective, + les enfants.
Q18 : Si on se sent encore victime, c’est que nous ne nous sommes pas désidentifiés de la personnalité au profit du Soi, de l’essence de ce que nous sommes, vrai créateurs. + notre conscience se dégage de la mécanique de la personnalité, + elle s’identifie au Soi, + on sent ce créateur en nous, + nous pouvons créer consciemment. Ainsi le jeu de l’évolution devient beaucoup lus clair et la vie prend un tout autre sens. « On est assujetti à une loi qu’il faut comprendre pour éveiller sa conscience et comprendre ses fins supérieures. Etablir ce contact avec le moi supérieur ? l’homme participe à la connaissance de l’objectif, après avoir gravi la montagne de la vision, ayant un horizon plus large, l’homme comprend que la loi n’est qu’une impulsion spirituelle, l’homme voit le but intelligent sagement dirigé et fondé par l’amour. Il devient canal, et met fin au cycle de la vie close et égocentrée, et ouvre les grandes portes de l’énergie spirituelle.
 
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Voir si l’état d’esprit coûte plus ou moins qu’il ne rapporte, et en changer ou non.
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AVANTAGES DE LA POSITION DE VICTIME.
? On peut se plaindre.
? On attire l’attention et la sympathie des bonnes gens. Les « victimes » professionnelles sont très bien vues dans notre société.
? On possède une excellente justification pour nos échecs et pour ne rien entreprendre pour améliorer notre vie.
? On peut blâmer les autres et trouver ainsi un exutoire inconscient à l’insatisfaction de sa vie et à tout notre bagage d’émotions négatives.
? On peut faire de la collusion et avoir l’impression que les autres nous donnent raison.
? On peut partir en guerre et se venger en se sentant apparemment dans notre droit, autre exutoire à la violence intérieure provenant du bagage émotionnel négatif refoulé.
? On peut juger les autres comme n’étant pas corrects (compensation du sentiment de ne pas être correct avec soi-même, acquis dans l’enfance).
? On peut se sentir supérieur aux autres (compensation du manque d’estime de soi).
? En surface, on évite le sentiment de culpabilité personnelle puisque c’est toujours la faute des autres (compensation d’un fort sentiment de culpabilité refoulé).
? On peut manipuler en faisant sentir les autres coupables, dans la mesure où ceux-ci tombent dans le panneau ; mais cela est très fréquent dans notre culture de victimes, donc relativement efficace...
 
 
 
COUTS DE LA POSITION DE VICTIME
? Stress, peur, anxiété, insécurité.
? Emotions négatives : ressentiment, colère, agressivité, méfiance, arrogance, jalousie, désespoir, etc. Bagage qui devient de plus en plus lourd au fil des années. Ceci entraîne des souffrances émotionnelles de toutes sortes.
? Frustration, impression de manque.
? Insatisfaction permanente exprimée ou refoulée.
? Sentiment de « pauvre de moi ».
? Manque de maîtrise de l’état émotionnel (c’est la faute des autres), entraînant en particulier des conflits sans fin dans les relations.
? Déception constante dans les relations. Difficulté à maintenir des relations saines et agréables.
? Incapacité de communiquer sainement. Refoulement ou explosion d’agressivité.
? Incapacité à rester centré.
? Absence de sagesse.
? Incapacité d’objectivité et de discernement.
? Manque d’intégrité.
? Peur de se faire avoir.
? Solitude, sentiment d’être séparé des autres. Fermeture.
? Complexe de persécution.
? Incapacité d’aimer inconditionnellement.
? Impression d’être un martyr se « sacrifiant » pour les autres.
? Sentiment de vivre dans un monde ingrat.
? Incapacité de recevoir.
? Sentiment d’injustice.
? Sentiment d’impuissance.
? Incapacité à coopérer. Résistance à toute forme d’autorité.
? Dramatisation.
? Echec.
 
  Hautement manipulable par tout ce qui active les programmations négatives.
? Manque d’estime de soi.
? Culpabilité.
? Beaucoup de travail, peu de succès, peu de plaisir.
? Incapacité d’expérimenter la joie, la légèreté, l’humour, la paix, la vraie détente, la gratitude pour la vie.
? Incapacité de saisir la beauté et de jouir du moment présent.
? Fatigue, maladies (insomnies, maux de tête, problèmes cardiaques, problèmes digestifs, dépression nerveuse, arthrite, ulcères, cancer, etc. ).
La victimite peut être une maladie mortelle.
 . 
N'empêche que la valeur de base, c'est l'humour.
Et toc.
C'est même pour ça que y'a pas de boite aux lettres.